Les URNES ELECTRONIQUE pour le VOTE, veritables outils de TRICHERIE
Page 1 sur 1
Les URNES ELECTRONIQUE pour le VOTE, veritables outils de TRICHERIE
“Le vote électronique, E vote, et ou URNES ELECTRONIQUES est trop opaque et trop cher, et recule dans bon nombre de démocraties éclairées.
POURQUOI ?
La seconde réelection de BUSH Jr a été en parti permise par les URNES électroniques :
https://www.dailymotion.com/video/x1jizr_vote-electronique-la-fraude-en-imag_tech?start=1#from=embed
Certains disent que le même scénario s'est produit pour l'élection de SARKOZY......qui est un PION de la Politique Américaine des NEO CONS en France.....car plusieurs fois s'étant prononcé pour le NOUVEL ORDRE MONDIAL....aussi...
POURQUOI ?
La seconde réelection de BUSH Jr a été en parti permise par les URNES électroniques :
https://www.dailymotion.com/video/x1jizr_vote-electronique-la-fraude-en-imag_tech?start=1#from=embed
Certains disent que le même scénario s'est produit pour l'élection de SARKOZY......qui est un PION de la Politique Américaine des NEO CONS en France.....car plusieurs fois s'étant prononcé pour le NOUVEL ORDRE MONDIAL....aussi...
Vote electronic donne immenses possibilités de TRICHE
Source : http://www.ecolocitoyen.org/2011/06/hadopi/
Le Vote Electronic donne d'immenses possibilités de TRICHE :
14 juin 2011: La primaire de l’écologie confiée au bras armé de l’HADOPI
Publié le 14 juin 2011 par Hervé Suaudeau
plus de 1000 signatures contre le mode de scrutin choisi
La primaire de l’écologie, qui doit désigner le candidat à la présidentielle d’EELV, se déroulera partiellement sur internet du 15 au 23 juin 2011. C’est la première primaire ouverte en France.
Or, plus de mille personnes, principalement militants d’EELV, viennent de signer la pétition ecolocitoyen.org [1], en ligne depuis quelques jours qui déplore le discrédit jeté par ce « scrutin électronique intrinsèquement opaque et invérifiable ».
Un système opaque géré par une entreprise contestée
L’initiateur [2] de la pétition, Hervé Suaudeau, un adhérent actif d’EELV, dénonce l’opacité du, système : « Non seulement on me confisque mon droit de contrôle de l’élection en la dématérialisant, mais le plus absurde est qu’on m’interdit aussi de me rendre à la cérémonie de mise sous scellé du serveur, cérémonie qui ne sert à rien sauf à tenter de rassurer les électeurs. Ce que les adhérents doivent surtout savoir, c’est qu’en votant par internet ils confieront leur vote à une entreprise choisie par le gouvernement pour servir de bras armé de l’autorité HADOPI et qui a été accusée d’une très mauvaise maîtrise des questions de sécurité informatique ».
Plus qu’un manque de prudence et de discernement : Une atteinte déontologique et éthique majeure
L’entreprise retenue par EELV pour sa primaire coûtant un quart de million d’Euro est Extelia, une filiale de La Poste. C’est la même société qui a été choisie par le ministère de la Culture pour identifier, pour le compte de l’autorité HADOPI, les internautes qui téléchargent illégalement des œuvres [3]. Or Hadopi est une autorité très contestée en matière de libertés publiques par certains candidats à la primaire de l’écologie.
L’initiateur de la pétition rajoute ainsi « Le vote doit être sous le contrôle des électeurs et non d’un tiers qui peut potentiellement avoir des intérêts à ce qu’un candidat perde. Qui trouverait normal de demander à AREVA de servir de tiers de confiance pour départager les candidats qui se seraient prononcés sur le nucléaire? »
Des problèmes de sécurité pour cette cible favorite des anti-Hadopi
Cette entreprise, en charge de la sécurité de la primaire, est devenue en 2009 la cible préférée des hackers anti-HADOPI qui ont révélé des graves problèmes de sécurité et de confidentialité dans les sites qu’elle a installé pour ses clients [4]. Il était même à craindre que les serveurs d’Extelia, puisse être sous le feu d’attaques incessantes.
Comment la sécurité et la confidentialité du vote sont-elles désormais garantie?
Quels sont les éléments de contrôle que possède la direction d’EELV pour savoir si une fraude a été opérée?
Rien NADA.....
http://korben.info/extelia-hadopi.html
Le Vote Electronic donne d'immenses possibilités de TRICHE :
14 juin 2011: La primaire de l’écologie confiée au bras armé de l’HADOPI
Publié le 14 juin 2011 par Hervé Suaudeau
plus de 1000 signatures contre le mode de scrutin choisi
La primaire de l’écologie, qui doit désigner le candidat à la présidentielle d’EELV, se déroulera partiellement sur internet du 15 au 23 juin 2011. C’est la première primaire ouverte en France.
Or, plus de mille personnes, principalement militants d’EELV, viennent de signer la pétition ecolocitoyen.org [1], en ligne depuis quelques jours qui déplore le discrédit jeté par ce « scrutin électronique intrinsèquement opaque et invérifiable ».
Un système opaque géré par une entreprise contestée
L’initiateur [2] de la pétition, Hervé Suaudeau, un adhérent actif d’EELV, dénonce l’opacité du, système : « Non seulement on me confisque mon droit de contrôle de l’élection en la dématérialisant, mais le plus absurde est qu’on m’interdit aussi de me rendre à la cérémonie de mise sous scellé du serveur, cérémonie qui ne sert à rien sauf à tenter de rassurer les électeurs. Ce que les adhérents doivent surtout savoir, c’est qu’en votant par internet ils confieront leur vote à une entreprise choisie par le gouvernement pour servir de bras armé de l’autorité HADOPI et qui a été accusée d’une très mauvaise maîtrise des questions de sécurité informatique ».
Plus qu’un manque de prudence et de discernement : Une atteinte déontologique et éthique majeure
L’entreprise retenue par EELV pour sa primaire coûtant un quart de million d’Euro est Extelia, une filiale de La Poste. C’est la même société qui a été choisie par le ministère de la Culture pour identifier, pour le compte de l’autorité HADOPI, les internautes qui téléchargent illégalement des œuvres [3]. Or Hadopi est une autorité très contestée en matière de libertés publiques par certains candidats à la primaire de l’écologie.
L’initiateur de la pétition rajoute ainsi « Le vote doit être sous le contrôle des électeurs et non d’un tiers qui peut potentiellement avoir des intérêts à ce qu’un candidat perde. Qui trouverait normal de demander à AREVA de servir de tiers de confiance pour départager les candidats qui se seraient prononcés sur le nucléaire? »
Des problèmes de sécurité pour cette cible favorite des anti-Hadopi
Cette entreprise, en charge de la sécurité de la primaire, est devenue en 2009 la cible préférée des hackers anti-HADOPI qui ont révélé des graves problèmes de sécurité et de confidentialité dans les sites qu’elle a installé pour ses clients [4]. Il était même à craindre que les serveurs d’Extelia, puisse être sous le feu d’attaques incessantes.
Comment la sécurité et la confidentialité du vote sont-elles désormais garantie?
Quels sont les éléments de contrôle que possède la direction d’EELV pour savoir si une fraude a été opérée?
Rien NADA.....
http://korben.info/extelia-hadopi.html
Dernière édition par OYABIO le Mer 11 Avr - 4:50, édité 1 fois
voting machine so easy to hack
Source : http://www.voanews.com/english/news/usa/US-Lab-Says-Electronic-Voting-Machines-Easy-to-Hack-132016698.html
video : http://www.voanews.com/templates/widgetDisplay.html?id=132017733&player=article
As the primary election season gains momentum in the United States in early 2012, voters will head to the polls to cast votes for their preferred candidates. About 30 percent of Americans will use electronic voting machines (mostly made in china), all the way through the general election next November. A group of researchers at Argonne National Laboratory outside of Chicago, Illinois have determined that those electronic voting machines can be easily manipulated, casting doubt on their security and effectiveness.
Jon Warner’s full time job at Argonne National Laboratory is testing the security strength of the world’s most sensitive areas.
"We do international nuclear safeguards," said Warner. "We break into real security systems."
His part-time job is changing the course of fictitious elections, on real electronic voting machines that more than a quarter of American voters use.
"These machines are modularly designed, so you have a touch screen, that’s a module, and when I press the touch screen, that sends a signal to the CPU," he said. "Well, the CPU is going to respond back with something. All I did was intercept that communication flow. If I like the vote, fine let it go through. If I don’t, change it."
Warner manipulates voting information on the electronic machines using a small, custom-made remote control device.
If it sounds simple, that’s because it is.
"We believe that a very resourceful 12 to 13-year-old would be able to essentially produce these alien electronics that can hijack the machine," said Roger Johnston.
Roger Johnston heads up Argonne’s Vulnerability Assessment Team.
"I think our view of the voting machines we’ve looked at is that there really isn’t much security thought put into these devices," he said.
Johnston says security concerns are not isolated to the way the machines are made.
"Often the warehouses where these machines are stored have fairly weak security, but almost universally, these machines are transported by third party low bid trucking companies, where there’s no background checks on these individuals," said Johnston. "Often the machines arrive at a polling place and there’s no one to sign for them or to take responsibility for their oversight. So there’s often quite a period of time when these machines could be tampered with."
Johnston’s group tested two different electronic voting machines out of about 12 different models.
"We think that the kind of attacks that we’ve demonstrated on these two machines would probably work on quite a number of other voting machines, but we don’t know that for sure - we simply haven’t had the opportunity to try," he said.
The 2000 presidential election was decided by several hundred manually entered votes in the southern state of Florida. The recount of those votes, and problems in how the ballots were marked, fueled a drive to have more electronic voting machines for the next election.
Johnston says now, the closer the outcome of an election, the greater the role of just one electronic voting machine.
"In the 2008 senatorial race in Minnesota, Al Franken won by 312 votes - that’s one voting machine," he said. "Tampering just a little bit with just one voting machine could potentially have swung that election the other way."
Johnston says the problem is not isolated to the United States. The push for faster calculation of election results worldwide is driving up the demand for electronic voting machines. If those machines are not secure, Johnston says, it could cast doubt on the integrity of the election.
video : http://www.voanews.com/templates/widgetDisplay.html?id=132017733&player=article
As the primary election season gains momentum in the United States in early 2012, voters will head to the polls to cast votes for their preferred candidates. About 30 percent of Americans will use electronic voting machines (mostly made in china), all the way through the general election next November. A group of researchers at Argonne National Laboratory outside of Chicago, Illinois have determined that those electronic voting machines can be easily manipulated, casting doubt on their security and effectiveness.
Jon Warner’s full time job at Argonne National Laboratory is testing the security strength of the world’s most sensitive areas.
"We do international nuclear safeguards," said Warner. "We break into real security systems."
His part-time job is changing the course of fictitious elections, on real electronic voting machines that more than a quarter of American voters use.
"These machines are modularly designed, so you have a touch screen, that’s a module, and when I press the touch screen, that sends a signal to the CPU," he said. "Well, the CPU is going to respond back with something. All I did was intercept that communication flow. If I like the vote, fine let it go through. If I don’t, change it."
Warner manipulates voting information on the electronic machines using a small, custom-made remote control device.
If it sounds simple, that’s because it is.
"We believe that a very resourceful 12 to 13-year-old would be able to essentially produce these alien electronics that can hijack the machine," said Roger Johnston.
Roger Johnston heads up Argonne’s Vulnerability Assessment Team.
"I think our view of the voting machines we’ve looked at is that there really isn’t much security thought put into these devices," he said.
Johnston says security concerns are not isolated to the way the machines are made.
"Often the warehouses where these machines are stored have fairly weak security, but almost universally, these machines are transported by third party low bid trucking companies, where there’s no background checks on these individuals," said Johnston. "Often the machines arrive at a polling place and there’s no one to sign for them or to take responsibility for their oversight. So there’s often quite a period of time when these machines could be tampered with."
Johnston’s group tested two different electronic voting machines out of about 12 different models.
"We think that the kind of attacks that we’ve demonstrated on these two machines would probably work on quite a number of other voting machines, but we don’t know that for sure - we simply haven’t had the opportunity to try," he said.
The 2000 presidential election was decided by several hundred manually entered votes in the southern state of Florida. The recount of those votes, and problems in how the ballots were marked, fueled a drive to have more electronic voting machines for the next election.
Johnston says now, the closer the outcome of an election, the greater the role of just one electronic voting machine.
"In the 2008 senatorial race in Minnesota, Al Franken won by 312 votes - that’s one voting machine," he said. "Tampering just a little bit with just one voting machine could potentially have swung that election the other way."
Johnston says the problem is not isolated to the United States. The push for faster calculation of election results worldwide is driving up the demand for electronic voting machines. If those machines are not secure, Johnston says, it could cast doubt on the integrity of the election.
Sujets similaires
» URNES ELECTRONIQUES ILLEGALES
» DANGER contre la DEMOCRATIE alors REFUSEZ, INTERDISEZ PARTOUT les MACHINES de VOTE ELECTRONIQUE
» 51 outils pour rester INVISIBLE sur INTERNET
» TRICHERIES au vote pour L'INDEPENDANCE de L'ECOSSE
» POLITICHINELS et VERITABLES ENTOURLOUPEURS de première
» DANGER contre la DEMOCRATIE alors REFUSEZ, INTERDISEZ PARTOUT les MACHINES de VOTE ELECTRONIQUE
» 51 outils pour rester INVISIBLE sur INTERNET
» TRICHERIES au vote pour L'INDEPENDANCE de L'ECOSSE
» POLITICHINELS et VERITABLES ENTOURLOUPEURS de première
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum