Le ministère de l'Intérieur Français a-t-il sciemment acheté un logiciel de l'eglise de scientologie ?
RVELATIONS :: NOUVEL ORDRE MONDIAL pire que L'ANCIEN :: BIG BROTHER et ses atteintes aux Libertés Individuelles
Page 1 sur 1
Le ministère de l'Intérieur Français a-t-il sciemment acheté un logiciel de l'eglise de scientologie ?
L'antivirus informatique PANDA, acheté par le ministère de l'Intérieur, est fabriqué par une société appartenant à un généreux membre de la secte de L'EGLISE de SCIENTOLOGIE (qui ne devrait d'ailleurs même pas avoir le nom d'EGLISE)
Le ministère de l'Intérieur a-t-il financé, à son insu, l'Eglise de scientologie? La question agite les couloirs feutrés de la Place Beauvau depuis quelques jours: une enquête interne a en effet révélé que le ministère avait souscrit un contrat avec une société informatique dirigée par un célèbre scientologue. Selon nos informations, la Direction des transmissions et de l'informatique (DTI) a signé, en 2000, un contrat avec Panda Software pour une utilisation illimitée d'un logiciel antivirus baptisé «Global Assurance Antivirus 24 h/24-365 jours/an». Montant du bon de commande: 200 000 francs. Selon le ministère de l'Intérieur, 12% de son parc informatique, qui alimente aussi bien l'administration centrale que les commissariats ou les préfectures, utiliserait le logiciel Panda. «Nous n'avons aucune possibilité légale d'évincer d'un marché une entreprise dirigée par un scientologue», explique-t-on chez Daniel Vaillant.
Fondé en 1990 à Bilbao, Panda Software est aujourd'hui le quatrième éditeur au monde de logiciels antivirus, ces produits qui évitent aux ordinateurs d'être envahis par des parasites du type ILOVEYOU. Le nom du fondateur de cette multinationale implantée dans 50 pays, Mikel Urizarbarrena, apparaît dans le n° 66 d'Impact, le magazine sur papier glacé de la secte, pour avoir fait un don de 40 000 dollars (soit 240 000 francs), en 1996, à l'Association internationale des scientologues. Un petit cadeau, réitéré régulièrement depuis, qui lui a valu le titre honorifique de «patron». Un responsable de la succursale française de Panda est lui aussi un adepte de la «religion» fondée par Ron Hubbard.
Plusieurs conseils généraux - dont ceux de la Gironde, du Gard ou de l'Indre-et-Loire - et d'importantes sociétés - Naf Naf, Carrefour, JC Decaux... - ont également signé avec la firme espagnole. Panda se prévaut même, dans un document, de contrats avec des «agences de renseignement»... La société de Mikel Urizarbarrena n'est pourtant pas tout à fait un groupe comme les autres. Elle verse en effet un pourcentage de ses bénéfices au World Institute of Scientology Enterprises (Wise), une organisation basée aux Etats-Unis qui regroupe près de 2 500 sociétés dirigées ou contrôlées par des scientologues (voir le fac-similé). La France en compte une petite quarantaine. Une partie du montant du contrat signé avec le ministère de l'Intérieur français - on parle de 6 à 9% - a donc logiquement dû approvisionner les caisses de Wise. Officiellement, cette «dîme» rémunère l'utilisation de la «technologie Ron Hubbard» par les entreprises affiliées à l'organisation.
Mais, au-delà du financement de la secte, le contrat signé avec le ministère de l'Intérieur suscite des interrogations plus... techniques. Est-on bien certain que les mises à jour régulières du logiciel par Panda ne permettent pas de pénétrer dans les bases de données ultraconfidentielles du ministère? «Notre réseau est sécurisé et ne permet aucune intrusion extérieure», assure- t-on Place Beauvau. Il y a dix ans déjà, une polémique était née de la signature d'un contrat entre une entreprise informatique proche de la Scientologie et le groupe d'intervention de choc du ministère, le Raid.
Fin 2000, le ministère de l'Intérieur allemand a, lui aussi, dû affronter un problème similaire: Berlin s'était aperçu que le logiciel Diskeeper, présent dans le programme Windows 2000 de Microsoft, était fabriqué par une société informatique dirigée par un scientologue notoire. Très à cheval sur la lutte contre les sectes, le gouvernement de Berlin a demandé à Microsoft d'inclure un «déprogrammateur» du logiciel «suspect» sur Windows 2000. La firme de Bill Gates a cédé à l'amicale pression du ministère de l'Intérieur allemand...
Droits de réponse publié dans la rubrique Le courrier du N° 2600 du 03/05/2001 P. 10
Dans votre article «Un logiciel scientologue Place Beauvau» (voir L'Express du 12 avril), vous affirmez que la société Panda Software n'est pas un groupe comme les autres, qu'elle finance, par l'intermédiaire de son dirigeant, une organisation affiliée à la Scientologie et qu'il n'est pas certain que les logiciels antivirus qu'elle édite ne permettent pas de détourner des données informatiques à l'insu de leurs utilisateurs, et notamment à l'insu du ministère de l'Intérieur, dont une partie du parc informatique est équipée par des logiciels de Panda. (...) Panda Software n'a aucune relation, ni contractuelle ni économique, avec l'Eglise de scientologie, Wise ou d'autres organismes similaires. Ses comptes sont audités et contrôlés par PriceWaterhouseCoopers et ne présentent aucune irrégularité financière, ni aucun paiement, droit ou contribution de quelque nature que ce soit au profit de ces organismes. (...) Ceux qui suspectent que notre logiciel réalise des fonctions différentes de celles qui sont annoncées pourront vérifier la fausseté de toute affirmation contraire. Le détecteur de vulnérabilités internationalement reconnu, Cuartango, affirme que les produits et services proposés par Panda Software ne présentent aucun indice d'irrégularité.
La société Panda Software.
Dans l'article «Un logiciel scientologue Place Beauvau» (voir L'Express du 12 avril) vous avez mis en cause Mikel Urizarbarrena en raison de ses supposées croyances scientologues. Mikel Urizarbarrena entend préciser qu'il a droit, comme toute autre personne, au respect de sa vie privée, ce principe étant reconnu par la plupart des Constitutions, lois et engagements internationaux des différents pays du monde ainsi que par la Déclaration universelle des droits de l'homme.
Mikel Urizarbarrena.
La réponse de Jérôme Dupuis
La société Panda Software conteste tout lien avec l'Eglise de scientologie. Comme nous l'écrivions, elle figure pourtant dans l'annuaire Wise de l'Institut mondial des entreprises scientologues. Quant à ses dirigeants, ils ne cachent pas, eux non plus, leurs relations avec la Scientologie: son fondateur, Mikel Urizarbarrena, figure en bonne place parmi les donateurs de l'organisation; son représentant français a, lui, reconnu devant les caméras de France 3 qu'il était scientologue.
Source : http://www.lexpress.fr/informations/un-logiciel-scientologue-place-beauvau_642022.html
http://www.anti-scientologie.ch/panda-2001.htm#infiltrer
http://deconstruire.babylone.over-blog.org/article-6421670-6.html
Méme MICROSOFT n'y avait pas échappé : http://www.antisectes.net/jensen-microsoft.htm
Le ministère de l'Intérieur a-t-il financé, à son insu, l'Eglise de scientologie? La question agite les couloirs feutrés de la Place Beauvau depuis quelques jours: une enquête interne a en effet révélé que le ministère avait souscrit un contrat avec une société informatique dirigée par un célèbre scientologue. Selon nos informations, la Direction des transmissions et de l'informatique (DTI) a signé, en 2000, un contrat avec Panda Software pour une utilisation illimitée d'un logiciel antivirus baptisé «Global Assurance Antivirus 24 h/24-365 jours/an». Montant du bon de commande: 200 000 francs. Selon le ministère de l'Intérieur, 12% de son parc informatique, qui alimente aussi bien l'administration centrale que les commissariats ou les préfectures, utiliserait le logiciel Panda. «Nous n'avons aucune possibilité légale d'évincer d'un marché une entreprise dirigée par un scientologue», explique-t-on chez Daniel Vaillant.
Fondé en 1990 à Bilbao, Panda Software est aujourd'hui le quatrième éditeur au monde de logiciels antivirus, ces produits qui évitent aux ordinateurs d'être envahis par des parasites du type ILOVEYOU. Le nom du fondateur de cette multinationale implantée dans 50 pays, Mikel Urizarbarrena, apparaît dans le n° 66 d'Impact, le magazine sur papier glacé de la secte, pour avoir fait un don de 40 000 dollars (soit 240 000 francs), en 1996, à l'Association internationale des scientologues. Un petit cadeau, réitéré régulièrement depuis, qui lui a valu le titre honorifique de «patron». Un responsable de la succursale française de Panda est lui aussi un adepte de la «religion» fondée par Ron Hubbard.
Plusieurs conseils généraux - dont ceux de la Gironde, du Gard ou de l'Indre-et-Loire - et d'importantes sociétés - Naf Naf, Carrefour, JC Decaux... - ont également signé avec la firme espagnole. Panda se prévaut même, dans un document, de contrats avec des «agences de renseignement»... La société de Mikel Urizarbarrena n'est pourtant pas tout à fait un groupe comme les autres. Elle verse en effet un pourcentage de ses bénéfices au World Institute of Scientology Enterprises (Wise), une organisation basée aux Etats-Unis qui regroupe près de 2 500 sociétés dirigées ou contrôlées par des scientologues (voir le fac-similé). La France en compte une petite quarantaine. Une partie du montant du contrat signé avec le ministère de l'Intérieur français - on parle de 6 à 9% - a donc logiquement dû approvisionner les caisses de Wise. Officiellement, cette «dîme» rémunère l'utilisation de la «technologie Ron Hubbard» par les entreprises affiliées à l'organisation.
Mais, au-delà du financement de la secte, le contrat signé avec le ministère de l'Intérieur suscite des interrogations plus... techniques. Est-on bien certain que les mises à jour régulières du logiciel par Panda ne permettent pas de pénétrer dans les bases de données ultraconfidentielles du ministère? «Notre réseau est sécurisé et ne permet aucune intrusion extérieure», assure- t-on Place Beauvau. Il y a dix ans déjà, une polémique était née de la signature d'un contrat entre une entreprise informatique proche de la Scientologie et le groupe d'intervention de choc du ministère, le Raid.
Fin 2000, le ministère de l'Intérieur allemand a, lui aussi, dû affronter un problème similaire: Berlin s'était aperçu que le logiciel Diskeeper, présent dans le programme Windows 2000 de Microsoft, était fabriqué par une société informatique dirigée par un scientologue notoire. Très à cheval sur la lutte contre les sectes, le gouvernement de Berlin a demandé à Microsoft d'inclure un «déprogrammateur» du logiciel «suspect» sur Windows 2000. La firme de Bill Gates a cédé à l'amicale pression du ministère de l'Intérieur allemand...
Droits de réponse publié dans la rubrique Le courrier du N° 2600 du 03/05/2001 P. 10
Dans votre article «Un logiciel scientologue Place Beauvau» (voir L'Express du 12 avril), vous affirmez que la société Panda Software n'est pas un groupe comme les autres, qu'elle finance, par l'intermédiaire de son dirigeant, une organisation affiliée à la Scientologie et qu'il n'est pas certain que les logiciels antivirus qu'elle édite ne permettent pas de détourner des données informatiques à l'insu de leurs utilisateurs, et notamment à l'insu du ministère de l'Intérieur, dont une partie du parc informatique est équipée par des logiciels de Panda. (...) Panda Software n'a aucune relation, ni contractuelle ni économique, avec l'Eglise de scientologie, Wise ou d'autres organismes similaires. Ses comptes sont audités et contrôlés par PriceWaterhouseCoopers et ne présentent aucune irrégularité financière, ni aucun paiement, droit ou contribution de quelque nature que ce soit au profit de ces organismes. (...) Ceux qui suspectent que notre logiciel réalise des fonctions différentes de celles qui sont annoncées pourront vérifier la fausseté de toute affirmation contraire. Le détecteur de vulnérabilités internationalement reconnu, Cuartango, affirme que les produits et services proposés par Panda Software ne présentent aucun indice d'irrégularité.
La société Panda Software.
Dans l'article «Un logiciel scientologue Place Beauvau» (voir L'Express du 12 avril) vous avez mis en cause Mikel Urizarbarrena en raison de ses supposées croyances scientologues. Mikel Urizarbarrena entend préciser qu'il a droit, comme toute autre personne, au respect de sa vie privée, ce principe étant reconnu par la plupart des Constitutions, lois et engagements internationaux des différents pays du monde ainsi que par la Déclaration universelle des droits de l'homme.
Mikel Urizarbarrena.
La réponse de Jérôme Dupuis
La société Panda Software conteste tout lien avec l'Eglise de scientologie. Comme nous l'écrivions, elle figure pourtant dans l'annuaire Wise de l'Institut mondial des entreprises scientologues. Quant à ses dirigeants, ils ne cachent pas, eux non plus, leurs relations avec la Scientologie: son fondateur, Mikel Urizarbarrena, figure en bonne place parmi les donateurs de l'organisation; son représentant français a, lui, reconnu devant les caméras de France 3 qu'il était scientologue.
Source : http://www.lexpress.fr/informations/un-logiciel-scientologue-place-beauvau_642022.html
http://www.anti-scientologie.ch/panda-2001.htm#infiltrer
http://deconstruire.babylone.over-blog.org/article-6421670-6.html
Méme MICROSOFT n'y avait pas échappé : http://www.antisectes.net/jensen-microsoft.htm
Dernière édition par OYABIO le Sam 20 Nov - 11:10, édité 1 fois
SRKO lui même est il Scientologue ?
90 Minutes, une émission d'investigation sur canal +, a suivi quelques pistes troublantes...
1) sous le règne de SRKO, le ministère de l'Intérieur a curieusement relâché sa surveillance autour de l'Eglise de scientologie, des dossiers ont mystérieusement disparus des palais de Justice, un policier spécialement chargé d'un dossier au sujet de cette église a même été écarté.
On se souvient aussi de l'amitié trouble de Nicolas Sarkozy avec Tom Cruise (scientologue ouvertement affiché).
Avec franchise, Nicolas Sarkozy a reconnu publiquement ne pas avoir d’opinion arrêtée sur cette secte pourtant maintes fois dénoncée pour ses pratiques liberticides....et quand il parle de l'eglise de scientologie, il se touche le nez, signe de mensonge, (selon la série TV LIE TO ME sur M6) et est très très embarrasé d'en parler.....comme une secte...
Même le porte-parole de la scientologie en France a expliqué comment la situation de la secte s’est améliorée depuis que SRKO est Président.
Dans son livre sur la République et les religions, SRKO considère qu'il faut refuser les "amalgames" entre les sectes et les "nouveaux mouvements spirituels". Or, la Scientologie use de tout son pouvoir de lobbying (et elle en a) pour être universellement reconnue comme un "nouveau mouvement spirituel", alors qu'à la base, il convient de le dire, elle n'a de Dieu que le FRIC et le POUVOIR que donne le FRIC....et rien d'autres, comme les autres mouvements spirituels ordinaires....
Les étranges disparitions de dossiers de procédure judiciaire concernant la Scientologie
suite 2
suite 3
suite 4
suite 5
suite 6
l'Eglise de Scientologie n'a donc rien à voir avec le VRAI SPIRITUEL, et encore moins ne devrait avoir le nom d' EGLISE......Rien que le fait de chercher à faire passer la scientologie comme une EGLISE et ou un MOUVEMENT SPIRITUEL est une tromperie à la base.....leur seul dieu étant le fric et le vouloir le pouvoir, et rien d'autre....
Pour plus d'infos sur SARKOZY+SCIENTOLOGIE ???, tapez ces mots clés dans GOOGLE....
Sujets similaires
» MEDIUMS FRANCAIS et ou parlant Français
» Les STARS et la SCIENTOLOGIE
» Des MILLIARDAIRES donnent à la PHILANTROPIE, à l'ALTRUISME
» Le groupe WISE, la SCIENTOLOGIE et l'infiltration Politique, Mediatique, Technologique et autres clés de pouvoirs
» LOGICIEL de CAPTURE d'ECRAN
» Les STARS et la SCIENTOLOGIE
» Des MILLIARDAIRES donnent à la PHILANTROPIE, à l'ALTRUISME
» Le groupe WISE, la SCIENTOLOGIE et l'infiltration Politique, Mediatique, Technologique et autres clés de pouvoirs
» LOGICIEL de CAPTURE d'ECRAN
RVELATIONS :: NOUVEL ORDRE MONDIAL pire que L'ANCIEN :: BIG BROTHER et ses atteintes aux Libertés Individuelles
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum