Le FN et ses oeuvres quand il gouverne (des mairies)
Page 1 sur 1
Le FN et ses oeuvres quand il gouverne (des mairies)
le FN est SOCIAL dit sa PROPAGANDE dans les petites classes de la societé, mais vérité est toute autre, à chaque fois que FN a eut une mairie, a chaque fois la premiere chose qu'il a faite c'est de nuire au SOCIAL , aux pauvres, aux petits, vous etes prevenus :
Dans les mairies #FN les enfants de chômeurs deviennent source d’économies municipales, enquête de @IvanduRoy
http://www.bastamag.net/Education-services-publics-action-sociale-lutte-contre-la-pauvrete-le-veritable …
et ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres, c'est la premiere chose que font elus FN dans les Mairies qu'ils ont gagnés, c'est de nuire au SOCIAL, aux Pauvres, aux ptites gens, ceuz là même qui ont eut la betise de voter pour eux en les croyants un parti SOCIAL qui sera bon pour les Français (foutaises bien evidemment, le FN ne pense qu'a sa gueule, qu'a etre au pouvoir afin de pouvoir nuire au pti peuple pour faire les affaires des riches et des zionistes qui le finance) :
Après les pauvres, ..., au tour des handicapés . La mairie #FN du Pontet se désengage du Téléthon !!!
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2014/09/19/la-mairie-fn-du-pontet-se-desengage-du-telethon …
https://rvlations.1fr1.net/t963-les-cerveaux-du-fn-enfin-quand-ils-en-ont-un
car le FN aime le FRIC pour lui, pas pour les autres : Le sénateur-maire #FHaine David #Rachline content d’être en Mercedes « la voiture du Führer »
http://www.videos24.fr/le-senateur-maire-fn-david-rachline-content-detre-en-mercedes-la-voiture-du-fuhrer/
Hey les gars et les gazelles ?? vous voulez vraiment avoir de tels guss au gouvernement de la France Entière ???? qui aurons acces a la police, aux services secrets, au bouton rouge nucleaire ??? regardez bien le FN en face , pas dans la soupe verbale qu'il sert sur les merdias, mais dans SES ACTES quand il parvient a un peu de "" pouvoir ""
source http://www.mediapart.fr/journal/france/220114/le-fn-en-ses-mairies-affaires-proces-et-clientelisme?page_article=3&utm_content=buffer2e324&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer
Le népotisme est considérable quand le FN dirige des fonctions publiques quelque part : là, l'adjoint à la sécurité fait embaucher sa sœur comme secrétaire générale adjointe, ailleurs celui en charge de la culture place sa fille au service « vie des quartiers ». Le fils et la belle-fille de l’adjoint en charge du personnel, la fille de l'adjoint au nettoiement et le fils d'une conseillère municipale sont employés par la ville.
Parallèlement, le FN se livre très souvent à une « chasse aux sorcières » à l'encontre des esprits moins dociles ou liés à la majorité sortante, explique à Mediapart Gilles Ivaldi. « Les syndicats alertent sur le grand nombre de contrats du personnel non reconduits pour des raisons idéologiques et politiques. »
Ainsi, Ahmed Touati, ancien membre de la direction nationale de SOS-Racisme, ex-directeur de cabinet du chef de la droite libérale locale et éducateur, a été affecté au ramassage des ordures.
Michèle Cesana, ex-secrétaire de l'ancien maire UDF, qui souhaite être transférée à « Jeunesse toulonnaise » (JT), essuie un refus, malgré le soutien du directeur (FN) du JT. Un choix assumé par Cendrine Le Chevallier : « Je suis élue sous l'étiquette FN et je préfère embaucher des gens du FN, c'est de bonne guerre. Je ne vois pas ce qu'il y aurait d'illégal à pratiquer la préférence toulonnaise et la préférence FN », explique-t-elle à Libération.
Au sein même de l'équipe frontiste, certains voient pourtant le problème. En novembre 1998, l'amiral Guy Nachin, premier adjoint FN, dénonce dans une note interne les « recrutements de copinage d'agents sans compétences administratives ». Adjointe au maire et conseillère générale FN, Éliane de La Brosse fustige quant à elle « le népotisme inacceptable » du couple Le Chevallier. Elle sera écartée pour les élections régionales.
Selon Gilles Ivaldi et Virginie Martin, ce clientélisme « reste centré sur des milieux restreints de sympathisants fidèles et de militants de la première heure » et est ponctuellement « motivé par des raisons de tactique électorale ». Exemple : en décembre 1998, Gilbert Péréa, directeur de Jeunesse toulonnaise, est mis en examen pour des emplois fictifs en faveur de proches du parti – des emplois qui ont probablement contribué à la logistique de sa propre campagne électorale lors des législatives de 1997.
Si Toulon fut le laboratoire de ce clientélisme frontiste, celui-ci n’est pas propre à la ville. À Orange, dès son élection, Jacques Bompard entreprend de placer ses proches (nombreux exemples de népotisme) et de faire recruter des militants nationalistes-révolutionnaires venus de l'ensemble du pays. Plusieurs membres du parti sont recasés dans la police municipale. « Le maire est le roi dans sa commune », décrète Bompard. « Menaces », « mises sous surveillance », « harcèlement » : Le Monde et Libération racontent alors « l'ambiance de délation » qui règne. Sous pression, un employé municipal se suicide à son bureau après avoir inscrit sur le tableau un « Francoeur, Schmidt et le maire m'ont tuer ».
À Marignane, le maire Daniel Simonpieri est condamné en 2011 à un an de prison avec sursis pour harcèlement moral à l'encontre d'un des employés municipaux de la ville, d'origine marocaine, pour des faits remontant à 2002. (Des faits confirmés en appel le 18 septembre 2012). L'opposition dénonce également le « népotisme » du maire (multiples exemples ici). Guy Martin, conseiller municipal Démocratie libérale, publie une « liste d'emplois familiaux » sur laquelle figurent les noms de dix-sept personnes ayant bénéficié d'embauches et qui se trouvent directement liées à des élus ou à la famille du maire. En 1998, le tribunal administratif est par ailleurs contraint d'intervenir dans une affaire de subvention préférentielle et d'attribution d'un local à l'association Fraternité française. Même népotisme à Vitrolles, où Bruno Mégret agit en permanence dans l'ombre de sa femme.
*******************************************************************
ET puis, si vous voulez du Changement, ce sera raté avec le FN, car en votant pour le FN vous reconduiriez à Gouvernance, les mêmes Sionistes qui y sont déjà UMP/PS et qui vous foutent la maaard et appauvrissent là France pour mieux enrichir Israel
https://rvlations.1fr1.net/t966-photos-souvenirs-le-fn-aime-bien-le-sionisme
vous êtes prévenus à l'avance ici........
S"ils ne savent pas gérer leurs mairies, ils ne saurons pas GERER LA FRANCE
http://quandlemaireestfn.tumblr.com/
Dans les mairies #FN les enfants de chômeurs deviennent source d’économies municipales, enquête de @IvanduRoy
http://www.bastamag.net/Education-services-publics-action-sociale-lutte-contre-la-pauvrete-le-veritable …
et ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres, c'est la premiere chose que font elus FN dans les Mairies qu'ils ont gagnés, c'est de nuire au SOCIAL, aux Pauvres, aux ptites gens, ceuz là même qui ont eut la betise de voter pour eux en les croyants un parti SOCIAL qui sera bon pour les Français (foutaises bien evidemment, le FN ne pense qu'a sa gueule, qu'a etre au pouvoir afin de pouvoir nuire au pti peuple pour faire les affaires des riches et des zionistes qui le finance) :
Après les pauvres, ..., au tour des handicapés . La mairie #FN du Pontet se désengage du Téléthon !!!
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2014/09/19/la-mairie-fn-du-pontet-se-desengage-du-telethon …
https://rvlations.1fr1.net/t963-les-cerveaux-du-fn-enfin-quand-ils-en-ont-un
car le FN aime le FRIC pour lui, pas pour les autres : Le sénateur-maire #FHaine David #Rachline content d’être en Mercedes « la voiture du Führer »
http://www.videos24.fr/le-senateur-maire-fn-david-rachline-content-detre-en-mercedes-la-voiture-du-fuhrer/
Hey les gars et les gazelles ?? vous voulez vraiment avoir de tels guss au gouvernement de la France Entière ???? qui aurons acces a la police, aux services secrets, au bouton rouge nucleaire ??? regardez bien le FN en face , pas dans la soupe verbale qu'il sert sur les merdias, mais dans SES ACTES quand il parvient a un peu de "" pouvoir ""
source http://www.mediapart.fr/journal/france/220114/le-fn-en-ses-mairies-affaires-proces-et-clientelisme?page_article=3&utm_content=buffer2e324&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer
Le népotisme est considérable quand le FN dirige des fonctions publiques quelque part : là, l'adjoint à la sécurité fait embaucher sa sœur comme secrétaire générale adjointe, ailleurs celui en charge de la culture place sa fille au service « vie des quartiers ». Le fils et la belle-fille de l’adjoint en charge du personnel, la fille de l'adjoint au nettoiement et le fils d'une conseillère municipale sont employés par la ville.
Parallèlement, le FN se livre très souvent à une « chasse aux sorcières » à l'encontre des esprits moins dociles ou liés à la majorité sortante, explique à Mediapart Gilles Ivaldi. « Les syndicats alertent sur le grand nombre de contrats du personnel non reconduits pour des raisons idéologiques et politiques. »
Ainsi, Ahmed Touati, ancien membre de la direction nationale de SOS-Racisme, ex-directeur de cabinet du chef de la droite libérale locale et éducateur, a été affecté au ramassage des ordures.
Michèle Cesana, ex-secrétaire de l'ancien maire UDF, qui souhaite être transférée à « Jeunesse toulonnaise » (JT), essuie un refus, malgré le soutien du directeur (FN) du JT. Un choix assumé par Cendrine Le Chevallier : « Je suis élue sous l'étiquette FN et je préfère embaucher des gens du FN, c'est de bonne guerre. Je ne vois pas ce qu'il y aurait d'illégal à pratiquer la préférence toulonnaise et la préférence FN », explique-t-elle à Libération.
Au sein même de l'équipe frontiste, certains voient pourtant le problème. En novembre 1998, l'amiral Guy Nachin, premier adjoint FN, dénonce dans une note interne les « recrutements de copinage d'agents sans compétences administratives ». Adjointe au maire et conseillère générale FN, Éliane de La Brosse fustige quant à elle « le népotisme inacceptable » du couple Le Chevallier. Elle sera écartée pour les élections régionales.
Selon Gilles Ivaldi et Virginie Martin, ce clientélisme « reste centré sur des milieux restreints de sympathisants fidèles et de militants de la première heure » et est ponctuellement « motivé par des raisons de tactique électorale ». Exemple : en décembre 1998, Gilbert Péréa, directeur de Jeunesse toulonnaise, est mis en examen pour des emplois fictifs en faveur de proches du parti – des emplois qui ont probablement contribué à la logistique de sa propre campagne électorale lors des législatives de 1997.
Si Toulon fut le laboratoire de ce clientélisme frontiste, celui-ci n’est pas propre à la ville. À Orange, dès son élection, Jacques Bompard entreprend de placer ses proches (nombreux exemples de népotisme) et de faire recruter des militants nationalistes-révolutionnaires venus de l'ensemble du pays. Plusieurs membres du parti sont recasés dans la police municipale. « Le maire est le roi dans sa commune », décrète Bompard. « Menaces », « mises sous surveillance », « harcèlement » : Le Monde et Libération racontent alors « l'ambiance de délation » qui règne. Sous pression, un employé municipal se suicide à son bureau après avoir inscrit sur le tableau un « Francoeur, Schmidt et le maire m'ont tuer ».
À Marignane, le maire Daniel Simonpieri est condamné en 2011 à un an de prison avec sursis pour harcèlement moral à l'encontre d'un des employés municipaux de la ville, d'origine marocaine, pour des faits remontant à 2002. (Des faits confirmés en appel le 18 septembre 2012). L'opposition dénonce également le « népotisme » du maire (multiples exemples ici). Guy Martin, conseiller municipal Démocratie libérale, publie une « liste d'emplois familiaux » sur laquelle figurent les noms de dix-sept personnes ayant bénéficié d'embauches et qui se trouvent directement liées à des élus ou à la famille du maire. En 1998, le tribunal administratif est par ailleurs contraint d'intervenir dans une affaire de subvention préférentielle et d'attribution d'un local à l'association Fraternité française. Même népotisme à Vitrolles, où Bruno Mégret agit en permanence dans l'ombre de sa femme.
*******************************************************************
ET puis, si vous voulez du Changement, ce sera raté avec le FN, car en votant pour le FN vous reconduiriez à Gouvernance, les mêmes Sionistes qui y sont déjà UMP/PS et qui vous foutent la maaard et appauvrissent là France pour mieux enrichir Israel
https://rvlations.1fr1.net/t966-photos-souvenirs-le-fn-aime-bien-le-sionisme
vous êtes prévenus à l'avance ici........
S"ils ne savent pas gérer leurs mairies, ils ne saurons pas GERER LA FRANCE
http://quandlemaireestfn.tumblr.com/
Dernière édition par OYABIO le Jeu 26 Nov - 12:08, édité 5 fois
FN parti propre, mais non tromperie là encore
une première version de cet article a été publiée en septembre 2012 (voir ci dessus). Nous le republions à l'occasion de notre partenariat avec les Pieds sur Terre et de la diffusion du reportage audio à Orange que vous pouvez retrouver ici.
source http://www.mediapart.fr/journal/france/220114/le-fn-en-ses-mairies-affaires-proces-et-clientelisme?onglet=full
« Tête haute, mains propres ». Aujourd'hui encore, Marine Le Pen reprend volontiers à son compte ce slogan des maires frontistes des années 1990. « Nous sommes le seul parti à avancer tête haute et mains propres. Nous faisons de la politique de manière complètement différente de l'UMP ou le PS », se félicite-t-elle ainsi dans L'Union, en 2011.
La référence est culottée. « En 1995, les maires FN, notamment celui de Toulon, avaient voulu se démarquer des majorités précédentes en faisant campagne avec ce slogan. Or, on s’est rendu compte que non seulement le FN était un parti comme les autres sur cette question-là, mais qu’en plus il allait au-delà d’autres partis : trois maires frontistes sur quatre ont été condamnés », rappelle Gilles Ivaldi, chercheur au CNRS, spécialiste des populismes européens et du Front national (lire notre boîte noire). Corruption, clientélisme, chasse aux sorcières : à Vitrolles, Toulon, Orange et Marignane, les municipalités frontistes ont laissé un bilan déplorable.
Les affaires
À Toulon, une longue série d’affaires – notamment de mœurs – plombe le mandat de Jean-Marie Le Chevallier. Présidente du centre d'études Different, laboratoire politique proche du PS, et auteure en 2000 d'une thèse sur le Front national à Toulon, la politologue Virginie Martin raconte à Mediapart le « climat étrange » qui régnait dès le début du mandat : « Le maire était soupçonné de prendre drogues, alcool et calmants, il était surnommé Whisky-Temesta. Des rumeurs sur des partouzes circulaient. Puis il y a eu l’affaire Poulet-Dachary (du nom du directeur de cabinet du maire, homosexuel, assassiné en 1995 – les détails de l’affaire ici et là). Tout cela a beaucoup choqué. » L'affaire embarrasse jusqu'à la direction nationale du parti.
Fin 1998, pas moins de cinq adjoints au maire sont mis en examen : trois pour une affaire de passation du marché des cantines scolaires ; un quatrième dans une affaire de favoritisme à l'embauche ; le cinquième, Jean-Pierre Calone, adjoint au maire en charge de l'habitat et président de l'office HLM municipal, est incarcéré pour une affaire de viol (vidéo ci-dessous). Il sera condamné en 2000 à douze ans de réclusion criminelle pour « viols, harcèlements et agressions sexuelles » sur trois de ses secrétaires, puis, en 2011, à cinq ans de prison dont trois avec sursis, pour une affaire de corruption.
Le maire lui-même accumule les casseroles. Élu député FN en 1997, il est déclaré inéligible un an plus tard pour une triple infraction sur la législation au financement électoral. En 2001, il est condamné à un an de prison avec sursis dans l'affaire de Jeunesse toulonnaise, l'association para-municipale qui abritait un emploi fictif. Deux ans plus tard, il est condamné en appel pour subornation de témoins dans l'affaire Poulet-Dachary.
Catherine et Bruno Mégret.Catherine et Bruno Mégret. © INA
À Vitrolles, les affaires se succèdent également. En 1995, Bruno Mégret est déclaré inéligible un an pour avoir dépassé le plafond autorisé des dépenses de campagne aux municipales. C’est sa femme, Catherine Mégret, qui se présente aux municipales partielles de 1997, sous l’étiquette Front national. Élue, puis réélue en 2001, elle voit cette dernière élection annulée et est battue en 2002.
« Clientélisme clanique »
Jean-Marie et Cendrine Le Chevallier, Bruno Mégret, Jacques Bompard et Daniel Simonpieri en février 1998.Jean-Marie et Cendrine Le Chevallier, Bruno Mégret, Jacques Bompard et Daniel Simonpieri en février 1998. © Reuters
Catherine Mégret enchaîne les procès. En 2000, elle est condamnée, avec son premier adjoint, à trois mois de prison avec sursis et deux ans d'inéligibilité pour « discrimination, incitation et provocation à la haine raciale » (décision confirmée par la Cour de cassation en 2003). En cause : un arrêté municipal qui, au nom de la “préférence nationale”, crée une prime à la naissance de 760 euros réservée « aux enfants français nés de parents européens ». En 2007, le couple Mégret est également condamné en appel pour avoir utilisé les moyens de la mairie de Vitrolles afin de financer la campagne présidentielle du président du MNR, en 2002. Ils écopent de huit mois de prison avec sursis et un an d'inéligibilité.
À Vitrolles comme à Toulon, les maires, inéligibles, mettent en selle leurs femmes pour partir à l’assaut de la mairie (Vitrolles) ou de la circonscription (Toulon). Mais ces casseroles décrédibilisent l’extrême droite et mènent à son implosion. Jean-Marie Le Chevallier, qui quitte le FN en 1999, est sévèrement battu en 2001 par le RPR Hubert Falco. De leur côté, les Mégret tentent de reprendre Vitrolles en 2002 en faisant profil bas. En vain. Catherine Mégret démissionne en 2003 du conseil municipal, tandis que son mari subit une déroute aux élections présidentielle et législatives de 2002 avec son parti, le MNR. Il se retirera officiellement de la politique en 2008.
À Orange et Marignane, les affaires arrivent plus tardivement. En 2010, Jacques Bompard, le maire d’Orange, est mis en examen pour « prise illégale d'intérêt » dans une affaire de vente de terrain. En 2011, la chambre régionale des comptes de Provence-Alpes-Côte d'Azur pointe également des irrégularités dans sa gestion municipale. En octobre 2013, il est renvoyé devant le tribunal correctionnel de Carpentras (Vaucluse) «pour deux prises illégales d’intérêt commises au cours des années 2004 et 2005» Sont également renvoyés pour recel de prise illégale d’intérêts sa fille et son gendre. L’enquête avait montré que la commune vendait des biens immobiliers, ensuite rachetés via des sociétés civiles immobilières (SCI) par les intéressés, qui réalisaient des plus-values importantes lors de la revente.
À Marignane, Daniel Simonpieri est condamné en 2011 à un an de prison avec sursis et cinq ans d’inéligibilité, dans un dossier de favoritisme, fausses factures et emploi fictif.
Dans ces deux villes, les maires restent en place mais s'éloignent du FN. Jacques Bompard, qui a rejoint le MPF de Philippe de Villiers avant de créer son propre parti, la Ligue du Sud, en 2010, est réélu en 2001 puis en 2008 (dès le premier tour). Devenu conseiller général, il retrouve aussi son siège de député en 2012. Daniel Simonpieri, passé au MNR puis à l'UMP, perd lui sa mairie en 2008.
« Clientélisme électoral »
Les maires frontistes n’échappent pas non plus à une gestion clientéliste qu’ils dénonçaient pourtant lors de leur campagne. « L'un des aspects les plus saillants du frontisme aux commandes des exécutifs municipaux demeure bel et bien la mise en place d'un système clientéliste d'utilisation des appareils du pouvoir local », observent Gilles Ivaldi et Virginie Martin dans leur étude « Le Front national entre clientélisme et recherche d’un enracinement social », publiée dans la revue Critique internationale en 1999.
« Le Front national sert ses socles électoraux importants, les pieds-noirs, les rapatriés. II réoriente les moyens municipaux vers des associations proches du parti », explique Gilles Ivaldi. À Toulon, ce clientélisme électoral s'appuie sur l’antenne locale de Fraternité française, sorte de Secours populaire version FN. L'association est présidée par Éliane de La Brosse, adjointe au maire en charge des affaires sociales, vice-présidente du Centre communal d’action sociale (CCAS), et dépeinte par les chercheurs comme une « dame patronnesse catholique », « militante royaliste convaincue ».
« Le FN n'a pas les réseaux associatifs et se retrouve dans une situation d’incompétence par rapport au pouvoir. Il va donc rechercher l’enracinement local en faisant monter en flèche l’association d’Éliane de La Brosse, raconte Virginie Martin. L’association fournit un gros travail au niveau social, mais avec un côté charity business post-colonial. Il est surtout hors de question d’aider les immigrés. C’est la théorie frontiste des cercles concentriques, j’aide d’abord ceux qui sont proches de moi. »
Dans un entretien accordé au Toulonnais, le journal municipal, en 1996, Éliane de La Brosse expose d’ailleurs clairement sa vision du choix de « clientèle » : « Le Fonds d'aide sociale consacre des sommes démesurées à une prétendue “lutte contre l'exclusion”. Le contrat-ville réserve la totalité de ses aides à la banlieue. (...) On aurait pu aider cette fois les habitants du centre. Et notamment certains commerçants qui, littéralement, crèvent de faim. »
« Clientélisme clanique »
Un « clientélisme clanique » se met également en place, selon les auteurs, qui parlent de « népotisme » et de « copinage ». Militants, cadres et proches du FN sont embauchés à tour de bras par la mairie. À Toulon, où la municipalité est le deuxième pourvoyeur d'emplois, la section FN a grossi en 1998 de plus d'un millier de cartes, puisées pour l'essentiel parmi les 3 400 employés municipaux.
La femme de Jean-Marie Le Chevallier prend la tête du Centre de loisirs et d'action sociale (CLAS), qu'elle transforme en JT (Jeunesse toulonnaise), où elle place ses proches. Des membres du FN sont nommés au Syndicat intercommunal des transports en commun, au Syndicat intercommunal de Châteauvallon à la société HLM, d'autres sont recrutés dans la police municipale. Des adjoints FN prennent en main la Mission locale d'insertion professionnelle et sociale des jeunes, l'Association municipale du temps de loisir (AMTL) et la Maison de l'étudiant.
source http://www.mediapart.fr/journal/france/220114/le-fn-en-ses-mairies-affaires-proces-et-clientelisme?onglet=full
« Tête haute, mains propres ». Aujourd'hui encore, Marine Le Pen reprend volontiers à son compte ce slogan des maires frontistes des années 1990. « Nous sommes le seul parti à avancer tête haute et mains propres. Nous faisons de la politique de manière complètement différente de l'UMP ou le PS », se félicite-t-elle ainsi dans L'Union, en 2011.
La référence est culottée. « En 1995, les maires FN, notamment celui de Toulon, avaient voulu se démarquer des majorités précédentes en faisant campagne avec ce slogan. Or, on s’est rendu compte que non seulement le FN était un parti comme les autres sur cette question-là, mais qu’en plus il allait au-delà d’autres partis : trois maires frontistes sur quatre ont été condamnés », rappelle Gilles Ivaldi, chercheur au CNRS, spécialiste des populismes européens et du Front national (lire notre boîte noire). Corruption, clientélisme, chasse aux sorcières : à Vitrolles, Toulon, Orange et Marignane, les municipalités frontistes ont laissé un bilan déplorable.
Les affaires
À Toulon, une longue série d’affaires – notamment de mœurs – plombe le mandat de Jean-Marie Le Chevallier. Présidente du centre d'études Different, laboratoire politique proche du PS, et auteure en 2000 d'une thèse sur le Front national à Toulon, la politologue Virginie Martin raconte à Mediapart le « climat étrange » qui régnait dès le début du mandat : « Le maire était soupçonné de prendre drogues, alcool et calmants, il était surnommé Whisky-Temesta. Des rumeurs sur des partouzes circulaient. Puis il y a eu l’affaire Poulet-Dachary (du nom du directeur de cabinet du maire, homosexuel, assassiné en 1995 – les détails de l’affaire ici et là). Tout cela a beaucoup choqué. » L'affaire embarrasse jusqu'à la direction nationale du parti.
Fin 1998, pas moins de cinq adjoints au maire sont mis en examen : trois pour une affaire de passation du marché des cantines scolaires ; un quatrième dans une affaire de favoritisme à l'embauche ; le cinquième, Jean-Pierre Calone, adjoint au maire en charge de l'habitat et président de l'office HLM municipal, est incarcéré pour une affaire de viol (vidéo ci-dessous). Il sera condamné en 2000 à douze ans de réclusion criminelle pour « viols, harcèlements et agressions sexuelles » sur trois de ses secrétaires, puis, en 2011, à cinq ans de prison dont trois avec sursis, pour une affaire de corruption.
Le maire lui-même accumule les casseroles. Élu député FN en 1997, il est déclaré inéligible un an plus tard pour une triple infraction sur la législation au financement électoral. En 2001, il est condamné à un an de prison avec sursis dans l'affaire de Jeunesse toulonnaise, l'association para-municipale qui abritait un emploi fictif. Deux ans plus tard, il est condamné en appel pour subornation de témoins dans l'affaire Poulet-Dachary.
Catherine et Bruno Mégret.Catherine et Bruno Mégret. © INA
À Vitrolles, les affaires se succèdent également. En 1995, Bruno Mégret est déclaré inéligible un an pour avoir dépassé le plafond autorisé des dépenses de campagne aux municipales. C’est sa femme, Catherine Mégret, qui se présente aux municipales partielles de 1997, sous l’étiquette Front national. Élue, puis réélue en 2001, elle voit cette dernière élection annulée et est battue en 2002.
« Clientélisme clanique »
Jean-Marie et Cendrine Le Chevallier, Bruno Mégret, Jacques Bompard et Daniel Simonpieri en février 1998.Jean-Marie et Cendrine Le Chevallier, Bruno Mégret, Jacques Bompard et Daniel Simonpieri en février 1998. © Reuters
Catherine Mégret enchaîne les procès. En 2000, elle est condamnée, avec son premier adjoint, à trois mois de prison avec sursis et deux ans d'inéligibilité pour « discrimination, incitation et provocation à la haine raciale » (décision confirmée par la Cour de cassation en 2003). En cause : un arrêté municipal qui, au nom de la “préférence nationale”, crée une prime à la naissance de 760 euros réservée « aux enfants français nés de parents européens ». En 2007, le couple Mégret est également condamné en appel pour avoir utilisé les moyens de la mairie de Vitrolles afin de financer la campagne présidentielle du président du MNR, en 2002. Ils écopent de huit mois de prison avec sursis et un an d'inéligibilité.
À Vitrolles comme à Toulon, les maires, inéligibles, mettent en selle leurs femmes pour partir à l’assaut de la mairie (Vitrolles) ou de la circonscription (Toulon). Mais ces casseroles décrédibilisent l’extrême droite et mènent à son implosion. Jean-Marie Le Chevallier, qui quitte le FN en 1999, est sévèrement battu en 2001 par le RPR Hubert Falco. De leur côté, les Mégret tentent de reprendre Vitrolles en 2002 en faisant profil bas. En vain. Catherine Mégret démissionne en 2003 du conseil municipal, tandis que son mari subit une déroute aux élections présidentielle et législatives de 2002 avec son parti, le MNR. Il se retirera officiellement de la politique en 2008.
À Orange et Marignane, les affaires arrivent plus tardivement. En 2010, Jacques Bompard, le maire d’Orange, est mis en examen pour « prise illégale d'intérêt » dans une affaire de vente de terrain. En 2011, la chambre régionale des comptes de Provence-Alpes-Côte d'Azur pointe également des irrégularités dans sa gestion municipale. En octobre 2013, il est renvoyé devant le tribunal correctionnel de Carpentras (Vaucluse) «pour deux prises illégales d’intérêt commises au cours des années 2004 et 2005» Sont également renvoyés pour recel de prise illégale d’intérêts sa fille et son gendre. L’enquête avait montré que la commune vendait des biens immobiliers, ensuite rachetés via des sociétés civiles immobilières (SCI) par les intéressés, qui réalisaient des plus-values importantes lors de la revente.
À Marignane, Daniel Simonpieri est condamné en 2011 à un an de prison avec sursis et cinq ans d’inéligibilité, dans un dossier de favoritisme, fausses factures et emploi fictif.
Dans ces deux villes, les maires restent en place mais s'éloignent du FN. Jacques Bompard, qui a rejoint le MPF de Philippe de Villiers avant de créer son propre parti, la Ligue du Sud, en 2010, est réélu en 2001 puis en 2008 (dès le premier tour). Devenu conseiller général, il retrouve aussi son siège de député en 2012. Daniel Simonpieri, passé au MNR puis à l'UMP, perd lui sa mairie en 2008.
« Clientélisme électoral »
Les maires frontistes n’échappent pas non plus à une gestion clientéliste qu’ils dénonçaient pourtant lors de leur campagne. « L'un des aspects les plus saillants du frontisme aux commandes des exécutifs municipaux demeure bel et bien la mise en place d'un système clientéliste d'utilisation des appareils du pouvoir local », observent Gilles Ivaldi et Virginie Martin dans leur étude « Le Front national entre clientélisme et recherche d’un enracinement social », publiée dans la revue Critique internationale en 1999.
« Le Front national sert ses socles électoraux importants, les pieds-noirs, les rapatriés. II réoriente les moyens municipaux vers des associations proches du parti », explique Gilles Ivaldi. À Toulon, ce clientélisme électoral s'appuie sur l’antenne locale de Fraternité française, sorte de Secours populaire version FN. L'association est présidée par Éliane de La Brosse, adjointe au maire en charge des affaires sociales, vice-présidente du Centre communal d’action sociale (CCAS), et dépeinte par les chercheurs comme une « dame patronnesse catholique », « militante royaliste convaincue ».
« Le FN n'a pas les réseaux associatifs et se retrouve dans une situation d’incompétence par rapport au pouvoir. Il va donc rechercher l’enracinement local en faisant monter en flèche l’association d’Éliane de La Brosse, raconte Virginie Martin. L’association fournit un gros travail au niveau social, mais avec un côté charity business post-colonial. Il est surtout hors de question d’aider les immigrés. C’est la théorie frontiste des cercles concentriques, j’aide d’abord ceux qui sont proches de moi. »
Dans un entretien accordé au Toulonnais, le journal municipal, en 1996, Éliane de La Brosse expose d’ailleurs clairement sa vision du choix de « clientèle » : « Le Fonds d'aide sociale consacre des sommes démesurées à une prétendue “lutte contre l'exclusion”. Le contrat-ville réserve la totalité de ses aides à la banlieue. (...) On aurait pu aider cette fois les habitants du centre. Et notamment certains commerçants qui, littéralement, crèvent de faim. »
« Clientélisme clanique »
Un « clientélisme clanique » se met également en place, selon les auteurs, qui parlent de « népotisme » et de « copinage ». Militants, cadres et proches du FN sont embauchés à tour de bras par la mairie. À Toulon, où la municipalité est le deuxième pourvoyeur d'emplois, la section FN a grossi en 1998 de plus d'un millier de cartes, puisées pour l'essentiel parmi les 3 400 employés municipaux.
La femme de Jean-Marie Le Chevallier prend la tête du Centre de loisirs et d'action sociale (CLAS), qu'elle transforme en JT (Jeunesse toulonnaise), où elle place ses proches. Des membres du FN sont nommés au Syndicat intercommunal des transports en commun, au Syndicat intercommunal de Châteauvallon à la société HLM, d'autres sont recrutés dans la police municipale. Des adjoints FN prennent en main la Mission locale d'insertion professionnelle et sociale des jeunes, l'Association municipale du temps de loisir (AMTL) et la Maison de l'étudiant.
le-maire-d-hayange-accuse-de-comptes-de-campagne-frauduleux
Source http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20140901.OBS7799/le-maire-d-hayange-accuse-de-comptes-de-campagne-frauduleux.html
CROUTILLANCE le FN nous dit """"" Comme on dit toujours, l'UMPS, c'est un parti avec des malversations. Au Front national, ça ne se passera pas comme ça : on sera clair, on sera juste, on sera intègre. """"
MAIS VOILA BEAU PARLER est FACILE, mais réalité crasseuse est vite là chez eux :
La scène est surréaliste. Gaël Legras, journaliste de la "Nouvelle Edition" de Canal +, qui enquête depuis quelques temps sur les nouvelles villes dirigées par le Front national, est en pleine interview avec le nouveau maire frontiste de la ville d'Hayange, Fabien Engelmann, lorsqu'un habitant de la ville vient les interrompre, visiblement remonté.
C'est quand que tu me rends mes sous que je t'ai prêtés pour la campagne" [sic], lance d'emblée l'homme, qui souhaite probablement profiter de la présence de la caméra.
"Je ne sais pas de quoi tu me parles", réplique le maire, le plus calmement possible.
"Si, si. Bah j'ai les factures, il n'y a pas de problème", renchérit le premier. "Par contre faudra penser à me les rendre. [...] Je veux mon fric. Tu as eu du fric en campagne que tu n'as pas déclaré. Je veux mon fric." L'homme menace ensuite de diffuser des preuves de ce qu'il avance.
Le maire propose alors au journaliste de poursuivre l'interview à l'écart de l'inopportun.
"Au fait je me présente : je suis le mari de la première adjointe [Marie Da Silva, NDLR], grâce à qui il a obtenu son poste, avec mon fric, qu'il a du mal à rendre", revient à la charge l'homme. "Monsieur veut s'en débarrasser [de son adjointe] maintenant, à tout prix. En nous traitant de racistes, tout ce qu'il faut pour pas payer."
"Ou tu me payes ou la Cour des comptes verra", menace-t-il
Plainte pour abus de confiance et harcèlement
Depuis la réalisation de l'interview, la maire adjointe, qui était également la colistière du maire lors de l'élection, a été écartée de la mairie par l'édile qui a estimé "impossible" de travailler avec elle.
Contactée par le journaliste Gaël Legras, Marie Da Silva assure avoir "payé elle-même des factures pour environ 3.000 euros, avec son propre argent". Ce qui est formellement interdit par la loi : seul le mandataire financier du candidat peut régler des factures, qui doivent impérativement figurer sur les comptes de campagne du candidat.
Selon le journaliste, Marie Da Silva, fraîchement débarquée, a donc décidé d'en informer la Commission nationale des comptes de campagne, qui devrait instruire le dossier d'ici peu.
"Comme on dit toujours, l'UMPS, c'est un parti avec des malversations. Au Front national, ça ne se passera pas comme ça : on sera clair, on sera juste, on sera intègre. Et là je me rends compte que grâce à mon aide, j'ai réussi à mettre en place, puissance 10, ce personnage qui, sous couvert d'une étiquette Front national, fait pire que ce que l'ancien maire a fait !", ne décolère par l'ancienne colistière, rencontrée par le journaliste. "Et si le Front national accepte ça, qu'est ce que je dois en déduire ? Qu'est-ce que les citoyens qui ont voté pour le Front national doivent en déduire ?"
Pour sa défense, le maire a assuré au journaliste qu'il n'aurait jamais vu ces factures, que ses comptes de campagne étaient "nickels", que tout cela n'était pas crédible et qu'il avait la confiance "de Marine".
Marie Da Silva a elle décidé de porter plainte pour abus de confiance, abus de bien social et harcèlement.
R.F. - Le Nouvel Observateur voir liens et autres videos sur le site source ci dessus
CROUTILLANCE le FN nous dit """"" Comme on dit toujours, l'UMPS, c'est un parti avec des malversations. Au Front national, ça ne se passera pas comme ça : on sera clair, on sera juste, on sera intègre. """"
MAIS VOILA BEAU PARLER est FACILE, mais réalité crasseuse est vite là chez eux :
La scène est surréaliste. Gaël Legras, journaliste de la "Nouvelle Edition" de Canal +, qui enquête depuis quelques temps sur les nouvelles villes dirigées par le Front national, est en pleine interview avec le nouveau maire frontiste de la ville d'Hayange, Fabien Engelmann, lorsqu'un habitant de la ville vient les interrompre, visiblement remonté.
C'est quand que tu me rends mes sous que je t'ai prêtés pour la campagne" [sic], lance d'emblée l'homme, qui souhaite probablement profiter de la présence de la caméra.
"Je ne sais pas de quoi tu me parles", réplique le maire, le plus calmement possible.
"Si, si. Bah j'ai les factures, il n'y a pas de problème", renchérit le premier. "Par contre faudra penser à me les rendre. [...] Je veux mon fric. Tu as eu du fric en campagne que tu n'as pas déclaré. Je veux mon fric." L'homme menace ensuite de diffuser des preuves de ce qu'il avance.
Le maire propose alors au journaliste de poursuivre l'interview à l'écart de l'inopportun.
"Au fait je me présente : je suis le mari de la première adjointe [Marie Da Silva, NDLR], grâce à qui il a obtenu son poste, avec mon fric, qu'il a du mal à rendre", revient à la charge l'homme. "Monsieur veut s'en débarrasser [de son adjointe] maintenant, à tout prix. En nous traitant de racistes, tout ce qu'il faut pour pas payer."
"Ou tu me payes ou la Cour des comptes verra", menace-t-il
Plainte pour abus de confiance et harcèlement
Depuis la réalisation de l'interview, la maire adjointe, qui était également la colistière du maire lors de l'élection, a été écartée de la mairie par l'édile qui a estimé "impossible" de travailler avec elle.
Contactée par le journaliste Gaël Legras, Marie Da Silva assure avoir "payé elle-même des factures pour environ 3.000 euros, avec son propre argent". Ce qui est formellement interdit par la loi : seul le mandataire financier du candidat peut régler des factures, qui doivent impérativement figurer sur les comptes de campagne du candidat.
Selon le journaliste, Marie Da Silva, fraîchement débarquée, a donc décidé d'en informer la Commission nationale des comptes de campagne, qui devrait instruire le dossier d'ici peu.
"Comme on dit toujours, l'UMPS, c'est un parti avec des malversations. Au Front national, ça ne se passera pas comme ça : on sera clair, on sera juste, on sera intègre. Et là je me rends compte que grâce à mon aide, j'ai réussi à mettre en place, puissance 10, ce personnage qui, sous couvert d'une étiquette Front national, fait pire que ce que l'ancien maire a fait !", ne décolère par l'ancienne colistière, rencontrée par le journaliste. "Et si le Front national accepte ça, qu'est ce que je dois en déduire ? Qu'est-ce que les citoyens qui ont voté pour le Front national doivent en déduire ?"
Pour sa défense, le maire a assuré au journaliste qu'il n'aurait jamais vu ces factures, que ses comptes de campagne étaient "nickels", que tout cela n'était pas crédible et qu'il avait la confiance "de Marine".
Marie Da Silva a elle décidé de porter plainte pour abus de confiance, abus de bien social et harcèlement.
R.F. - Le Nouvel Observateur voir liens et autres videos sur le site source ci dessus
Re: Le FN et ses oeuvres quand il gouverne (des mairies)
A la LOUPE comment le FN gère ses VILLES
http://www.mediapart.fr/journal/france/dossier/les-villes-fn-la-loupe
cela donne un aperçu effrayant de comment il gererait la France, s'il venait à etre élu, la CATA pour la REPUBLIQUE, la CATA pour la DEMOCRATIE, la CATA pour le SOCIAL et la CATA pour les LIBERTES;;;;etc...
http://www.mediapart.fr/journal/france/dossier/les-villes-fn-la-loupe
cela donne un aperçu effrayant de comment il gererait la France, s'il venait à etre élu, la CATA pour la REPUBLIQUE, la CATA pour la DEMOCRATIE, la CATA pour le SOCIAL et la CATA pour les LIBERTES;;;;etc...
Re: Le FN et ses oeuvres quand il gouverne (des mairies)
Quel bilan pour les mairies FN et apparentées six mois après la prise de fonction des nouvelles équipes ? Attaques contre les centres sociaux, attaques contre la culture, attaques contre le monde associatif, fin de la gratuité dans les cantines, augmentation des indemnités des élus, comptes de campagne frauduleux, clientélisme… Un bilan catastrophique !
https://matthieulepine.wordpress.com/2014/09/08/municipalites-fn-un-premier-bilan-catastrophique/
bref SI VOUS VOUS VOULEZ du SOCIAL, de la DEMOCRATIE et du pro Français avec le FN, vous serez niquez, car ils pensent qu'à leur gueule et à s'enrichir perso comme l'UMP, le PS et j'en passe, mais le FN est le pire de tous à ce niveau, voir lien ci dessus pour + d'infos
Un FN bien anti nationnal
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/fn-le-front-antinational-156440
https://matthieulepine.wordpress.com/2014/09/08/municipalites-fn-un-premier-bilan-catastrophique/
bref SI VOUS VOUS VOULEZ du SOCIAL, de la DEMOCRATIE et du pro Français avec le FN, vous serez niquez, car ils pensent qu'à leur gueule et à s'enrichir perso comme l'UMP, le PS et j'en passe, mais le FN est le pire de tous à ce niveau, voir lien ci dessus pour + d'infos
Un FN bien anti nationnal
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/fn-le-front-antinational-156440
Re: Le FN et ses oeuvres quand il gouverne (des mairies)
aller, on prend z mêmes et on recommence, le FN maire de MANTES LA VILLE :
Six mois après les élections municipales, le maire FN doit faire face à une fuite de ses cadres municipaux. Ambiance "règlements de comptes" ?
à lire sur la Source http://www.lepoint.fr/politique/a-la-mairie-fn-de-mantes-la-ville-les-cadres-quittent-le-navire-19-09-2014-1864626_20.php
Six mois après les élections municipales, le maire FN doit faire face à une fuite de ses cadres municipaux. Ambiance "règlements de comptes" ?
à lire sur la Source http://www.lepoint.fr/politique/a-la-mairie-fn-de-mantes-la-ville-les-cadres-quittent-le-navire-19-09-2014-1864626_20.php
Re: Le FN et ses oeuvres quand il gouverne (des mairies)
http://www.marianne.net/Cogolin-le-maire-FN-embauche-un-ex-du-clan-Balkany-pour-faire-du-pognon_a243677.html
maire FN de Cogolin embauche un ex du clan Balkany pour "faire du pognon" :
Pour gérer les dossiers d'urbanisme de sa commune, le maire FN de Cogolin, Marc-Etienne Lansade, fait appel à un ex-homme clé du système Balkany à Levallois-Perret où, il est vrai, on s'y connait en "affaires" immobilières...
Les entreprises satellites du FN ne connaissent pas la crise
Depuis trois mois, le maire FN de Cogolin, Marc-Etienne Lansade, s’est adjoint les services d’un certain Jean-Marc Smadja, promu « conseiller spécial » chargé de l’urbanisme. La première mission de cet homme de l'ombre : plancher sur la reconversion d’un terrain communal de 13 hectares où l’édile souhaite voir pousser des logements et des hôtels.
Cousin germain d’Isabelle Balkany – on les dit brouillés pour de sombres histoires de sous –, Smadja fut pendant des années un personnage clé du système Balkany à Levallois-Perret. Heureuse coïncidence, c'est également dans cette ville des Hauts-de-Seine que vivait Marc-Etienne Lansade, à l'époque gestionnaire de biens immobiliers, juste avant son parachutage dans la petite commune varoise en mars 2014. Après un passage dans les années 1990 par la direction de la Banque générale du commerce, aujourd'hui disparue, et dont Patrick Balkany fut un important client, Jean-Marc Smadja a dirigé la société d’économie mixte d’aménagement de Levallois-Perret, la Semarelp, de 2001 à 2008. L’établissement, qui a joué un rôle essentiel dans le bétonnage de cette prospère commune du 92, est aujourd’hui dans le viseur de la justice : les magistrats le soupçonnent d’avoir été au cœur d’un vaste système de pots-de-vin, comme Marianne s'en est fait l'écho.
« On a le sentiment que le maire a mis en place un cabinet noir », déplore Francis José-Maria, un Cogolinois qui surveille de près la nouvelle municipalité et tient un blog bien informé, « Place publique ». Le 15 décembre dernier, une bonne partie du conseil municipal a porté sur le statut et le rôle exact de Smadja, présent ce jour-là aux côtés du maire. « Il n’a pas de contrat de travail. Mais on cherche une solution contractuelle car, pour vous dire la vérité, monsieur Smadja est à la retraite et touche trop d’argent pour avoir un contrat supplémentaire », s’est hasardé l’élu d’extrême droite, sans plus de détail.
Joint par Marianne, Lansade précise qu'il a confié à Smadja cette prestation de services pour « 10 000 euros environ », qu'il l'a rencontré au cours d'un « déjeuner professionnel il y a une dizaine d'années » et qu’il n’a jamais « monté de dossier avec lui à Levallois ». « J’ai besoin de quelqu’un qui sait faire du pognon ! », lâche-t-il en conclusion. Voilà qui est dit.
voir liens et infos en pluss sur le site source
maire FN de Cogolin embauche un ex du clan Balkany pour "faire du pognon" :
Pour gérer les dossiers d'urbanisme de sa commune, le maire FN de Cogolin, Marc-Etienne Lansade, fait appel à un ex-homme clé du système Balkany à Levallois-Perret où, il est vrai, on s'y connait en "affaires" immobilières...
Les entreprises satellites du FN ne connaissent pas la crise
Depuis trois mois, le maire FN de Cogolin, Marc-Etienne Lansade, s’est adjoint les services d’un certain Jean-Marc Smadja, promu « conseiller spécial » chargé de l’urbanisme. La première mission de cet homme de l'ombre : plancher sur la reconversion d’un terrain communal de 13 hectares où l’édile souhaite voir pousser des logements et des hôtels.
Cousin germain d’Isabelle Balkany – on les dit brouillés pour de sombres histoires de sous –, Smadja fut pendant des années un personnage clé du système Balkany à Levallois-Perret. Heureuse coïncidence, c'est également dans cette ville des Hauts-de-Seine que vivait Marc-Etienne Lansade, à l'époque gestionnaire de biens immobiliers, juste avant son parachutage dans la petite commune varoise en mars 2014. Après un passage dans les années 1990 par la direction de la Banque générale du commerce, aujourd'hui disparue, et dont Patrick Balkany fut un important client, Jean-Marc Smadja a dirigé la société d’économie mixte d’aménagement de Levallois-Perret, la Semarelp, de 2001 à 2008. L’établissement, qui a joué un rôle essentiel dans le bétonnage de cette prospère commune du 92, est aujourd’hui dans le viseur de la justice : les magistrats le soupçonnent d’avoir été au cœur d’un vaste système de pots-de-vin, comme Marianne s'en est fait l'écho.
« On a le sentiment que le maire a mis en place un cabinet noir », déplore Francis José-Maria, un Cogolinois qui surveille de près la nouvelle municipalité et tient un blog bien informé, « Place publique ». Le 15 décembre dernier, une bonne partie du conseil municipal a porté sur le statut et le rôle exact de Smadja, présent ce jour-là aux côtés du maire. « Il n’a pas de contrat de travail. Mais on cherche une solution contractuelle car, pour vous dire la vérité, monsieur Smadja est à la retraite et touche trop d’argent pour avoir un contrat supplémentaire », s’est hasardé l’élu d’extrême droite, sans plus de détail.
Joint par Marianne, Lansade précise qu'il a confié à Smadja cette prestation de services pour « 10 000 euros environ », qu'il l'a rencontré au cours d'un « déjeuner professionnel il y a une dizaine d'années » et qu’il n’a jamais « monté de dossier avec lui à Levallois ». « J’ai besoin de quelqu’un qui sait faire du pognon ! », lâche-t-il en conclusion. Voilà qui est dit.
voir liens et infos en pluss sur le site source
Re: Le FN et ses oeuvres quand il gouverne (des mairies)
L'important @Limportant_fr
massacre a Charlie Hebdo : un maire FN interdit les rassemblements de solidarité envers les 12 tués
http://www.courrier-picard.fr/region/villers-cotterets-02-le-maire-fn-s-oppose-aux-ia201b0n497173
Le maire FN de Villers-Cotterêts (Aisne), Franck Briffaut, s’oppose aux rassemblements en hommage aux victimes de l’attentat, perpétré au siège de Charlie Hebdo mercredi 7 janvier, qui a causé douze morts. Selon lui, « ces rassemblements sont contraires à l’esprit de Vigipirate ». Le maire frontiste a mis à disposition, en mairie, un registre de condoléances pour les habitants de sa commune. Il sera ensuite remis au journal, victime de l’attentat. À 12 heures, « nous ferons sonner les cloches en hommage aux victimes ».
« Je suis responsable de la sécurité publique et compte tenu de ce qui s’est passé ce matin, je ne suis pas favorable à ces rassemblements », poursuit l’élu. Jeudi 8 janvier, vers 9 heures, deux des trois suspects auraient été aperçus dans une Clio blanche, circulant sur la RN 2, à hauteur d’une station-service près de la commune de Largny-sur-Automne, à l’ouest de Villers-Cotterêts et à quelques kilomètres de l’Oise.
D’importants moyens de la gendarmerie, dont un hélicoptère, sont dépêchés sur place.
LE MËME QUI AVAIT annulé la commémoration de l'abolition de l'esclavage. FN, on ne se refait pas
massacre a Charlie Hebdo : un maire FN interdit les rassemblements de solidarité envers les 12 tués
http://www.courrier-picard.fr/region/villers-cotterets-02-le-maire-fn-s-oppose-aux-ia201b0n497173
Le maire FN de Villers-Cotterêts (Aisne), Franck Briffaut, s’oppose aux rassemblements en hommage aux victimes de l’attentat, perpétré au siège de Charlie Hebdo mercredi 7 janvier, qui a causé douze morts. Selon lui, « ces rassemblements sont contraires à l’esprit de Vigipirate ». Le maire frontiste a mis à disposition, en mairie, un registre de condoléances pour les habitants de sa commune. Il sera ensuite remis au journal, victime de l’attentat. À 12 heures, « nous ferons sonner les cloches en hommage aux victimes ».
« Je suis responsable de la sécurité publique et compte tenu de ce qui s’est passé ce matin, je ne suis pas favorable à ces rassemblements », poursuit l’élu. Jeudi 8 janvier, vers 9 heures, deux des trois suspects auraient été aperçus dans une Clio blanche, circulant sur la RN 2, à hauteur d’une station-service près de la commune de Largny-sur-Automne, à l’ouest de Villers-Cotterêts et à quelques kilomètres de l’Oise.
D’importants moyens de la gendarmerie, dont un hélicoptère, sont dépêchés sur place.
LE MËME QUI AVAIT annulé la commémoration de l'abolition de l'esclavage. FN, on ne se refait pas
Re: Le FN et ses oeuvres quand il gouverne (des mairies)
La mairie FN de Mantes-la-Ville prive la LDH (LIGUE DES DROITS DE L"HOMME) de subventions
http://www.liberation.fr/politiques/2015/03/31/la-mairie-fn-de-mantes-la-ville-prive-la-ldh-de-subventions_1232055
on se demande bien pourquoi ? quel signe de DEMOCRATIE et de PARTI SOCIAL pour les ouvriers, les cul-terreux etc hein ???
Avec le FN les droits de l'Homme derangent !!!!
les droits de l'homme qu'est ce que c'est http://www.un.org/fr/documents/udhr/ permet de bien comprendre pourquoi ça derange le FN dont les arrieres pensées sont toujours nazis petainistes
http://www.liberation.fr/politiques/2015/03/31/la-mairie-fn-de-mantes-la-ville-prive-la-ldh-de-subventions_1232055
on se demande bien pourquoi ? quel signe de DEMOCRATIE et de PARTI SOCIAL pour les ouvriers, les cul-terreux etc hein ???
Avec le FN les droits de l'Homme derangent !!!!
les droits de l'homme qu'est ce que c'est http://www.un.org/fr/documents/udhr/ permet de bien comprendre pourquoi ça derange le FN dont les arrieres pensées sont toujours nazis petainistes
Sujets similaires
» PROTEGER ses OEUVRES MUSICALES
» ISRAEL gouverne les USA
» Corruption de L'EQUIPE de FRANCE qui gouverne
» les "" CERVEAUX '' du FN, enfin quand ils en ont un
» NUAGES dûs à la MAREE NOIRE dans le GOLFE du MEXIQUE
» ISRAEL gouverne les USA
» Corruption de L'EQUIPE de FRANCE qui gouverne
» les "" CERVEAUX '' du FN, enfin quand ils en ont un
» NUAGES dûs à la MAREE NOIRE dans le GOLFE du MEXIQUE
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum