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Pas un jour sans que les SIONNISTES parlent d'eux, comme povr CALIMEROS, en accusant les autres d'être MECHANTS antisémites

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Message  OYABIO Jeu 8 Juil - 7:01

Et aller, on prend les mêmes et on recommence.....maintenant c'est au tour d'un mêmbre du CLERGE dont la tête de GONDOLE est le PAPE de nous expliquer que la CHASSE aux PEDOPHILES au sein de L'EGLISE par trop de généralisation est comparable à de L'ANTISEMITISTE........

http://www.actu24.be/MBO_Article/435445.aspx

http://www.leparisien.fr/societe/vatican-tolle-apres-la-comparaison-entre-scandales-pedophiles-et-antisemitisme-03-04-2010-873412.php


ahahahahaahahahahahaahah.......bein voyons...... chacun sait que au SEIN du VATICAN les grandes têtes de gondoles sont JUIVES SIONNISTES depuis longtemps, puisque la RELIGION ORGANISEE, telle qu'elle l'est dans nos sociétés, vient directement de la bas?????


mais pourquoi donc CRIENT ils sans cesse à L'ANTISEMITISME à tord et à travers.....et pourquoi cherchent ils à faire croire que seuls les JUIFS sont SEMITES ????


Ce PDF devrait bien vous expliquer la CHOSE https://sd-2.archive-host.com/membres/up/66497693963381614/Le_POINTER_du_DOIGT_sur_LAUTRE.pdf

Voir aussi ce TOPIC sur les coups montés et fausses agressions antisémites : https://rvlations.1fr1.net/politiques-et-tromperies-f3/coups-montes-et-fausses-agressions-anti-semites-t223.htm#316


Dernière édition par OYABIO le Sam 1 Jan - 18:09, édité 1 fois
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Message  OYABIO Sam 1 Jan - 17:51

Source : http://www.alterinfo.net/Defamation-VostFr-L-utilite-de-l-antisemitisme-pour-les-lobbies-juifs-video_a53313.html

Est-ce qu'une personne qui exprime des opinions anti-sionistes est nécessairement antisémites? Faire sans cesse référence à l'Holocauste peut-il devenir une obsession malsaine?

Le film "Defamation" dénonce et explore cette notion d'antisémitisme que les médias nous transmettent de façon récurrente.

Il dénonce également les lobbies et les propagandistes juifs qui participent à la diffusion de cette phobie et qui insistent pour s'organiser autour de l'idée ridicule qu'ils seraient pourchassés, diffamés ou haïs pour des raisons "raciales" : l'antisémitisme.

Le réalisateur Yoav Shamir (juif israélien) a exploré divers aspects de la vie israélienne actuelle, a infiltré différentes organisations, a suivi le voyage de lycéens israéliens à Auschwitz, etc. et il nous donne une vision intime de cette jeunesse israélienne que l'on endoctrine afin de la placer dans une anxiété collective et dans une névrose totale juste avant son incorporation dans l'armée... Afin de les inciter plus facilement à la haine du non-juif!

Le film étudie l'amplification agressive et vulgaire de la peur parmi les Israéliens et les juifs sionistes. « Nous sommes élevés dans l'idée que nous sommes haïs », dit ainsi une lycéenne israélienne, en route vers un camp de concentration. « L'ADL nous fournit un programme nous expliquant comment être juifs », indique une dame juive âgée...

La propagande (surtout médiatique) règne dans tous les pays... Concentrons-nous sur celle qui est appliquée en particulier sur la population juive!





Source : http://www.mecanopolis.org/?p=13006

Analyse profonde du pourquoi ce CRI INCESSANT à L'ANTISEMITISME, alors qu'en vérité, y a pas plus d'antisémitisme, que d'anti arabes, ni que d'anti noirs, ou d'anti pauvres, bref que les SEMITES ne sont pas plus victimes que d'autres peuples dans le Monde....
https://sd-2.archive-host.com/membres/up/66497693963381614/Le_POINTER_du_DOIGT_sur_LAUTRE.pdf
Je signale au passage que ce lien ci dessus je le change souvent, le remet souvent, car il est souvent censurés par des gens ayant accès aux coulisses de mon forum et que je n'ai absolument pas autorisé de ce fait....preuve que ces propos dérangent de par leur vérité et que certains cherchent à en cacher la vérité....

Pourquoi il est dangereux de soutenir seulement l'antiracisme contre quelques uns en particulier, sans soutenir tous les antiracismes en général sans partis pris : https://rvlations.1fr1.net/t20-probleme-de-la-vision-separee-entre-pro-ceci-et-anti-ceci-cela-ne-permet-pas-de-resoudre-les-problemes


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Pas un jour sans que les SIONNISTES parlent d'eux, comme povr CALIMEROS, en accusant les autres d'être MECHANTS antisémites Empty Re: Pas un jour sans que les SIONNISTES parlent d'eux, comme povr CALIMEROS, en accusant les autres d'être MECHANTS antisémites

Message  OYABIO Jeu 1 Déc - 17:14

Encore un Sioniste convaincu qui cherche à foutre la maard : lassé que les gens ne soient pas vraiment anti sionistes et qu'il n'y ait quasiment aucune aggressions antisélites, le gars s'ecrit à lui même des SMS, se les envoi lui même à lui même et vaensuite porter plainte pour aggression antisioniste, antisémites à son encontre

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Pas un jour sans que les SIONNISTES parlent d'eux, comme povr CALIMEROS, en accusant les autres d'être MECHANTS antisémites Empty ELI WIESEL a menti sur son passé d'holocauste

Message  OYABIO Jeu 1 Déc - 17:56

source http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-laureat-du-prix-Nobel-Elie-Wiesel-a-menti-sur-son-passe-au-moment-de-l-Holocauste-9349.html

“Le lauréat du prix Nobel Elie Wiesel a menti sur son passé au moment de l’holocauste” prétend un survivant.

Par Stefan J. Bos

On sait qu’Elie Wiesel, « écrivain » et prix Nobel de la paix est un sioniste ultra

La banalité du mal, c'est les autres, pas nous.

Mais, figurez-vous que quelqu’un prétend qu’Elie Wiesel est un imposteur. Pas seulement un imposteur au point de vue moral, mais un imposteur au sens propre du terme, c’est-à-dire qu’il aurait usurpé l’identité d’un certain Lazar Wiesel qui était détenu à Auschwitz puis à Buchenwald.

Celui qui soutient cette thèse qu’il va présenter en justice à Budapest en janvier est un certain Nikolaus (Miklos) Grüner, un Juif Hongrois qui s’était lié d’amitié avec un Lazar Wiesel qui était son codétenu et dont le Wiesel que nous connaissons aurait endossé l’identité.

Grüner soutient même que le livre de Wiesel « La Nuit » est en réalité l’œuvre de Lazar Wiesel.

Je vous laisse lire l’article qui, s’il n’emporte pas forcément la conviction a de quoi laisser perplexe.

Un des arguments de Nikolaus Gruner est l’absence, selon lui, du tatouage qu’infligeaient les nazis sur le bras d’Elie Wiesel.

Il y a d’ailleurs un site internet entièrement consacré à ce tatouage et qui pose la question : Où est le tatouage d’Elie ?. ( ? ) Pour une fois, ce personnage pas très drôle peut ainsi nous faire rire.

“Le lauréat du prix Nobel Elie Wiesel a menti sur son passé au moment de l’holocauste,” prétend un survivant. par Stefan J. Bos, BosNewsLife (Hongrie) 18 novembre 2011 traduit de l’anglais par Djazaïri Budapest, Hongrie (BosNewsLife) –

Le survivant, âgé de 83 ans, a esté en justice le rabbin Simon Köves pour avoir invité Wiesel en Hongrie en 2009, tout en « sachant que cet homme n’est pas un véritable survivant de l’holocauste » mais « a volé l’identité d’un détenu. »

Grüner est aussi mécontent d’avoir été accusé par le rabbin de “falsifier l’histoire”, le comparant à l’universitaire Américain Norman Finkelstein qui a écrit

« L’industrie de l’holocauste. »

Dans son livre controversé, Finkelstein dit que les dirigeants Juifs alimentent l’antisémitisme européen en essayant de contraindre les banques allemandes et suisses à payer de nouvelles indemnités à ceux qui ont souffert à l’époque du nazisme.

Grüner exige que le rabbin retire ses propos et explique publiquement la “vérité” sur Wiesel, selon un document que BosNewsLife a pu examiner.

PAS DE DOMMAGES ET INTERETS

“Je ne veux pas de compensation financière, mais je veux qu’il [Köves] dise au monde qui est vraiment son ami Elie Wiesel, » a-t-il déclaré dans un long entretien accordé à BosNewsLife, avant une conférence de presse vendredi 18 novembre.

« Wiesel n’est pas né en Roumanie ou en Hongrie comme il le prétend et n’a pas été en camp de concentration. Il ne parle même pas hongrois. »

Köves conteste fermement ces accusations. « J’ai passé deux jours avec lui et Wiesel a parlé avec moi en hongrois. Il s’est aussi adressé au parlement en hongrois. Ces allégations sont celles d’un homme âgé qui a une sorte de complexe » a-t-il dit à BosNewslife. Köves dit ne pas avoir encore été invité [convoqué, NdT] à l’audience au tribunal du 24 janvier.

Le rabbin s’empresse d’ajouter qu’il a bien sûr de la sympathie pour « l’horrible souffrance de Grüner qui a perdu ses parents et un jeune frère dans l’immense complexe des camps de la mort d’Auschwitz-Birkenau en Pologne."

Nikolaus Gruner affirme que “Elie Wiesel a usurpé l’identité de son ami et codétenu en camp de concentration Lázár Wiesel". Les prénoms « Elie » et « Lázár » sont semblables au nom hébreu Eleazar.

Grüner laisse entendre que Wiesel a commis une tromperie en se faisant passer pour son ami et ancien codétenu.

“Lázár m’a aidé à survivre. Plus tard, Elie Wiesel a publié le livre de Lázár sous son nom à lui. C’était « La nuit » qui a valu à Elie Wiesel – ou quel que soit son vrai nom – le prix Nobel.

NUMERO NAZI

Il se souvient même du N° de Lázár que les nazis lui avaient tatoué sur le bras : A-7713. « C’est en fait une partie du titre du livre que j’espère publier sur l’arnaque Wiesel : ‘identité volée, A-7713.’ »

Des photos et une séquence vidéo sont apparues sur internet, dans lesquelles on voit un homme en manches courtes qui ressemble à Wiesel et n’a pas de tatouage visible.

Mais Wiesel affirme avoir encore ce tatouage sur son bras.

“Je n’en ai pas besoin pour me souvenir, je pense tous les jours à mon passé,” avait-il dit à des étudiants Américains quand il avait été questionné sur son tatouage. « je l’ai toujours sur le bras – A-7713. A l’époque, nous étions des numéros. Pas de nom, pas d’identité, » avait-il ajouté.

Dans d’autres propos pour BosNewsLife, Wiesel a exprimé sa préoccupation devant la montée de l’extrémisme en Hongrie, avec la montée du parti d’extrême droite, le Mouvement pour une Meilleure Hongrie (Jobbik), qui est maintenant la troisième force politique du pays.

Grüner concède qu’il aurait mieux fait de poursuivre Wiesel directement, mais il soutient que c’est impossible. « Après 26 années de recherches, le tribunal hongrois me donne la première occasion de présenter mon dossier, ce que j’espère bien faire en poursuivant le rabbin, » dit-il.

“Elie Wiesel, qui réside aux Etats Unis est quelqu’un de très difficile à confondre. Le monde entier le protège, depuis Barack Obama [le président des USA] à Angela Merkel [la chancelière Allemande]. Ils ont tous peur que la vérité sorte, à cause du prestige et de l’argent. Je fais aussi pression sur le Bundestag [parlement allemand] pour qu’il me montre les archives sur le passé de Wiesel. »

FAUSSE IDENTITE ?

L’ami de Wiesel, Köves, oppose que l’écrivain n’a rien à cacher. « Comment peut-on voler l’identité de quelqu’un ? Il a reçu le prix Nobel pour ses livres, pas pour ce qu’il a été ou pour son lieu de naissance. »

Pour Grüner, le passage au tribunal à Budapest est un pas de géant dans une trajectoire personnelle longue et douloureuse. Elle avait commencé à l’adolescence quand en mai 1944, sa famille et lui-même ont été transportés comme du bétail dans un train bondé, parti de Hongrie pour Auschwitz-Birkenau. Sa mère et son frère plus jeune avaient été gazés immédiatement dans les fours qui fonctionnaient nuit et jour dans le complexe nazi. Son père est mort d’épuisement à cause du travail forcé. Agé de 15 ans, il s’était lié d’amitié avec Lázár Wiesel, qui était un de ceux qui le protégeaient. En janvier 1945, comme l’armée russe s’approchait, les détenus avaient été transférés d’un camp annexe d’Auschwitz-Birkenau à celui de Buchenwald en Allemagne. Pendant les dix jours qu’avait duré cette marche épuisante, en partie à pied, en partie dans des wagons découverts, plus de la moitié des détenus avait péri, dont Abraham, le frère aîné de Lázár Wiesel. Nous nous maintenions au chaud en nous étendant contre les cadavres, » explique Grüner.

LIBERATION AMERICAINE

En avril 1945, l’armée américaine a libéré Buchenwald où elle a découvert Nikolaus Grüner, Lázár Wiesel et d’autres survivants. « Elie Wiesel n’est pas avec nous sur la célèbre photo de la libération du camp, même s’il prétend le contraire” insiste Grüner. Grüner étant tuberculeux, il avait été envoyé dans une Clinique en Suisse et séparé de son ami Lázár. « Je ne l’ai jamais revu. Peut-être a-t-il été tué. » Après sa guérison, Grüner a émigré en Australie pour finir pas s’établir en Suède où il a exercé comme peintre et sculpteur. « je ne voulais pas retourner en Hongrie. J’avais même changé mon prénom Miklós en Nikolaus. Ils ont détruit notre maison dans la ville de Nyíregyháza, exterminé presque toute ma famille et tué des centaines de milliers d’autres Juifs. Les Hongrois étaient impatients de refermer [sur nous] les wagons des trains de la mort. » En 1986, un journal suédois avait arrangé pour lui une rencontre avec celui dont il pensait que c’était son vieil ami. Mais c’était en fait Elie Wiesel et Grüner avait alors affirmé ne jamais l’avoir rencontré auparavant. « Wiesel avait refusé de me montrer son tatouage. Ce fut une rencontre très brève. » Grüner “se fiche que Wiesel gagne 25 000 dollars » pour un discours de 45 minutes. « Mais je ne veux pas qu’il se fasse de l’argent sur la mort des membres de ma famille et des millions d’autres qui ont péri dans l’holocauste, » dit-il d’une voix tremblante.

PROCHAINE GENERATION

« Je veux quitter ce monde en sachant que j’ai dit la vérité à la prochaine génération… J’accepte même de dialoguer avec des antisémites et avec l’église catholique pour laquelle j’ai peint et fait des sculptures en tant qu’artiste. » Son expérience de l’holocauste et des dizaines d’années de recherches dans la supposée fraude commise par Wiesel l’ont marqué.

L’homme, qui porte encore les cicatrices de son propre tatouage qui avait été infligé sur son bras à Auschwitz-Birkenau, dit avoir perdu sa foi en Dieu après l’holocauste. « Je n’ai plus personne… pas même Dieu.” Environ 600,000 Juifs Hongrois ont péri pendant l’holocauste.

Fais-nous rire pour une fois Elie ET prouve à tout le MONDE que tu es qui tu dis que tu es : montre-nous ton tatouage

La PREUVE la voici, ELIE WIESEL n'a pas de tatouage :
https://www.youtube.com/watch?v=IhsdyAjUVcs
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Pas un jour sans que les SIONNISTES parlent d'eux, comme povr CALIMEROS, en accusant les autres d'être MECHANTS antisémites Empty Une étudiante juive peignait des croix gammées sur sa porte et criait ensuite à l'antisémitisme

Message  OYABIO Lun 24 Sep - 17:55

Une étudiante juive peignait elle meme des croix gammées sur sa porte et criait ensuite à l'antisémitisme



mais elle ignorait qu'il y avait une caméra de surveillance...
Bête et méchante!

C'est pourtant pas la première fois que des juifs sont pris à ce genre d'artifice, et ce
en tous domaines.....ce commettre eux mêmes des actes antisémites pour faire accuser d'autres de l'être, ainsi ils et elles peuvent continuer à jouer leur refrain préféré """ oh nous pauvres petits juifs innocents devant un monde si méchant envers nous """
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Pas un jour sans que les SIONNISTES parlent d'eux, comme povr CALIMEROS, en accusant les autres d'être MECHANTS antisémites Empty Re: Pas un jour sans que les SIONNISTES parlent d'eux, comme povr CALIMEROS, en accusant les autres d'être MECHANTS antisémites

Message  OYABIO Mer 23 Juil - 7:48

Source / http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/l-antisemitisme-la-nouvelle-arme-154729

Quand le peuple connaît un sursaut de lucidité DE COMPRENURE de ce qui les manipulent dans un sens negatif, youpla, comme par miracle apparaît soudainement une nouvelle affaire « antisémite » qui vient occulter les nuisances infligées par les groupuscules extrémistes juifs. La stratégie du mensonge bat son plein tout en culpabilisant les Français d'être de fervents antisémites. Pourtant, en 2009, dans son rapport « la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie », la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) contredisait les accusations des responsables juifs.

En effet, il ressortait de celui-ci que seulement 5 % des Français se considèraient comme racistes et que seulement 2 % estimaient que notre pays connaîssait un problème d’antisémitisme (en comparaison 6 % d’entre eux estimaient qu’un racisme anti-blancs était à l’œuvre dans notre société. Alors comment expliquer ce sentiment d'une montée en puissance de l'antisémitisme en France ? Rien de plus simple, il suffit de créer de l'antisémitisme !

C'est le courageux Jean-Marie le Pen qui se frotta le premier à la première fausse affaire d'antisémitisme. L'affaire de la profanation du carré juif du cimetière de Carpentras est l'exemple le plus criant en matière de manipulations des opinions publiques. Les révélations d'Yves Bertrand, ancien patron des RG, ont mis en lumière une manipulation émanant de Laurent Fabius, Jack Lang et François Mitterrand pour discréditer Jean-Marie le Pen et son mouvement politique.

En réalité, cette fausse affaire d'antisémitisme avait pour but de préparer l'élaboration de la loi Gayssot qui interdirait aux historiens de s'exprimer sur l'histoire. La loi Gayssot ne suffisant pas à museler certains historiens, c'est l'écrivain Jean-Christophe Rufin qui finalisera l'omerta en remettant, en 2004, un rapport sur les actes antisémites au ministère de l'Intérieur.

Dès sa genèse, ce rapport préconise une séparation radicale de l’antisémitisme des autres formes de racisme. Il s'agissait de banaliser l'idée qu'il y avait un racisme supérieur aux autres, une logique contreproductive puisqu'elle donne l’impression chez les Français que l’attention portée à la communauté juive est excessive. Comment ne pas ressentir un sentiment d'injustice quand les agressions antijuives suscitent une levée de boucliers de toute la classe politique et médiatique, qui tarde à se mobiliser lorsque les victimes sont des Arabes, des Asiatiques, des Blancs, des musulmans ou des Noirs.

Enfin, ce rapport devait criminaliser toute critique de la politique du gouvernement israélien. Le rapporteur n'hésitant pas à assimiler l'antisionisme radical à une nouvelle forme d'antisémitisme. Voilà comment ont été jetés les bases juridiques de ce qui allait devenir le délit d'opinion pour critique de l'État juif.

Alors que l'état s'activait pour faire taire toute véhémence anti-israélienne dans l'opinion publique, un fait-divers ébranlait la ville paisible d'Épinay. Un individu de type nord-africain poignardait un étudiant sortant d'une école religieuse juive d'Épinay en criant "Allah Akbar .". L'émotion, qui est considérable, est relayée par les autorités politiques et religieuses. Les médias parlent d'une « France blessée », le journal LE MONDE surenchère : « cela se passe en France. En Europe. Dans ce pays, sur ce continent où les Juifs furent stigmatisés, persécutés, exterminés. L'antisémitisme a franchi une nouvelle étape. » Le fait-divers se transforme en affaire d'État et mobilise tous les moyens de la nation. Pourtant, un Arabe, un Haïtien, un Guinéen et un Portugais subiront le même type d'attaque avec une arme blanche. L'auteur interpellé, soupçonné de neuf agressions ou tentatives d'agression à Épinay, était connu pour avoir effectué plusieurs séjours en psychiatrie.

Quelques jours plus tard, une jeune femme affirmait avoir été agressée par quatre Maghrébins et deux noirs dans le RER D. Villipendée pour ses origines juives, les agresseurs coupent les cheveux de la victime au couteau, lacèrent son tee-shirt et son pantalon, tracent au feutre trois croix gammées sur son ventre, avant de s'éclipser en renversant la poussette où dort son bébé. Nouvel émoi national et même scénario que pour l'affaire d'Épinay, c'est toute la machine étatique et médiatique qui se met en branle pour porter assistance à la pauvre juive martyrisée. Hommage national du président Chirac et mobilisation de toutes les associations antiracistes. Il apparaîtra en réalité que la « victime » avait fabulé et inventée de toutes pièces son agression.

Dans le même mois de l'année 2004, le centre social juif qui est situé rue Popincourt dans le 11ème arrondissement de Paris est incendié. Les murs du bâtiment sont tagués avec des croix gammées et des inscriptions antisémites « sans les Juifs, le monde est heureux », « mort aux Juifs ».

Le retentissement médiatique et politique de l'affaire va obliger le ministre des affaires étrangères israélien de l'époque, Sylvan Shalom, à se rendre sur place en dénonçant l'infamie qui doit connaître une réponse judiciaire exemplaire. Le CRIF emboite le pas au ministre israélien : « il ne peut pas y avoir de doute sur les motivations stupides et criminelles de ceux qui brûlent un restaurant du cœur en inscrivant des graffitis antisémites. C'est bien la haine des Juifs qui les anime ».

Seules voix discordantes dans ce magma d'accusation d'antisémitisme, les deux principaux syndicats de magistrats français dénoncent la précipitation et appelent à plus de reserves. Ils seront taxés de « laxistes » et de complices par certains groupes extrémistes juifs. Pourtant, l'histoire leur donna raison puisqu'un employé âgé de 52 ans et de confession juive, Raphaël Benmoha, avouera aux policiers avoir délibérément incendié le centre juif pour se venger de son expulsion.

La France n'est pas la seule à faire les frais de ces fausses affaires d'antisémitisme, le phénomène semble connaitre une ampleur mondiale.

Une jeune Allemande de 18 ans, Rebecca K., avait affirmé que quatre hommes l’avaient agressée dans la ville de Mittweida. Ils avaient taillé un svastika au couteau sur sa cuisse parce qu'elle était intervenue pour aider un enfant immigré maltraité par des skinheads. Là aussi, ses origines juives avaient été mises en avant par la presse et la classe politique qui lui décernèrent, via une association, une récompense pour « courage citoyen ». Peu de temps après, la supercherie était dévoilée et il s'agissait d'une nouvelle affaire de faux antisémitisme.

Une étudiante juive de GW University, à Washington, aux États-Unis, a peint sur sa propre porte, un swastika pour faire croire qu’elle était victime d’antisémitisme dans son campus. Elle fut rapidement confondue par les enquêteurs qui n'avaient pas été appatés par le caractère antisémite de l'affaire.

Il arrive parfois que ces affaires de faux antisémitisme revêtent un caractère politique. Ce fut le cas dans l'affaire de l'attentat contre la synagogue « Tiféret Israël » de Caracas au Venezuela. Les relations entre le grand Hugo Chavez et l'État hébreu s'étaient dangereusement dégradées au point de frôler la crise diplomatique en raison du supposé antisémitisme du leader vénézuélien.

Évidemment, la profanation d'une synagogue en pleine crise diplomatique tombait à point nommée pour les détracteurs de Chavez. La synagogue de Caracas avait subi des actes de vandalisme et des inscriptions haineuses et antisémites étaient visibles sur les murs de la synagogue. Le fichier informatique des membres de la communauté avait été volé laissant pressentir des attaques contre les fidèles de la synagogue. Peu de temps après, les autorités de Caracas interpellaient l'ancien garde du corps du Rabbin ainsi que des employés du lieu de culte qui avaient perpétré cette fausse agression antisémite.

Malheureusement, le phénomène des fausses attaques antisémites prend des proportions inquiétantes en France. On peut penser que tout cela s'inscrit dans une politique de victimisation à outrance et de culpabilisation du peuple français en raison de la collaboration avec le régime nazi.

Deux jeunes gens âgés de 18 ans, d'origine maghrébine, au casier judiciaire vierge sont interpellés dans un centre de recrutement militaire à Lyon. Ils avaient l’intention de s’engager dans l’armée française mais auraient commis une agression antisémite à bord d'un TGV. Le jeune Lior, scolarisé en 1re ES au lycée juif Ozar Hatorah de Toulouse, et son frère auraient été battus par les deux jeunes maghrébins en raison de leurs origines juives. Là encore, emballement médiatique et déclarations des politiques qui fusent dans tous les plateaux de télé. Manuel Valls, ministre de l'Intérieur de l'époque, déclarera : « Je suis déterminé à combattre toutes les résurgences de ce mal profond qu'est l'antisémitisme qui est une offense aux valeurs et à l'histoire de notre République ».


Le moulin à accusations s'emballe au sein de la LICRA, du CRIF et des responsables juifs de France : « cette agression est un attentat de plus contre la citoyenneté française, contre le pacte fondamental citoyen » (Me Simon Cohen, l’avocat des victimes de la tuerie à l’école Ozar-Hatorah), « Nous sommes face à une jeune génération qui a pour culture l’antisémitisme » (Nicole Yardeni, élue), « cet antisémitisme permanent fait partie de l’éducation de certains » (Me Alain Jakubowicz, Pdt de la LICRA), « personne ne doute au sein de la communauté juive qu'il s'agit d'un acte antisémite. On n'attaque pas quelqu'un sans raison, ou par simplement parce qu'il téléphonait » (Richard Wertenschlag, grand rabbin de Lyon) , « L’acte violent s’installe en France. Il y a une détestation, avec des appels à la haine du juif. Ce que j’espère, c’est que l’on puisse condamner ces deux agresseurs d’une manière lourde, parce que ça servira d’exemple » (Marcel Amsallem, le représentant du CRIF à Lyon).

L'audition des autres passagers du TGV Toulouse-Lyon sera déterminante pour le rétablissement de la vérité puisque les enquêteurs constateront l'absence du caractère antisémite de l'affaire. Le jeune Juif avouant : « J'ai porté un coup de tête car je me sentais menacé ».

Rappelons-nous de la polémique qui a éclaté entre le réalisateur juif Élie Chouraqui et des responsables d'établissements scolaires de Montreuil à la suite de son documentaire diffusé sur Envoyé Spécial de France2. Le sujet traité de l'antisémitisme en milieu scolaire. Les responsables dénonçaient une manipulation préméditée en vue de faire passer leurs élèves comme de véritables antisémites et accusaient le réalisateur d'avoir falsifié la vérité.

Dans la même veine, l'agression antisémite dont avait été victime le réalisateur et cinéaste israélien Yariv Horowitz au festival d'Aubagne. Les organisations juives parleront d'un « lynchage » antisémite en affirmant que le réalisateur israélien aurait été « agressé et battu par un groupe d’individus qui l’ont projeté à terre et lui ont donné des coups de pied juste après la projection de son film ».

Les policiers recevront les déclarations du cinéaste qui affirma avoir eu une altercation avec des jeunes d’Aubagne au sujet d’un mauvais geste, qui n’a rien à voir avec le fait qu’il soit réalisateur, ni même Israélien.

Une jeune fille juive de 13 ans, Kelly F, s'était rendue au commissariat de Pantin pour porter plainte contre 3 hommes du types maghrébins et africains qui l'avaient agressés dans l'escalier du métro église de Pantin avec un cutter en raison de sa religion. Le visionnage des vidéos surveillances fit apparaître une tout autre vérité puisque la jeune fille s'était blessé accidentellement.

Un jeune Juif de 12 ans affirmait avoir été agressé dans le métro parisien alors qu’il attendait le bus qui devait l’emmener à l’école, un autre se disait victime d'une agression antisémite à Nice, il s'agissait d'un différend de voisinage qui avait dérapé, un individu avait dénoncé une agression antisémite à sarcelle après enquête il s'agissait d'un bizutage lié à Halloween.

En 2012, un jeune Juif de Vaulx-en-Velin déposait plainte contre trois personnes qui l'auraient séquestrés en proférant des insultes antisémites à son encontre. Après coup, les enquêteurs constatent que les trois personnes ont des alibis en béton et le jeune avouera avoir inventé l'affaire pour justifier la perte d'argent ayant servi à acheter des drogues.

Alex Moïse, connu pour ses actions contre Dieudonné, et ancien membre de la direction du Likoud pendant 20 ans se rend à la police en prétendant être victime de messages antisémite. Après enquête, les policiers découvrent que ce Juif persécuté s'envoyait lui-même les messages antisémites.

Le rabbin Fahri se présente en sang devant la police, il affirme que des agresseurs criant « Allah Oukbar » lui aurait asséné des coups de couteau. En réalité, il s'était mutilé dans sa synagogue du 11ème arrondissement pour faire croire à une agression antisémite. Plusieurs rabbins adopteront le même comportement en présentant les agresseurs comme de jeunes musulmans ou arabes.


En juin 2008, c'est tout le microcosme politique parisien qui est en émoi après l'agression d'un jeune de 17 ans près du square de la rue Petite dans le 19ème arrondissement de Paris. Le maire de Paris Bertrand Delanoë, la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie évoqueront des « actes inqualifiables ». Trois mois plus tard, le canard enchaîné daté du 17 septembre 2008 diffusait des extraits des procès-verbaux de l’enquête policière : « C’est une histoire de baston, une bataille de cour de récréation » (…) « les jeunes interpellés sont d’ailleurs juifs eux-mêmes » (…) « l'un d'eux avait une kippa lui appartenant dans ses affaires »


Le centre juif Simon Wiesenthal qualifia l'agression d'un jeune juif à Paris comme une « affaire d’État » estimant : « qu'il aurait été normal de faire part de notre inquiétude au ministre de l’Intérieur, mais nous pensons que la racine de la haine antijuive en France est liée à la politique française au Moyen Orient et constitue en conséquence une affaire d’État ».

En réalité, il s'agissait d'un membre du groupuscule « BETAR » qui avait organisé avec ses amis une expédition punitive contre des musulmans. L'affaire ayant pris une mauvaise tournure pour l'un des agresseurs après la fuite de ses acolytes, les policiers comprirent qu'il n'était aucunement question d'une agression antisémite mais d'une action violente vcontre des badauds.

« Il y avait aussi des actions plus musclées, comme la protection des manifestations. On débarquait en scooter, casques sur la tête. On encerclait les opposants à nos idées et, à coups de matraque ou à mains nues, on les tabassait. J’ai participé à plusieurs actions dont la presse a parlé. Aujourd’hui, à cause de ça, je suis sous contrôle judiciaire pour violence en réunion ». (Mickaël Tolédano, ancien membre du Betar)

En 2009, un enseignant d'origine juive s'était spécialisé dans les appels anonymes signalant des départs de feu dans une dizaine d'écoles juives. En 2014, un homme d'origine juive est interpellé pour avoir passé des centaines d'appels anonymes antisémites au lycée juif Ozar Hatorah de Toulouse.

Une des affaires les plus emblématiques de ce phénomène est l'affaire du jeune Rudy F. qui défraya la chronique au point que le président Nicolas Sarkozy en voyage d'état en Israël déclara : « être particulièrement choqué de ce qui est arrivé à un jeune Français, sous prétexte qu’il portait une kippa ».

Présentait par la presse et la communauté juive comme un jeune « timide, frêle et réservé », le jeune Rudy aurait été agréssé par une horde de maghrebins et d'Africains avec un motif simple, la haine des Juifs, l’antisémitisme.

Du PS au FN, l'ennemi était identité. L’antisémitisme des banlieues était soudainement devenu la nouvelle marotte du système. Connu pour son activisme pro-israélien, le jeune Rudy avait été condamné pour « agressions à main armée », loin de l'image du frêle et timide garçon dépeint par le système. Au moment de l'agression, ce modèle de citoyenneté était de nouveau convoqué par la Justice (Appel) après sa condamnation à un an de sursis pour l’agression d’un jeune noir violenté à coups de casque et tombé dans le coma. Les enquêteurs comprendront que toute l'affaire n'était liée qu'à une banale affaire de scooter et que le règlement de comptes entre bandes rivales ne collait pas avec la poussée émotive de la classe politique et des médias.

En 1980, en pleine polémique sur l'affaire de l'attentat de la synagogue de la rue Copernic (trois morts non juifs), les propos tenus par Raymond Barre sont effarants : « le lobby juif est capable de monter des opérations qui sont indignes ».

Emoi, Affabulation, et dénonciation de délit imaginaire antisémite. La France est malade de ces fausses agressions antisémites qui déclenchent des vagues d’indignation dans les milieux médiatiques, politiques et associatifs.

Pourtant, ce sont toujours les mêmes populations (des quartiers populaires) qui sont visées par ces affaires et qui pâtissent d'une mauvaise presse dans la société française. Au regard des accusations portées par les pseudos victimes, il est évident que l'on est face à de l'incitation à la haine. Voilà comment en France, un groupe de gens déterminé a décidé de créer artificiellement de l'antisémitisme pour nous culpabiliser et nous manipuler. Les fausses victimes d'antisémitisme font plus de mal aux Juifs que les vrais antisémites.

Que ce soit en France ou dans le monde, les mensonges et les manipulations ont toujours été des armes de guerre utilisées par le Mossad et les responsables juifs. Le CRIF n'a pas été épargné puisqu'il a du limoger Sammy Ghozlan de ses fonctions de dirigeant de l’institution officielle juive. Président d’une multitude d’officines pro-israéliennes, revendiquant sa collaboration avec le Mossad et vivant lui-même une partie de l’année dans une colonie de Cisjordanie, Ghozlan était un spécialiste des coups tordus. Sa spécialité, en tant que président du mal nommé Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme (BNVCA), consistait à inventer des agressions antisémites qui n’ont jamais eu lieu.

Quand un grand rabbin de France ment sur ses études, ses diplômes et son parcours que doit-on penser des organisations communautaristes juives qui ont fait de l'antisémitisme leur fonds de commerce ?

A tout ça bien sûr, il faut ajouter, les films, les reportages TV EN GRAND NOMBRE (en fait pas un seul jour ne passe sans qu'il n'y ait une emission TV sur les pauvres calimeros, depuis les années 80) et les commémorations politiques de la memoire de l'holocauste qui apparaissent sans cesse comme par miracle à la TV alors qu'Israel, massacre des Palestiniens et commet l'Holocauste permanente sur les Palestiniens depuis plus de 60 ans

Nous ne pouvons plus donner libre-court à ces manipulations et ces mensonges dans notre pays. Se taire, c'est collaborer !
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Pas un jour sans que les SIONNISTES parlent d'eux, comme povr CALIMEROS, en accusant les autres d'être MECHANTS antisémites Empty Re: Pas un jour sans que les SIONNISTES parlent d'eux, comme povr CALIMEROS, en accusant les autres d'être MECHANTS antisémites

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