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Les vrais ASSISTES ne sont pas ceux que l'on croit

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Message  OYABIO Ven 25 Oct - 16:44

Selon le Canard enchaîné, le "conseiller spécial" Guaino touchait 19000 € par mois à l'Elysée. L'Etat providence version #UMP

L'Assemblée a rémunéré 52 épouses, 28 fils et 32 filles de députés en 2014 http://www.mediapart.fr/journal/france/270714/lassemblee-remunere-52-epouses-28-fils-et-32-filles-de-deputes-en-2014

Le PETROLIER TOTAL NE PAIE pas un centime d'impôt en France, mais vient de recevoir  un chèque du fisc de 80 M€ (prélevé bien sur les impots des French) http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/total-pas-un-centime-d-impot-mais-un-cheque-du-fisc-de-80-meur-17-10-2014-4219013.php …


Le magazine Le Point a été gratifié de 13 Millions € d'aide publique (c'est vos impots) entre 2009 et 2011, pourtant régulièrement il crache sans cesse  sur "la France des assistés" (RSA, etc...)
http://www.politis.fr/Les-mensonges-du-Point-sur-la,24248.html   …
http://www.acrimed.org/article4177.html

Le journal Le Monde touche 19 millions d'aide de l'Etat....et comme Le POINT fait souvent des tartines de maard sur les """ assistés """

MEDIAPART zero aide publique, car il s'auto finance avec ses lecteurs qui lui font confiance pour sa rigueur journalistique et son absence d'écraser les petits pour mieux se grandir lui même...

Les Bankster ont eut des Milliards et des milliards d'aides publiques, alors qu'ils étaient responsables d'une mauvaise gestion de l'argent qui leur était confié par chacun, chacune d'entre nous à la base...

Des Entreprises comme Arcelor MITTAL, etc ... ont reçu des aides publiques pour s'installer en France et peu après, ont tout fermé pour partir, laissant sur le carreau du chomage des Milliers de Français...

OUI indirectement, mais surement les RICHES sont beaucoup + aidés, et assistés en recevant des aides publiques et en étant exonéré de taxes/impots de toutes sortes....quand ils en payent....

"La France n’a jamais été aussi riche et on ne taxe pas ceux d’en haut ! 500 familles possèdent 330 milliards d'euros !"

et j'en passe de tout un tas de ces AIDES PUBLIQUES, de ces EXONERATION de taxe ou d'impots à des PRIVES du CAPITALISME (affaire TAPIE le scandale) qui ne créent pas plus d'emplois, mais s'en servent pour se GOINFRER dans leurs PARADIS FISCAUX......mais dites : Ca ne risque pas d'inciter à la paresse, à la fuite de capitaux, ce niveau d'assistanat ?

Ah que les RICHES aiment à palabrer sans cesse, sur les pauvres, ces faineants, ces profiteurs, ces assistés....mais c'est pour mieux enfumer les masses et se faire oublier, que les RICHES cherchent sans cesse des boucs émissaires en bas, afin de mieux disimuler que les vrais profiteurs, ce sont eux ....

http://www.marianne.net/Cette-semaine-dans-Marianne-Ultra-riches-les-vrais-assistes_a207656.html

La bonne VIELLE rengaine des chômeurs, DES PAUVRES et des immigrés fraudeurs,profiteurs, sans aucun doute bénéficie au vote FN. On entend moins parler des riches, dont le train de vie est pourtant largement subventionné par les AIDES PUBLIQUES aussi.....Alors qui PROFITE réellement et de quoi ???, celui qui touche 440 euros par mois en RSA et qui après avoir payé ses factures obligatoires, Loyers, Eau, Electricité, Assurance, Telephone, Internet, n'a plu que 200 euros grand Max pour se nourrir d'un repas par jour, et pas du tout complet, ni équilibré, pour rester propres et se déplacer un peu....ou alors, ceux qui sont déjà RICHES et qui bénéficient de grandes largesses, parfois en MILLIONS des AIDES PUBLIQUES, prisent sur les impots de tous et toutes, y compris des pauvres ????

ainsi, ya les Assistés de la spéculation immobilière

Dans une synthèse publiée le 10 avril dernier par l’Observatoire des inégalités, il est ainsi rappelé que « parmi les 3 millions de chômeurs et les 15 millions de retraités, on ne compte pas uniquement des catégories populaires ». Quant aux niches fiscales (travaux à domicile, investissements dans les Dom-Tom ou dans l’immobilier locatif) qui vont coûter 66 milliards d’euros à la collectivité en pertes de recettes en 2012, elles bénéficient pour l’essentiel aux plus aisés. Sans oublier qu’en 2011 les deux tiers des baisses d’impôt pour l’emploi de personnel à domicile sont allés aux 10 % des contribuables les plus favorisés.

Les Assistés des grandes écoles

Le mécanisme du quotient familial appliqué à l’impôt sur le revenu, que François Hollande compte réformer, « procure un avantage qui augmente avec le niveau de vie et le nombre d’enfants : 10 milliards sont ainsi distribués » : les réductions d’impôt accordées aux familles aisées avec enfants peuvent atteindre 9 000 euros (familles avec 3 enfants à partir de 7 500 euros mensuels).

Les classes aisées bénéficient aussi plus largement que les autres du système éducatif. Car leurs enfants fréquentent bien plus souvent l’université et les grandes écoles que les filières professionnelles. « En gros, la formation d’un élève jusqu’au BEP coûte 100 000 euros à la collectivité, un étudiant en licence 140 000 euros et un élève de grande école près de 200 000 euros… » Alors, qui coûte cher aux Français ?

« Plutôt que de contribuer à la richesse collective, les milliardaires en vivent et la ponctionnent royalement. On pourrait même dire que les vrais assistés sociaux, ce sont eux. » Et qu'en est-il de l'imposante contribution des riches aux recettes fiscales de l'État, beaucoup comme TOTAL, LOREAL, GOOGLE et bien d'autres ne payent pas, ou très peu d'impots et beaucoup d'autres s'adonnent à l'évasion fiscale dans de nombreux PARADIS FISCAUX ou par des NICHES FISCALES...On ne parle pas là de quelques centaines d'euros de RSA pour "" survivre "", on parle de Millions, de Milliards d'Euros qui n'entre plus dans les circuits financiers communs; et dans ces cas-là, ceux là ne jouent pas le JEUX des IMPOTS NECESSAIRES pour faire vivre tous et toutes dans un Pays de façon DIGNE, il nuisent carrément à l'économie nationale en se soustrayant aux règles de droit que bien souvent leurs ""politiciens"" ont faites et voter. »

+ d'infos pour NIQUER vos préjugés sur les PAUVRES, profiteurs (et parasites pour certains )

http://mobile.agoravox.fr/tribune-libre/article/qui-sont-les-assistes-138940

http://www.atd-quartmonde.fr/Les-idees-fausses-ca-suffit


Dernière édition par OYABIO le Ven 31 Oct - 17:38, édité 3 fois (Raison : les assistés NE SONT PAS CEUX QUON CROIT)
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Message  OYABIO Jeu 31 Oct - 10:26

150millions de fraude a l assurance maladie par les médecins, dentistes , infirmiers libéraux etc ....

Le TROU de la SECURITE SOCIALE n'existe pas, ce sont les RICHES qui payent pas ce qu'ils y doivent.....Taxes sur l'Alcool, non reversées à la sécu, etc ....



LES PRIVILEGES HONTEUX des SENATEURS
https://youtu.be/hir8_hBTWEQ

Les PARLEMENTAIRES EUROPEENS ces Assistés, traités comme des rois, mais n'ayant
jamais assez, courants comme des rats après n'importe quelle prime en +
https://youtu.be/YpyybLSSTCk

Les DEPUTES qui touchent des POTS de VIN pour VOTER des LOIS
https://youtu.be/9hkCzg1TByA

Le scandale des députés du Parlement européen qui viennent faire acte de présence pour quelques minutes, pour repartir aussitot et etre sur de toucher des INDEMINITEES ADDITIONELLES à leurs salaires deja très très élevés....
https://youtu.be/evfsyn-MLR4


Et ça balance sur les assistes au RSA qui sont largement sous le seuil de pauvreté avec 440 euros par mois net sur leurs compte en BANQUE, et sur lesquels, ils doivent payer les Factures Obligatoires : EDF, GAZ, EAU, ASSURANCES, INTERNET, etc....+ Nourritures et LOGISTIQUES...ce qui leur laisse au Final, a peine 50 euros d'argent de poches, pour le Mois...pour ceux qi se privent, bien sûr....

Et tous ces autres qui n'ont droit à rien en ARGENT, comment font ils pour vivre ????
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Message  OYABIO Mer 6 Nov - 18:16

@grebert de Puteaux sur Twitter

Source http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20131106.OBS4122/un-chef-de-file-de-nkm-occupe-toujours-un-logement-hlm.html

Conseiller de Paris du 19e arrondissement, chef de file de Nathalie Kossusco Morizet, 6.000 euros par mois Jean-Jacques Giannesini habite toujours un logement à loyer modéré, (HLM pour les gens qui ont peu de moyens financiers et normalement attribués à eux seuls), 'il s'est engagé à quitter ce mercredi, mais Il trouve injuste de devoir le rendre...

Jean-Jacques Giannesini a décidé de rendre son logement social. L'élu UMP souhaite ainsi "se mettre en conformité avec la demande de Nathalie Koscisuko-Morizet qui exige pour figurer sur ses listes que chacun s'engage à ne pas être en situation de conflit d'intérêts", selon un communiqué publié mercredi 6 novembre. Une décision motivée par les révélations du site d'information Le Lab.

Plus tôt, le site internet révélait que le conseiller de Paris et chef de file de Nathalie Kosciusko-Morizet dans le 19e arrondissement occupait toujours son HLM près de la porte de Pantin. Un 80 mètres carrés, loué 1.200 euros par mois, soit 400 euros de moins que le prix moyen constaté dans ce quartier par l'observatoire des loyers de l'agglomération parisienne.

Pourtant, déjà épinglé en octobre 2009, l'élu déclarait au "Parisien" : "Cet appartement est un ILM à loyer plus élevé. Je ne m'en suis jamais caché : pendant la campagne de 2008, je m'étais engagé à le quitter si j'étais élu [ce qui fut le cas, NDLR]. Mais depuis un an, je n'ai pas trouvé d'appartement correct !"

Cet appartement, Jean-Jacques Giannesini l'occupe depuis plus de 20 ans à une époque où il était "au chômage et simple conseiller d'arrondissement", avait-il confié au "Parisien". Mais en 2009 déjà, l'élu UMP avouait gagner "6.500 euros par mois" et trouvait "normal de laisser ce logement". Et pourtant, aujourd'hui, interrogé par Le Lab, Jean-Jacques Giannesini semblait avoir changé d'avis.

L'élu plaidait la précarité de sa situation, même s'il gagne toujours, à peu de choses près, le même salaire : "Je suis contractuel de l'Etat, je ne suis même pas fonctionnaire, je n'ai pas de patrimoine. Demain, si je ne suis plus conseiller de Paris, je me paye un logement comment ? Comment je fais pour rester dans le 19e, trouver un logement dans le privé ? Les classes moyennes aujourd’hui ne peuvent plus se loger à Paris", affirme-t-il.

Et Jean-Jacques Giannesini de se plaindre : "Un logement social dans le 19e, Porte de Pantin en bordure du périphérique, ce n'est quand même pas la même chose que dans le 16e ou le 17e."

Bref rappel : plus de 500.000 personnes sont en attente d'un logement social en Ile-de-France, selon l'Aorif, mais il est vrai que le taux de rotation n'est que de 7%.

6000 EUROS par mois, et ça vient pleurer sa Mere.....quand un peu de Justice revient lui prendre ce qu'il n'était jamais en droit d'avoir...selon les Lois de la France....et c'est UMP en +, le parti qui crache sans cesse sur les pauvres, les ASSISTES, et qui voudrait leur supprimer leurs maigres allocations sociales, tels que AAH, RSA, etc.....

Tiens???? encore un autre des potes à NKM dans un logement social HLM :
http://www.rue89.com/2013/11/13/encore-tete-liste-nkm-locataire-dun-logement-social-247462
Jack-Yves Bohbot, chef de file de Nathalie Kosciusko-Morizet dans le XIe arrondissement de Paris est locataire depuis 1991 d’un logement social de 88 m2 dans le Marais (IVe arrondissement). Son loyer de 1 500 euros par mois, charges comprises, est remarquablement bas. .....

Pas étonnants qu'il y a des Français SDF, si même les logements sociaux sont squattés par des gens riches.......et pire...élus de la république; c'est à dire dont les salaires sont PAYES par les impots pris sur le peuple...


Dernière édition par OYABIO le Mer 13 Nov - 11:44, édité 1 fois
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Message  OYABIO Mar 12 Nov - 12:46

‏@marineturchi sur twitter

[ENQUETE] Des millions d'argent public pour le cuisinier préféré de Michèle Tabarot numero 2 de l'UMP

12 novembre 2013 | Par Karl Laske et Marine Turchi de MEDIAPART http://www.mediapart.fr/journal/france/081113/des-millions-dargent-public-pour-le-cuisinier-prefere-de-michele-tabarot

La secrétaire générale de l’UMP, la députée et maire du Cannet Michèle Tabarot, n’a reculé devant aucun sacrifice pour s’assurer l’implantation de Bruno Oger, l’ancien chef du Fouquet’s Cannes. La commune lui a accordé un bail de 70 ans dans une bastide obtenue par un legs qui prévoyait la réalisation d’un musée. Le projet a coûté près de deux millions d’euros aux contribuables.
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Message  OYABIO Sam 16 Nov - 12:50

Source :
http://blogs.mediapart.fr/blog/louis-maurin/151113/qui-sont-les-privilegies-d-une-france-en-crise

Qui sont les privilégiés dans la France contemporaine ? Régler la question des inégalités en s’en prenant à une élite étroite arrange, au fond, les couches favorisées. Pour réduire les inégalités, il suffirait de corriger les dérives de quelques-uns, situés tout en haut de la hiérarchie sociale. Une bonne méthode pour ne rien changer au fond. (repris du site de l'Observatoire des inégalités)

Les super-riches se sont enrichis de façon indécente ces dernières années, mais notre pays reste marqué par des privilèges dont dispose une fraction beaucoup plus large de la population. Ce qui alimente le ressentiment des catégories populaires et les tensions sociales. Essayons d’y voir plus clair.

La France de tout en haut va très bien. Malgré la crise, elle continue de s’enrichir de façon indécente. Entre 2004 et 2010 [1], les revenus des 0,1 % les plus riches ont augmenté de 18 %, soit 36 000 euros annuels, l’équivalent de trois ans de Smic, contre 7 % et 1300 euros pour le revenu médian (autant gagne moins, autant gagne plus, revenu par ménage, avant impôts et prestations sociales). La France de l’élite scolaire prospère tout autant. Ses « grandes écoles » restent fermées au peuple, mais ses élèves choyés. La collectivité dépense 15 000 euros par étudiant en classe préparatoire aux grandes écoles, contre 9 000 euros par étudiant des filières généralistes de l’université.

La « France des riches » est largement dénoncée à gauche, avec raison [2]. Pourtant, la critique laisse parfois songeur. Cette vision élitiste des inégalités, très en vogue, conduit à faire l’économie d’une réflexion de fond sur les inégalités sociales qui structurent notre société en profondeur, bien au-delà d’une poignée de dirigeants. Concrètement, elle permet aux catégories favorisées d’éviter de contribuer davantage à la solidarité et de faire plus de place aux couches moyennes et populaires. Ou de réformer l’école pour l’ouvrir à tous.

Dans la France contemporaine, les privilèges vont bien au-delà des beaux quartiers et des classes prépas. La stagnation du pouvoir d’achat est une moyenne qui masque la progression des revenus de catégories qui se disent assommées par le « matraquage fiscal ». Entre 2008 et 2011, le seuil de revenu des 10 % les plus pauvres a baissé de 3,5 % (après impôts et prestations sociales), quand celui des 10 % les plus riches a augmenté de 2,5 %. Une perte de moins 370 euros annuels d’un côté et un gain de 918 euros de l’autre [3]. Or on entre dans le club des 10 % les plus aisés, à l’abri de la crise, à partir de 3 000 euros nets [4] pour un célibataire ou 5 600 euros en moyenne pour un couple avec enfants. Bien loin des revenus des patrons superstars du CAC 40 ou de nos 0,1 %.

Rebaptisées classes moyennes supérieures par les médias, ces classes aisées tentent d’associer leur sort aux catégories moyennes, qui se situent au milieu du gué (environ 1 500 euros mensuels pour une personne seule) et dont les revenus stagnent. Un classique des rapports de forces sociaux, particulièrement pratiqué chez les indépendants, des agriculteurs aux médecins favorisés. Le déguisement des classes moyennes supérieures a une toute autre ampleur : une frange entière de la population cherche ainsi à éviter de participer à l’effort fiscal [5].

Les privilégiés d’aujourd’hui ne sont pas seulement les titulaires de revenus élevés, mais tous ceux qui sont protégés des aléas du chômage, d’une rupture de parcours professionnel qui conduira à une baisse quasi certaine des revenus, parfois conséquente. Au premier chef, ceux qui disposent du statut d’emploi protecteur de la fonction publique et de bien d’autres organismes para-publics où, en pratique, quasiment personne n’est jamais licencié. A niveau de vie équivalent, savoir que l’on disposera d’un salaire jusqu’à sa retraite est devenu, au bout de 40 ans de chômage de masse, un déterminant central des conditions de vie par la stabilité qu’il procure et pour les droits qu’il ouvre, notamment dans l’accès au logement. Certes, une partie des fonctionnaires – c’est le cas, par exemple, des enseignants du primaire ou dans les services informatiques – acceptent en contrepartie des revenus limités rapportés à leurs qualifications. Il n’en demeure pas moins que l’avantage est là. Hier, on moquait les « ronds de cuir » de la République, aujourd’hui, savoir de quoi sera fait demain a une valeur inestimable.

Face à la crise, le niveau de protection résulte par ailleurs pour beaucoup de la taille de l’entreprise. La bureaucratie publique comme privée a son lot d’avantages [6]. Le statut des salariés des grandes structures du secteur privé est sans commune mesure avec celui des PME. La condition salariale, du niveau de salaire à la couverture santé en passant par les avantages du comité d’entreprise, n’a rien à voir avec celle du commun des salariés [7]. La formation et les programmes de reconversion dans les grands groupes font que la menace du chômage n’est pas la même.

Sur le marché du travail, au-delà du statut, le privilège qui structure le plus notre société est le titre scolaire qui fonctionne comme un véritable capital culturel selon l’expression du sociologue Pierre Bourdieu. Dans une société où la croyance dans la valeur des diplômes est démesurée [8], ceux qui détiennent un titre disposent d’une carapace très protectrice. Le taux de chômage des sans diplôme s’élève à 16 %, contre 5,6 % pour ceux qui se situent au-dessus de bac+2. Bien sûr, les cas de sur-diplômés sous embauchés ou au chômage existent et se développent. Pour eux, le déclassement est particulièrement violent puisqu’ils sont sensés sortir du lot. Il n’empêche : l’exception ne fait pas la règle.

Les initiés de l’école

A l’école, les privilèges dépassent, de loin, les classes préparatoires aux grandes écoles. Ainsi par exemple, apprendre à lire aux enfants le plus tôt possible, en fin de section de maternelle (contrairement à d’autres pays comme la Finlande où cet apprentissage a lieu deux ans plus tard) creuse des écarts précoces du fait de la maîtrise du langage propre aux milieux diplômés. Dans la suite du cursus scolaire, du primaire au lycée, l’ « élitisme républicain » de notre système éducatif est, au fond, un élitisme social. Les programmes, la place des savoirs théoriques, l’évaluation-sanction répétée, sont taillés sur mesure pour les enfants de diplômés, en particulier d’enseignants [9], qui maîtrisent le code de l’école. 90 % de leurs enfants obtiennent le bac, deux fois plus que les enfants d’ouvriers non-qualifiés : ces derniers sont-ils moins « méritants », moins « intelligents » ? L’orientation des jeunes reste un parcours dans lequel une partie des familles, initiées et maîtrisant les arcanes des filières, disposent d’informations sans commune mesure avec la masse des autres parents. Un énorme privilège. La façon même dont l’école française fonctionne, en appuyant sur les échecs plutôt qu’en valorisant les efforts, par la mise en avant d’une poignée d’élèves plutôt que la réussite de tous, joue en la défaveur des catégories les moins favorisées. Le privilège de la maîtrise du code scolaire est l’essence même des inégalités sociales.

Les privilégiés au pouvoir

« Le changement, c’est maintenant » ? La gauche a accédé au pouvoir en faisant campagne sur la réduction des inégalités sociales. Forte de tous les pouvoirs, à tous les échelons territoriaux, elle a oublié sa promesse. La réforme fiscale n’aura pas lieu, les régimes spéciaux de retraite ne seront pas touchés, la « refondation » de l’école ne touche pas à l’essentiel du système… La grande affaire de ce début de quinquennat aura été le « mariage pour tous ». Qu’a proposé la gauche pour réduire les inégalités sociales ? Quelques emplois d’avenir et une « garantie jeune » [10] en expérimentation dans dix territoires pilotes. Rien ou presque.

Cette situation s’explique. Les privilégiés sont aux commandes. Pas seulement aux plus hauts postes de l’exécutif. Des entreprises aux collectivités locales en passant par les associations, une bourgeoisie économique (plutôt de droite) mais aussi culturelle (plutôt de gauche) dispose du pouvoir, vit dans un entre-soi, et n’a aucun intérêt au « changement » qu’elle met en avant comme un slogan. Elle pointe du doigt les ultras-riches mais elle oublie bien vite les quartiers populaires et méprise les couches moyennes pavillonnaires dont l’idéal est écologiquement incorrect [11].

Les groupes qui défendent les intérêts des couches favorisées disposent de moyens de communication et de lobbying considérables. La maîtrise de la parole publique, de la médiatisation des intérêts a pris un poids démesuré dans les décisions des politiques publiques. En face, les « invisibles » [12], la France peu qualifiée salariée du privé ou au chômage, sont peu audibles. Les quelques mouvements de soutien aux plus précaires (pauvreté, sans papiers, mal-logement, etc.) se concentrent sur les situations les plus difficiles avec de maigres moyens. Les syndicats ne représentent plus qu’une fraction ultra-minoritaire des salariés, moins de 5 % dans le secteur privé, concentrés dans les grandes entreprises. Les nouveaux mouvements militants, issus de milieux cultivés et urbains, se passionnent bien davantage pour les causes modernes d’une société post-68 comme la préservation de leur environnement, les inégalités dont sont victimes les femmes ou les homosexuels, voire la diversité ethno-culturelle. Des causes justes, à condition qu’elles n’amènent pas à oublier les inégalités sociales qui traversent notre société, ou pire, ne servent pas à les masquer.

Dans notre pays, la bourgeoisie économique et culturelle est préoccupée par ses prochaines vacances, payer moins d’impôts, trouver la bonne école pour ses enfants ou savoir si elle mange vraiment bio... Bien sûr, beaucoup de citoyens partagent la volonté de réformes en profondeur, savent bien que chacun doit balayer devant sa porte et sont prêts à faire un effort. Mais s’indigner est une chose, agir en est une autre [13]. Reste à savoir à quel moment ces couches favorisées prendront conscience qu’à trop profiter et si peu partager elles risquent de tout perdre. A trop tirer sur la corde des privilèges tout en faisant miroiter l’égalité pour tous, le risque est grand que cet état de fait n’entraîne des mouvements de contestation de grande ampleur et que d’autres forces, beaucoup plus conservatrices, prennent les choses en main.

Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités http://www.inegalites.fr/
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Message  OYABIO Mer 20 Nov - 11:13

‏@casirni 5 min

"380.000 ménages occupent des HLM en France alors qu'ils gagnent + de 4000 euros par mois" source : http://www.lefigaro.fr/immobilier/2013/11/20/05002-20131120ARTFIG00226-hlm-paris-dans-le-viseur-de-l-europe.php

HLM : Paris dans le viseur de l'Europe, Bruxelles enquête pour savoir si les subventions au logement social sont toutes justifiées.

L'État et les collectivités locales distribuent-ils trop d'aides aux organismes HLM en France? Les propriétaires-parti­culiers qui louent leurs biens sont-ils du coup désavantagés? L'UNPI (Union nationale de la propriété immobilière), qui en est persuadée, avait porté plainte à ce sujet en mai 2012 devant la Commission européenne. Plus précisément devant la direction générale de la concurrence. Selon nos informations, la procédure s'est accélérée ces derniers temps. Bruxelles, qui s'est déclaré compétent pour instruire cette plainte dès l'été 2012, a demandé des explications à Paris. Après plusieurs allers-retours, le gouvernement Ayrault vient de rendre sa copie définitive. Dans les prochaines semaines, la Commission européenne dira si elle ouvre une procédure formelle à l'encontre de l'État français.

Une évolution qu'espère l'Unpi. «Sur les 21 milliards d'euros versés, selon nous, par les pouvoirs publics aux organismes HLM, il y a au moins deux milliards d'aides injustifiés au regard du droit européen», affirme France Bauvin, administratrice de l'Unpi. Cette association, qui regroupe 250.000 adhérents, estime notamment que l'État et les collectivités financent avec trop de largesse la construction de HLM haut de gamme (les PLS «prêt locatif social» et les PLI «prêt locatif intermédiaire»). Pour étayer ses dires, l'Unpi a décortiqué l'exemple d'Épinorpa-Soginorpa, le plus important bailleur social du Pas-de-Calais.
Des ménages aisés en HLM

«Ces accusations ne sont pas fondées, réagit Jean-Louis Dumont, président de l'USH (Union sociale pour l'habitat) qui regroupe les organismes HLM. À part le taux réduit de TVA à 7 %, aujourd'hui, il n'y a pas d'aide pour le PLS et le PLI.» «Les niveaux de loyer beaucoup plus faibles dans les HLM que dans les logements privés justifient le montant des aides en France. Elles s'élèvent à environ 10 milliards d'euros, et non pas 21 milliards», ajoute-t-on au ministère du Logement. L'Unpi ne comprend pas plus pourquoi beaucoup de familles aisées sont logées dans le parc social public. «Près de 380.000 ménages occupent des HLM en France alors qu'ils gagnent plus de 4000 euros par mois, ce qui les met au-dessus des plafonds de ressources», estime France Bauvin. Une situation problématique, puisque 1,2 million de personnes sont sur liste d'attente pour obtenir un logement social. Ce que réfute Jean-Louis Dumont. «Il n'y a pas 380.000 ménages en HLM au-dessus des plafonds de ressources, mais 10.000, affirme-t-il. Aujourd'hui, nous leur appliquons des surloyers. Et, comme le prévoit la loi Molle votée en 2009, les organismes HLM pourront expulser ces ménages à partir de 2014.» «115.000 ménages payent déjà un surloyer», répond-on au cabinet de Cécile Duflot.

Cette affaire n'est pas qu'une bagarre d'experts. Si la Commission ouvre une procédure formelle dans quelques semaines, il y aura un vrai risque pour l'État français. Plutôt que de demander à la France le remboursement par les organismes HLM de ces aides indues, la Commission pourrait inciter le gouvernement Ayrault à réduire à l'avenir ces subventions. Ce serait un vrai cataclysme pour Cécile Duflot, ministre du Logement, qui s'est engagée à gonfler la production de HLM, grâce à une augmentation des aides publiques. Compte tenu des délais d'instruction, l'affaire ne sera pas dénouée avant 2015.

Jean-Yves Guerin, journaliste au Figaro

autres liens

http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/11/19/10001-20131119ARTFIG00543-le-plus-gros-organisme-de-logement-social-du-nord-pointe-du-doigt.php
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Message  OYABIO Mer 27 Nov - 10:34

https://www.dailymotion.com/video/x17mbe2_les-vrais-assistes-c-est-le-medef_news

Apres l'affaire cahusac pris la main dans le sac du blanchiment de fraude fiscale, et son départ du Gouvernement, Cahusac touche encore son salaire de Ministre....il n'est plu ministre, mais les impots des Français (ses) continuent de le payer 9 443 euros bruts par mois ...et c'est pas un RSA qu'il touche là, à rien foutre, comme disent les cons contre les RMISTES ???

http://www.lepoint.fr/politique/cahuzac-continue-de-toucher-ses-indemnites-de-ministre-16-05-2013-1668838_20.php


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Message  OYABIO Mar 1 Juil - 8:08

Les vrais ASSISTES ne sont pas ceux que l'on croit BrcSq1VIcAAkpoHhh

En quelques années, Radiall, l’entreprise dirigée par le patron des patrons, a réduit à néant, ou presque, sa contribution fiscale en France, tout en bénéficiant des crédits et en multipliant les dividendes. De quoi susciter une vraie bronca, loin du faux bras de fer avec le gouvernement.

le guss veut baisser les salaires, faire des sous smig et pourquoi pas retablir l'esclavage, pendant ce temps là, lui et ses petits copains patrons des patrons ( oui vous avez bien lu, patrons des patrons signifie que des guss se posent en patrons des patrons et de se fait transforment les petits patrons en simples ouvriers du grand patronnat qui leur bouffe le caviar sur le dos ) se gavent de SUBVENTIONS PUBLIQUES tout en ne payant pas ou peu d'impots ...

mEME les FORMATIONS du MEDEF sont payées par L'ARGENT PUBLIC

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/05/13/formation-les-bons-comptes-de-pierre-gattaz_4416062_4355770.html

ces gars là ont des colonies d'oursins dans les poches



Dernière édition par OYABIO le Mer 27 Aoû - 13:39, édité 1 fois
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Message  OYABIO Jeu 17 Juil - 16:38

source http://www.mediapart.fr/journal/france/170714/allegements-de-charges-ne-dites-pas-aux-senateurs-que-ca-ne-fonctionne-pas  

Allègements de charges : ne dites pas aux sénateurs que ça ne fonctionne pas !

17 juillet 2014 |  Par Rachida El Azzouzi

Les milliards d’exonérations de cotisations sociales consenties aux patrons n’ont jamais inversé la courbe du chômage. C’est le constat sans appel de la mission du Sénat qui planche depuis quatre mois sur le sujet. Mais le rapport ne sera jamais publié, retoqué par les sénateurs UMP, UDI… et socialistes.


« Réforme implicite du financement de notre protection sociale qui met en danger le modèle social français hérité de 1945 », « résultats décevants en termes d’emplois créés ou sauvegardés », « nombreux effets indésirables, trappes à bas salaires qui favorisent le déclassement des jeunes diplômés contraints de prendre la place des moins qualifiés pour trouver un emploi », « focalisation excessive sur le “coût du travail” pour expliquer la perte de compétitivité de l’économie française »… C’est un rapport qui accable et torpille la principale politique pour l’emploi menée en France depuis vingt ans
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Message  OYABIO Dim 27 Juil - 18:26

https://rvlations.1fr1.net/t1003-20-milliards-d-exonerations-de-cotisations-sociales-le-rapport-que-le-senat-refuse-de-publier

ET LA ENCORE, pas etonnants q les Français soient pauvres :

Mediapart ‏@mediapart 41 min

L'Assemblée a rémunéré 52 épouses, 28 fils et 32 filles de députés en 2014 http://www.mediapart.fr/journal/france/270714/lassemblee-remunere-52-epouses-28-fils-et-32-filles-de-deputes-en-2014

27 juillet 2014 | Par Mathilde Mathieu

Mediapart a épluché la liste, désormais publique, des collaborateurs de députés. En complétant avec nos propres informations, nous sommes arrivés au résultat suivant : en 2014, au moins 20 % des députés ont rémunéré un membre de leur famille proche avec l'argent de l'Assemblée (c'est à dire les impots des Français)

La lecture des articles est réservée aux abonnés.

La plupart des députés assument, bravaches. D'autres bafouillent au téléphone. D'après une enquête de Mediapart, au moins 115 députés (sur 577) ont salarié un membre de leur famille en 2014, en CDD ou CDI, sur un temps plein ou partiel. Huit élus sont même allés jusqu'à rémunérer deux de leurs proches.

« C'est la chasse aux sorcières ou quoi ?, s'étrangle Franck Gilard (UMP), quand on l'interroge sur le CDD de trois mois accordé à son fils. Avec ces histoires de transparence, tout le monde nous pisse sur les godasses! » Le président de l'Assemblée nationale lui-même, Claude Bartolone (PS) fait travailler sa femme depuis 2012 (« Je n'ai pas embauché ma femme, j'ai épousé ma ...(lire la suite sur MEDIAPART)
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Les vrais ASSISTES ne sont pas ceux que l'on croit Empty Scandale : Ils n’ont jamais été préfets, mais ils en touchent la retraite

Message  OYABIO Mar 12 Aoû - 16:35

Scandale : Ils n’ont jamais été préfets, mais ils en touchent la retraite

source http://www.francesoir.fr/actualite/politique/scandale-ils-n-ont-jamais-ete-prefets-mais-ils-en-touchent-retraite-98391.html

Des dizaines de hauts fonctionnaires ont le titre de préfets alors qu’ils ne le sont pas. Un copinage politique qui leur permet notamment de toucher une retraite de préfet. Parmi eux, Michel Vauzelle et Michel Delebarre.

C’est un scandale français, un de ces abus qui alimentent la rancœur des citoyens contre les politiques. Un de ces arrangements entre amis que l’on cache soigneusement au citoyen, mais qui coûte cher au contribuable. Certains de nos hommes politiques et certains hauts fonctionnaires ont été nommés préfets par nos présidents de la République successifs, ils bénéficient d’avantages liés à cette fonction… mais ils n’en ont jamais exercé la moindre fonction. Parmi ces préfets fantômes, figurent deux stars de la politique, les députés et anciens ministres de François Mitterrand, Michel Vauzelle, 66 ans, et Michel Delebarre, 65 ans.

Tous deux indiquent, sur le site informatique de l’Assemblée nationale, la même profession : préfet. Pourtant, le premier est avocat de profession et le second cadre supérieur de collectivités locales. En fait, ces deux grands notables locaux du Parti socialiste qui n’ont jamais exercé les fonctions de préfet avaient été nommés à ce titre, de manière discrétionnaire, par le président François Mitterrand, en 1985 pour le premier et en 1983 pour le second.

Quel intérêt de nommer un préfet fantôme ? C’est un joli cadeau… financier, facile à comprendre. Le 28 avril 2011, Michel Delebarre a fait valoir ses droits à la retraite de préfet, à l’âge de 65 ans, tout comme l’avait fait le 15 août 2010 Michel Vauzelle. Cela permet à ces deux caciques du PS de toucher aujourd’hui une pension mensuelle de 4.000 € brut, qui vient s’ajouter à leurs indemnités de parlementaires et d’élus locaux : soit 15.124 € brut (Michel Delebarre) et 9.760 € brut (Michel Vauzelle). Sans compter pour chacun une indemnité (forfaitaire) représentative de frais de mandat de député de 6.000 € net. Et cela, en toute discrétion.
Retraites dorées

D’ici quelques années, lorsqu’ils décideront d’abandonner leurs mandats, ces deux parlementaires pourront cumuler la totalité de leurs retraites de préfet, de parlementaire et d’élu local ! Soit en tout, de l’ordre de 12.000 € mensuels brut pour le premier et 10.000 pour le second. Rappelons que, selon l’Insee, le montant moyen brut des pensions en France s’élevait, en 2009, à 1.196 € par mois… Des montants et des cumuls choquants pour bon nombre des Français.

En juin 2007, à une question de l’hebdomadaire L’Express lui demandant quel était son principal défaut, Michel Delebarre avait répondu : « Je veux tout. » Tout, il l’aura bientôt. En effet, le maire de Dunkerque, président de la communauté urbaine de cette ville et préfet à la retraite abandonnera en septembre prochain son mandat de député pour être tête de liste socialiste aux sénatoriales dans le département du Nord.

Le général de Gaulle, qui ne plaisantait pas avec les finances et la morale publiques, avait mis fin à cette folie des « préfets fantômes », une folie qui perdurait depuis la création de ce corps par Napoléon Ier, en 1800. Autre temps, autres mœurs : avec l’arrivée de François Mitterrand à l’Elysée, en 1981, ce système de copinage, souvent basé sur des relations maçonniques, renaissait de ses cendres. La nomination de préfets « en mission de service public relevant du gouvernement » était alors autorisée par un décret du 23 décembre 1982, à hauteur de 5 % de l’effectif budgétaire du corps des préfets. Aujourd’hui, ce quota de « faux préfets » autorisés représente 7 % des 236 préfets, soit 17 préfets fantômes. Au fil du temps, cela fait des dizaines de faux préfets, nommés de manière totalement discrétionnaire et sans exiger le moindre titre ou diplôme pour exercer ces fonctions.
6.000 € mensuels sans rien faire

Au bout de quelques mois, ces préfets bidons sont nommés préfets hors cadre. Une voie de garage « royale » (utilisée également pour écarter les préfets qui déplaisent), dont on ne revient jamais, mais qui permet aux intéressés de toucher aujourd’hui 6.000 € brut mensuels en attendant la retraite ou d’être élu sénateur, voire député.

Placé alors en détachement pour exercer son mandat, le préfet parlementaire (deux fonctions officiellement incompatibles selon la loi) ne reçoit plus de l’Etat qu’un tout petit salaire correspondant exactement au paiement de ses cotisations de retraite de préfet. Ce qui a été le cas de Michel Delebarre et de Michel Vauzelle pendant plus de vingt-cinq ans. De plus, en cas d’échec électoral, chacun d’entre eux pouvait coiffer sa casquette de préfet hors cadre et percevoir son salaire plein pot, sans être affecté en poste dans un département.

De 1982 à 1995, François Mitterrand a ainsi nommé près d’une soixantaine de préfets en mission de service public. Parmi eux, dix-sept étaient issus des corps de sous-préfets et administrateurs civils. Agés d’au moins soixante ans, ces vieux serviteurs de l’Etat partaient en retraite quelques mois après leur nomination, qui récompensait leurs loyaux services. Ce qui leur permettait de toucher une pension nettement supérieure à celle à laquelle ils avaient droit pour leur carrière de sous-préfet ou dans l’administration de l’Etat. La deuxième partie de ces préfets en mission de service public (une quarantaine) était en quasi-totalité des membres du PS, des élus de ce parti et des amis ou proches de l’ancien président. Parmi cette quarantaine de privilégiés, les élus ont le droit de cumuler aujourd’hui cette retraite de préfet en mission (4.000 € en moyenne) avec toutes leurs autres pensions liées à leurs mandats électoraux et des emplois privés.
Garantie tous risques pour les courtisans

Cette institution des préfets fantômes n’est en réalité qu’un des systèmes légaux de financement des deux grands partis politiques français, le PS et l’UMP. Depuis sa renaissance « mitterrandienne », le système a prospéré sous Jacques Chirac, y compris lorsque Lionel Jospin était Premier ministre. Ce cadeau présidentiel offre une sorte de garantie tous risques pour les courtisans, les poids lourds et les incontournables de ces deux formations. On recase toujours ses amis ! Voilà pourquoi, chaque mercredi, jour du Conseil des ministres, un « ami » ou un obligé du président de la République, depuis François Mitterrand, peut être nommé préfet « fantôme » chargé d’une « mission (bidon) de service publique relevant du gouvernement ».

Nicolas Sarkozy n’a pas mis fin au système. Son ancien ministre et fidèle conseiller, Brice Hortefeux, 53 ans, en bénéficie. Selon un décret pris lors du Conseil des ministres du 27 avril 1995, il a été nommé préfet, chargé d’une mission de service public relevant de l’action du gouvernement. A l’époque, à la fin des années 1990, ce fidèle de Nicolas Sarkozy tirait ses ressources de son revenu de préfet, soit 40.000 francs brut par mois, et de ses indemnités de conseiller régional d’Auvergne, soit 10.000 francs brut mensuels.

Cette promotion à un poste de préfet fantôme a suscité l’opposition du commissaire du gouvernement, Rémy Schwartz, lors de la séance publique du Conseil d’Etat de novembre 1996. En vain. Car, au bout du compte, à gauche comme à droite, personne ne remet vraiment en cause le système. Tous en profitent, espèrent en profiter ou en faire profiter un ami, un jour ou l’autre. Ce qui est en réalité un scandale d’Etat bénéficie d’un habillage légal dont tous les politiques s’accommodent en silence.
Nommé préfet pour l’empêcher d’être réélu sénateur

Le 11 octobre 2010, le président de la République nommait préfet administrateur des Terres australes et antarctiques françaises (avec résidence dans l’île de la Réunion) le sénateur de Maine-et-Loire, Christian Gaudin, 60 ans. En fait, cet ancien membre du Modem et aujourd’hui du Nouveau Centre avait été élu sur sa propre liste aux sénatoriales de 2011 contre celle du poids lourd local de l’UMP, André Lardeux, 64 ans, ex-président du conseil général. En fait, l’Elysée veut que la droite parte unie aux sénatoriales de septembre 2011 en Maine-et-Loire pour avoir une chance de gagner le siège supplémentaire (le département passe de trois à quatre sénateurs). D’autres sénateurs empêcheurs de tourner en rond pourraient être nommés préfets.

Cette nomination inopinée vise uniquement à déminer une situation bien compliquée dans le département de Maine-et-Loire pour les sénatoriales de septembre 2011. La droite possède deux sénateurs hommes, tous deux poids lourds locaux, et qui ont mené leur propre liste en 2001, l’ancien président du conseil général, André Lardeux, 64 ans, et Christian Gaudin, 60 ans. Tous les deux étaient partants pour se représenter en septembre 2011. La présence de Catherine Deroche colle parfaitement avec la constitution « chabadabada » des listes… De plus, le Maine-et-Loire va encore se jouer à la proportionnelle, car le département gagne un siège de sénateur, en passant de 3 à 4 représentants. N’oublions pas que ce département figure parmi les espoirs de la droite quand à la conquête du quatrième siège : si la droite part unie, elle a une chance de s’emparer de ce siège.

Etant donné qu’elle domine le conseil général et la majorité des communes. Après, c’est aussi stratégique d’avoir quelqu’un comme Catherine Deroche au Sénat : en septembre 2011, elle n’aura même pas un an de mandat et, malgré son expérience et sa présidence de l’association des maires, elle n’a pas le poids nécessaire pour tenter de se faire réélire en montant une liste dissidente. D’autres empêcheurs de tourner en rond pourraient être nommés préfets : Alain Vasselle ou Philippe Marini dans l’Oise, Laurent Béteille pour l’Essonne, Alain Gournac ou Dominique Braye dans les Yvelines, et enfin Christian Demuynck en Seine-Saint-Denis.

Yvan Stefanovitch / France Soir
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Message  OYABIO Mar 23 Sep - 10:44

Non, décidément, je n'arrive toujours pas à comprendre que teleZ touche 3,7 millions d'€ de
subvention publique et n'est pas le seul organe de presse française à toucher de l'argent publique pour une entreprise privée....

Bref, pour en revenir aux aides à la presse : en quoi Télé 7 Jours (7 millions d'euros d'aides publiques), Télé Star (5 millions), Télé Loisirs (4,5 millions), Télé Z (3,7 millions), Télé Câble (3,3 millions), Télé Poche (1,7 million), Télé 2 semaines (1,2 million), TV Grandes chaînes (1 million) et Télé Magazine (0,2 million) contribuent-ils à l’intérêt général ? Pour près de 28 millions d'euros tout de même... 28 millions d'euros

http://www.culturecommunication.gouv.fr/Actualites/En-continu/Aides-a-la-presse-les-chiffres-2012

http://blogs.mediapart.fr/blog/c-morel-darleux/110114/closer-combien-de-subventions

En matière de subventions publiques il y aurait me semble-t-il un principe républicain simple à comprendre et à défendre, et qui n'est pas respecté : """ fonds publics aux écoles et services publics, fonds privés aux écoles et entreprises privées """...etc...FONDS PUBLICS comme sont nom l'indique doit être uniquement pour L"INTERET GENERAL PUBLIQUE et non pas destiné à engraisser les FONDS PRIVES, car eux sont trop souvent ANTI SOCIAL....et quand ils sont tres tres riches ne payent même plus d'impots

Par définition, la presse privée est financée par ses lecteurs, par des rentrées publicitaires et par les investisseurs privés...... les FONDS PUBLICS ne sont DONC pas pour LE privé, POINT BARRE...car privé = INTERDIT AU PUBLIC si mes souvenirs sont bons......

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Message  OYABIO Jeu 25 Sep - 6:58

La dénonciation de "l’assistanat" et de la fraude aux prestations sociales dissimule à la fois un accès insuffisant à celles-ci et l’ampleur de la fraude aux prélèvements sociaux par les entreprises, qui coûte bien plus cher aux finances publiques...

L’appellation même de "fraude sociale", qui paraît ne désigner que la fraude aux prestations des particuliers, renvoie tout autant à la fraude aux prélèvements des entreprises (qui comprend aussi le manque à gagner dû au travail au noir). Tout autant ? À regarder les données récentes fournies par les différents rapports sur le sujet, il apparaît en fait que les parts dues aux uns et aux autres sont sans commune mesure : que l’on regarde la proportion de fraudeurs ou les montants globaux, """" c’est bien la fraude patronale qui coûte (et de loin) le plus cher aux finances publiques... alors que ce n’est pas elle qui est visée par les discours médiatiques et les mesures gouvernementales """". Quand de surcroît le non-recours au RSA apparaît dans toute son ampleur, la nécessité de renverser la perspective – en la remettant à l’endroit – n’en semble que plus urgente.

lire plus et voir les photos sur le site source

http://www.regards.fr/web/Fraude-sociale-les-entreprises,7412
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Message  OYABIO Jeu 9 Oct - 7:16

L'élu UMP fustige le logement social... et vit dedans depuis vingt ans ! Conseiller de Paris depuis des décennies, Patrick Trémège ne perd pas une occasion de critiquer la politique de la Ville en matière de logement social. Ce qui ne l'empêche pas de profiter du système : il occupe lui-même depuis 1993 un sympathique appartement de 90 m2, dans le XIIIe arrondissement de la capitale, appartenant au bailleur social 3F. Schizophrène...

http://www.marianne.net/L-elu-UMP-fustige-le-logement-social-et-vit-dedans-depuis-vingt-ans-_a241875.html
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Message  OYABIO Ven 27 Mar - 17:55

LE FIGARO est dans le TOP 10 des journaux les plus subventionnés PAR DES FORCES ETRANGERES à la FRANCE

http://an-2000.blogs.liberation.fr/2015/03/24/le-top-des-journaux-subventionnes-par-google/

TOUT en étant financé subventionné par l'Etat Français, qui n'est autre que tous les impots des Français,

LE FIGARO, le journal qui touche le plus d'aides de l’Etat avec 16,179 millions d’euros en 2014.

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Message  OYABIO Sam 18 Avr - 11:21

Le député Dominique Tian (UMP) dénonçait les fraudeurs aux allocs mais dissimulait un compte en Suisse:

http://www.mediapart.fr/journal/france/180415/comptes-en-suisse-la-liste-des-parlementaires-sallonge
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Message  OYABIO Lun 4 Mai - 6:59

http://inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2058&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9

Protection sociale : pourquoi les plus riches touchent trois fois plus que les plus pauvres

29 avril 2015 - Notre système social coûte cher, mais ses dépenses bénéficient en premier aux plus aisés, qui reçoivent trois fois plus que les plus pauvres. Le point de vue de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités. Extrait d’Alterecoplus.

Les 10 % les plus riches ont perçu 56 milliards de revenus redistribués en 2011 (17 % de l’ensemble), alors que 17 milliards (5 % de l’ensemble) sont allés aux 10 % les plus pauvres, selon les calculs du Centre d’observation de la société, réalisés à partir des données de l’Insee. Notre système social coûte cher, mais ses dépenses bénéficient d’abord aux plus aisés, qui reçoivent trois fois plus que les plus pauvres. Certes, cette distribution est plus équitable que celle des revenus. Même après impôts et prestations, les 10 % du haut de la pyramide reçoivent sept fois plus que ceux du bas.

L’explication de cette situation est assez simple. Notre modèle social redistribue un tiers du revenu disponible. D’abord via des prestations sociales (allocations logement, familiales, minima sociaux), pour l’essentiel sous condition de ressources qui bénéficient donc surtout aux pauvres. Elles évitent que des millions de familles se retrouvent à la rue avec leurs enfants. Encore ne faut-il pas exagérer leur poids. Ainsi, les seuls minima sociaux représentent 15 % du revenu disponible des 10 % les plus pauvres, ce qui représente moitié moins que ce qu’ils touchent en salaires.

Mais cette protection comprend aussi des revenus de remplacement, qui sont proportionnels aux revenus qu’ils compensent. C’est le cas des indemnités journalières de maladie ou de maternité, mais surtout des retraites. Au total, les 10 % les plus riches ont perçu 52 milliards de pensions de retraites (21 % du total), contre 4,6 milliards (2 % du total) pour les plus démunis. C’est l’inverse pour les prestations sociales : les 10 % les plus pauvres ont touché 11 milliards, alors que les 10 % les plus riches n’en ont reçu que 1,3 milliard.

A partir du moment où l’on pense qu’il est juste que les retraites soient proportionnelles aux salaires et donc aux cotisations versées [1], il n’est pas injuste que les plus aisés touchent davantage de pensions au final. Cette situation reflète l’inégalité de ces salaires dans la vie active, c’est donc elle que l’on doit juger juste ou pas.

Notre modèle social est de qualité, mais cette qualité a un prix. Près des deux tiers de la différence de dépenses publiques entre la France et le reste de l’Europe vient des retraites [2]. La France ne dépense pas davantage que les autres pays pour les plus pauvres, mais pour maintenir les revenus des plus aisés, en particulier âgés. C’est une bonne chose. Pour l’essentiel ceci est dû au fait que le système de retraite français est public alors que le privé (non comptabilisé comme prélèvement obligatoire dans les autres pays) occupe une place plus grande ailleurs. La plupart de ceux qui dénoncent avec virulence l’excès de dépenses collectives de notre pays ne comprennent pas grand chose de ce dont ils parlent en réalité.

voir images, liens, graphiques et plus sous le lien source
http://inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2058&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9
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