Les BANKSTERS speculent avec l’argent des PAUVRES
RVELATIONS :: NOUVEL ORDRE MONDIAL pire que L'ANCIEN :: POLITIQUES et TROMPERIES :: CORRUPTION des GRANDS de ce Monde
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Les BANKSTERS speculent avec l’argent des PAUVRES
Source http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/speculations-intolerables-avec-les-83745?utm
Rapiats, Ripoux, Racketteurs, Rupins, Rapaces, etc" !
L’heure a sonné d’entonner l’air des "R" multiples et variés, à l’ère de la Révolte légitime contre "le système bancaire" pour Eric Cantona, doux révolutionnaire ! En ces temps frigorifiques et troubles, la précarité se serre les coudes et les louches au ventre des Restos du Coeur. Le sentiment d’indignation, tripal, enfle et gronde contre la mauvaise réputation des banquiers, spéculateurs et autres systèmes politiques pervers qui les favorisent toujours, goulument !
Ils les servent, se servent, servants serviles se servant les uns des autres, servant l’un et servant l’autre, se servant surtout des personnes ordinaires, servitudes de l’aliénation aux empires de l’argent culte oblige ! Même les plus pauvres et démunis, "puisqu’ils le valent bien", payent de leur misère pour les dettes faramineuses et pour les politiques élitistes, grande-aisance et grand apparat superficiels, les ayant générées. Primes, bonus des traders, stocks options et parachutes dorés en fêtes, quelle joie ça doit être pour eux de péter d’oseille, dans l’R toujours aussi vicié ?
Apparaît ici ce qui s’avère de plus en plus intolérable, comparativement à la débauche de luxe ostentatoire et pipoles sur fond de lagon turquoise, dans les magazines pipeaux ! Chose contre laquelle je pense qu’il serait possible de lutter assez facilement, sans demander nullement à décrocher la lune. Faudrait-il que nous puissions commencer à compter sur des gouvernants réellement solidaires, pour peu qu’ils redescendent sur la planète, un jour de lucidité tout à coup revenue ?
Prenons pour exemple la Banque Postale. Pour ce qui est de notre compte bancaire, elle spécule de toute évidence sur l’argent du RSA, anciennement RMI. Chaque mois, la CAF débloque cet argent le 5, créditant alors les banques réceptrices de la manne sociale, quel que soit le jour de la semaine, dimanche et fériés compris. C’est "automatique" m’a-t-on expliqué. Regardons maintenant d’un peu plus près la manière dont les dates de valeurs servent aux banquiers opportunistes.
La date de versement sur les comptes clients des bénéficiaires des minimas, de plus en plus soucieux , varie entre la nuit du 6 au 7 à celle-du 8 au 9 de chaque mois, pour peu que le 6 soit un samedi ou jour férié. Si le lundi ou le mardi sont fériés, ça peut même repousser la date jusqu’au 10, plus exceptionnellement, mais ça arrive ! Les mois interminables peuvent donc compter jusqu’à "34 à 35 jours" effectifs, avant que l’allocataire des minimas soit en mesure de refaire des courses alimentaires, au minimum vitales. Fréquemment, vers le 20, le compte de la misère en banque est logiquement vidé, après avoir subi ses prélèvements automatiques, soldé ses factures en retard et dépensé le reste en courses hyper-basiques, sans l’once du moindre superflu. La pénible jointure se fait ensuite, à la banque alimentaire, au Resto du Coeur, et autre soupe populaire où défile humilié le cortège grandissant de l’humanité, transie et dévalorisée.
C’est là où les spéculateurs trouvent à se partager "le pain béni" du pauvre, manifestement, grâce au versement les cinq du mois des centaines de millions d’euros que la manne maximale des minimas sociaux représentent pour eux. Ils profitent, bien entendu, d’un système corrompu qui les y autorise, tout à fait légalement ! Pendant ce laps de temps d’éternité pour celui qui attend angoissé sa maigre pitance, leurs traders speedés spéculent sans vergogne avec cet argent là aussi. Les marchés boursiers, ne fermant pas, se gardent bien de humer l’odeur montante de la paupérisation, au cas ou ça sentirait mauvais pour l’immoralité crasse qui préside, il faut bien le dire, à tant de bénéfices en sus ! Comment donc financer leur primes de Noël, a ces pauvres affamés aux dents longues et acérées, chéris des politiciens en adoration complaisante, rampant au pied du capital qu’ils vénèrent tant, sur ce piédestal doré où l’ont statufié ses adeptes béats, non moins amoureusement calculateurs !
A de rares exceptions près, sans doute, ceux là ne savent manifestement pas très bien ce que veux dire "subsister à quatre personnes," comme mon épouse moi-même et nos deux enfants, "avec 1063 euros par mois tout compris (RSA + AL + APL)" , en France ? Ni d’aller boucler la "faim" de mois dévorante à "l’auberge de la misère" et autres "cantines des miséreux" que les coeurs et les bras bénévoles ouvrent aux nécessiteux. J’avais déjà écrit mon expérience sur le sujet, publié aimablement par le journaliste Guy Birenbaum, en octobre 2006. Celui-ci pensait légitimement que ça toucherait bien quelques politiciens, habitués de son blog "NRV" de l’époque. En réalité, rien n’a vraiment changé depuis. Birenbaum, blog a part, a bien ouvert une autre épicerie solidaire ; le salaire du Président de la République a bien été multiplié par trois, la pauvreté n’a diminuée en rien en échange non-équitable de tant de "mérites" savamment anticipés. Je me demande bien s’il est créditée sur son compte à date fixe ?
Ceci dit, avec plus de 20 000 euros par mois, ne plus avoir d’argent pour manger, si le salaire suivant arrive cinq jours "trop tard", serait une bien pitoyable gestion... Même si c’était le cas, soyons rassurés pour les glandes salivaires Élyséennes, les cuisines de l’Elysée font la jointure gastronomique, environ 200 repas, 366 jours sur 365, années bisextiles oblige ! Prix du plateau repas pour les conseillers de l’Elysée, 8 euros, depuis que Nicolas Sarkosy est Président. Avant lui c’était gratuit ! Sacrés Pompon, Gigi, Mimi et Chichi qui s’en sont mis plein la lampe, à l’as ! Par contre en avion présidentiel, les tarifs dorés des repas grimpent en flèche : entre 120 et 160 euros actuellement, pousse horrifié le Cri du Contribuable ! Air Force Gastronomique One, ça douille à haute altitude pour le citoyen terre à terre !
Mais que faire pour contraindre les banquiers à reverser l’argent de la CAF, sans spéculer dessus si opportunément, pendant le temps où ça déborde de forces solidaires, au Resto du coeur débordés . Là aussi, on douille intérieurement, on a d’ailleurs aussi les glandes, tout en salivant ! Mes relevés bancaires sont naturellement la preuve de ce que j’avance, la Banque Postale ne pourra donc pas jurer "ses grands dieux" qu’ils "ne font surtout pas ça". Et les autres banques que font elles donc, chers lecteurs handicapés du portefeuille "a minima" sauce malbouffe industrielle, bourrée de cancérigènes ?
Voici quelques exemples concrets : Novembre 2010, le 6 est un samedi, la Banque postale n’a donc crédité notre CCP que le mardi 9, soit 34 jours comptant le mercredi 7 octobre, date du précédent versement. Ça rapporte combien aux banques l’argent des minimas, durant ce temps ? En juin 2010, c’était un mardi 8, soit 33 jours après le versement de mai. Dans ces cas là, pourquoi donc ne pas faire en sorte de débloquer l’argent le 4 ou le 5 pour que la périodicité soit régulière, 30 ou 31 jours maxi, en obligeant donc le système administratif et bancaire à s’adapter, plutôt qu’à laisser profiter le capital déshumanisé qui s’en fou totalement que vous creviez la dalle, pourvu que lui crève le plafond de la bourse !? Qui peu encore dire que les plus démunis ne sont pas les premiers à faire le plus durement les frais des multiples aspects de la perversion du système ?
Que dire, dès lors, du splendide déni de Madame Christine Lagarde, ministre de l’économie souriante des riches pour les riches, à l’égard du conseil d’Eric Cantona, celui de faire une révolution soft en retirant son argent des banques, le 7 décembre prochain ? Pas un seul mot de sympathie réel pour le grand coeur indéniable de l’acteur, ancien footballeur, mais aussi citoyen engagé bénévolement auprès d’Emaüs, association reconnue d’utilité publique, pour le logement social, défenseurs des pauvres, précaires, démunis, défavorisés et mal logés par millions ! Le déni de l’esprit et de la valeur même de l’action citoyenne, chez madame la Ministre, me semble ici réduit à une histoire n’autorisant plus à valoriser que le "professionnalisme", de ceux qui ont à l’occuper de "leurs seules affaire", c’est à dire les banquiers et spécialistes de la finances, selon elle ! Personne ne devant surtout plus se sentir concerné par l’immoralité dramatique du système bancaire, encore moins celle des politiciens qui le servent, système bancal adulé par les seuls qui en profitent grassement, dans l’élite accrochée aux manettes !
Tout de même, quel est donc ce "professionnalisme", devant lequel nul de devrait avoir à se prosterner, lorsqu’il s’agit de faire fructifier l’argent des minimas pendant que le destinataire fait la queue , entre les jambes, à la banque alimentaire ? Comme ma famille et moi-même se matin 2 décembre ! Voila donc le vilain trouble festivités élitistes, Eric Cantona, cantonné à sa seule profession de "grand footballeur", prié très poliment d’aller se rhabiller en maillot de Manchester United, avec les éléments de langages gouvernementaux bien policés d’avance. Ceci pour que les médias, non moins policés, lorsqu’ils ne sont pas "accusé d’être pédophiles par le président off", fassent docilement le buzz de la contre communication Sarkosienne, offensive !
"Rien d’inquiétant pour le système", prétendument, mais la Ministre de l’économie de marché intervient quand même dans l’espoir de marquer un but ! Elle se veut tellement "rassurante et protectrice" pour "la stabilité du système", de plus en plus bancal, pour ne pas dire bientôt "sur la touche" ! La bouche ministérielle auréolée de miel prétend renvoyer la star en slip dans ses buts ? En guise de déconfiture, le conseil dégoulinant de madame La Ministre de "laisser les professionnels", (de l’esbroufe politicienne habituelle), "faire leur travail", (d’intox) !
Les révélations de WikiLeaks démontrent, s’il était besoin, comment on manipule "professionnellement" les médias depuis l’Élysée, notamment dans l’affaire Clothilde Reiss. Bravo, madame la Ministre, quel tact, quelle diplomatie, mais surtout quelle condescendance, dans la manière de négliger l’humanité pourtant respectable d’un citoyen célèbre et aimé, lui ! Quel professionnalisme politicien, chez vous qui ne suscitez pas tant l’enthousiasme populaire, c’est bien le moins que l’on puisse dire ! "Casse toi Pov’exclu", est-ce donc bien toujours ça la pitance gouvernementale qu’il faudra encore déguster en pleines dents, à n’en plus pouvoir jamais supporter la cuisine politicienne tellement peu ragoutante, ni même voir ses chefs en peinture, pour le reste de l’éternité ?
Nous le savons tous, la caste politique élitiste au pouvoir, sur la brèche et sur la défensive, a pour leitmotiv et pour slogan de "ne jamais avoir de leçon à recevoir de personne" ! Quel terrible aveux, quel affreux et navrant déni de démocratie ! Comment donc arriver à faire entendre à de tels sourds quelques simples conseils de bon sens humaniste, pour une éthique citoyenne revigorée, accompagnée de l’empathie sincère vis à vis des plus démunis à l’approche de Noël ? Hélas, ce monde politique là est passé maître absolu dans sa pratique tellement professionnelle, en effet, de la culture du déni et du dénigrement, assumée par des pouvoirs de plus en plus cyniques ! Surtout devant l’esprit de révolte naturel, reflétant sainement la valeur humaine profonde qui sous-tend l’assourdissant grondement populaire, légitimement ressenti et bien senti, contre les abus élitistes intolérables de rigueur, toujours beaucoup trop largement en vigueur ! N’en déplaise à ceux qui vont nous assurer mordicus avoir "réduit leur train de vie presque devenu austère", dans les hautes sphères de l’hypocrisie virale qu’il font alors passer pour du "courage politique" !
Le 7 décembre 2010, retirons donc résolument des banques ce qui nous appartient de plein droit, librement ! Ne laissons pas faire le "professionnalisme" de Madame la Ministre de la spéculation politicienne hasardeuse, dont les propos ne peuvent que démoraliser, mais surtout et au fond attiser colère et déception grandissante ! Mais restons tout de même constructif et non-violent, à l’instar de la star ! Appuyons se faisant l’idée d’une loi obligeant drastiquement les banquiers, avec leur grands "R", de ne plus jamais spéculer sur les minimas-sociaux ! Ou alors à reverser l’intégralité des intérêts aux bénéficiaires, avec des amendes exorbitantes pour punir les contrevenants au partage équitable ! Pour financer et privilégier la construction du logement social, délaissé par les décennies de laxisme désolant, taxons puissamment au passage les primes des traders et les stocks options des dirigeants richissimes du système bancaire et des entreprises côtées en bourses. Ponctionnons de même largement la spéculation immobilière, mortelle pour l’accès a la propriété d’un nombre croissants de gens obligés de payer des loyers non moins tuants, à la classe des nantis, y compris pour des taudis absolument minables !
Soutenons ainsi Eric Cantona et la fraternité d’Emaüs ! Ravivons au passage l’esprit et la flamme de l’Abbé Pierre ! Redonnons fièrement du souffle à l’action citoyenne libre qui fait tellement peur au élus figés et rigidifiés, bien trop hautains et dédaigneux, lorsqu’il ne sont pas littéralement vulgaire, pour que l’on puisse encore se payer le luxe indécent de les prendre au sérieux ! Is ne nous prennent d’ailleurs jamais au sérieux, non plus ! Nous ne leur devons donc absolument rien ! Utilisons plutôt notre liberté d’expression et nos moyens de communication démocratiques non asservit par les contrôleurs de libertés, surveillés, tel le suggère tranquillement , pacifiquement le célèbre buteur sachant buter droit au but, très professionnellement !
Non pas pour "déstabiliser le système" qui "ne craint rien", affirme non sans provoquer à son tour Madame La Ministre de l’économie de mots chaleureux et réconfortants pour les pauvres et leur défenseurs. Non ! Faisons le pour le grand, pour l’immense, pour l’énorme et simple bonheur, totalement jouissif, de montrer au gouvernement que le petit potentat habituel bien méprisant des politiciens, les personnes ordinaires de plus en plus profondément dégouté d’eux et de leur étroitesse de coeur et d’’esprit manifeste, ont tout à fait le droit, et même le devoir citoyen, en ces temps démocratiques de plus en plus glacials, de s’assoir chaleureusement dessus, vu leur mépris consternant !
A chacun son métier, prévient Madame Lagarde qui ne meurt toujours pas, même après s’être rendu "si professionnelle" pour tenter d’attendrir le révolutionnaire du système en péril ! J’étais professionnellement travailleur social, formé à l’accompagnement des changements d’ordre professionnels. Je ne suis pas sur d’avoir complètement perdu la main, malgré des années de handicap sans pouvoir travailler. Madame la Ministre du balayage professionnel de la valeur de la parole citoyenne, manquant inévitablement de professionnalisme social, m’en voudra-t-elle de faire valoir mes quelques compétences restantes, en terme de conseiller sur ce plan ?
Il faut "laisser faire les professionnels", dit-elle, ne reconnaissant donc même plus de compétences civiques au citoyen de base qui prône pourtant les valeurs égalitaires, libertaires et fraternelles de la République ! Ensuite, elle voudrait qu’on fasse confiance en son "professionnalisme", "les yeux fermés" ? La bonne blague ! Des citoyens aveugles, leur faisant confiance inconditionnellement, voilà l’utopie absurde de ces élus professionnels de l’illusion, devenu bien trop élitistes pour réaliser qu’ils sont bien souvent perçu pour ce qu’ils sont aussi ! C’est à dire de pitoyables impuissants à faire changer le monde en mieux, en beau, en bien et en bon, pour que l’on puisse enfin se sentir respecté, écouté, entendu, et finalement aimés par ces pouvoirs infiniment distants !
Je sais, d’expérience cruelle et infiniment pénible, mais humainement enrichissante au bout du compte, ce qu’est l’injustice de la précarité. Il ne s’agit là que de tenter de lui suggérer sérieusement , entre professionnels sachant très bien de quoi ils parlent, de tout simplement se mettre solidairement à l’écoute des citoyens très légitimement révoltés, désespérés et déçus de tant de trahisons politiciennes récurrentes ! Le véritable professionnalisme demande aussi beaucoup de coeur ! Or, si j’ose évoquer ainsi le paradoxe, ce n’est pas dans la finance la valeur la plus sûre.
Les "grand footballeurs" solidaires devant les injustices inacceptables du système économique monstrueusement inégalitaire, n’auraient-ils pas le professionnalisme du coeur à l’ouvrage, ayant opéré les transferts de compétences dans le domaine social ? Pourquoi en refuser l’idée, sinon que pour mieux la renier en la lui déniant ? Nous sommes des citoyens légitimement en droit de revendiquer une attitude gouvernementale grandement plus saine, plus sérieuse, intellectuellement plus honnête, et un bien plus grand respect pour ceux qui souffrent le plus du déni permanent des politiques, érigée en "savoir être" ! Il s’agirait enfin de favoriser prioritairement le mieux-être de tous, bien avant le petit nombril doré, choyé, léché mais si peu reluisant au fond des gens de la finance qui se gavent même de la pauvreté !
Il s’agirait là d’un changement de paradigme, une aide morale indéniable, humaine et précieuse, pour ne pas dire de plus en plus indispensable et très attendues de la part des dirigeants politiques. Que l’on sentent enfin et réellement leur coeurs d’êtres humains, leur authenticité et non leur semblant d’être perpétuel ! A défaut pour eux d’être en mesure de créer de l’emploi et de mieux soutenir financièrement les plus démunis, puisqu’ils ont échoués magistralement sur ces plans là, malgré les sempiternelles promesses électorales sans autre but, ni lendemain plus heureux que de se faire élire ! D’ailleurs la soupe est fantastique à l’Elysée ! Ils rempilent tous, pour la fracture sociale si savoureuse, pour la rupture tellement délicieuse, puisque pour eux seuls "tout devient possible" ! Dans ce cas, ils devraient pouvoir inviter quelques précaires chaque jour que l’élu fait à l’Elysée, pour partager ripaille de Noël, dindons, farces et grands pinards divin, premiers crus classés qui coûtent aussi des fortunes inestimables aux contribuables !
Et si les banquiers et les spéculateurs, gavés jusqu’à la moelle comme des canards gras, pouvaient enfin faire quelque chose d’honnête et de bienveillant, pour montrer enfin leur esprit de solidarité, "oh, miracle de Noël" ! Ça ne pourrait que redonner un "R" neuf à leur réputation non surfaite d’avaRicieux et de Rapaces ! Espérons donc que de soit l’R de la Reconnaissance de leur comportements indigne, enfin Remisés aux coffres inviolables ! Ah, que ça fait du bien de dire tout ce que l’on à à dire, au pays de la liberté d’expression, surtout lorsque c’est notre seule richesse !
Source http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/speculations-intolerables-avec-les-83745?utm
Ceci rend encore plus valable de participer à la REVOLUTION CANTONA, en allant en masse tous les 7 du mois retirer notre ARGENT des BANQUES : http://www.lejdd.fr/Societe/Actualite/Eric-Cantona-lance-un-appel-a-la-revolution-bancaire-le-7-decembre-et-est-suivi-par-pres-de-50.000-internautes-sur-Facebook-237907/
Comprenez comment vous vous faites sans cesse niquer par les BANKSTERS : http://www.michaeljournal.org/ilenauf.htm
et pourquoi tout cela ne repose sur ABSOLUMENT rien de rien, à par du VENT, des FAUSSES PROMESSE et de L'ILLUSION, http://video.google.com/videoplay?docid=6905682498354316268# où l'Homme tellement stupide qui à fait cela, n'en a même pas fait pour tout le monde....afin que quelques uns seulement paradent, et que d'autres souffrent pour RIEN finalement....C'est la PREUVE ici que les misères et les maux ne viennent pas du DIVIN, et encore moins est votre faute, parce que vous ne travaillez pas.....car même en travaillant, vous n'accéderez jamais à très très haut niveau de FINANCE sans perdre beaucoup de vos vraies valeurs, sang, forces et précieuse énergie de Vie....surtout si vous ne faites pas partie de leur SERAIL....
Rapiats, Ripoux, Racketteurs, Rupins, Rapaces, etc" !
L’heure a sonné d’entonner l’air des "R" multiples et variés, à l’ère de la Révolte légitime contre "le système bancaire" pour Eric Cantona, doux révolutionnaire ! En ces temps frigorifiques et troubles, la précarité se serre les coudes et les louches au ventre des Restos du Coeur. Le sentiment d’indignation, tripal, enfle et gronde contre la mauvaise réputation des banquiers, spéculateurs et autres systèmes politiques pervers qui les favorisent toujours, goulument !
Ils les servent, se servent, servants serviles se servant les uns des autres, servant l’un et servant l’autre, se servant surtout des personnes ordinaires, servitudes de l’aliénation aux empires de l’argent culte oblige ! Même les plus pauvres et démunis, "puisqu’ils le valent bien", payent de leur misère pour les dettes faramineuses et pour les politiques élitistes, grande-aisance et grand apparat superficiels, les ayant générées. Primes, bonus des traders, stocks options et parachutes dorés en fêtes, quelle joie ça doit être pour eux de péter d’oseille, dans l’R toujours aussi vicié ?
Apparaît ici ce qui s’avère de plus en plus intolérable, comparativement à la débauche de luxe ostentatoire et pipoles sur fond de lagon turquoise, dans les magazines pipeaux ! Chose contre laquelle je pense qu’il serait possible de lutter assez facilement, sans demander nullement à décrocher la lune. Faudrait-il que nous puissions commencer à compter sur des gouvernants réellement solidaires, pour peu qu’ils redescendent sur la planète, un jour de lucidité tout à coup revenue ?
Prenons pour exemple la Banque Postale. Pour ce qui est de notre compte bancaire, elle spécule de toute évidence sur l’argent du RSA, anciennement RMI. Chaque mois, la CAF débloque cet argent le 5, créditant alors les banques réceptrices de la manne sociale, quel que soit le jour de la semaine, dimanche et fériés compris. C’est "automatique" m’a-t-on expliqué. Regardons maintenant d’un peu plus près la manière dont les dates de valeurs servent aux banquiers opportunistes.
La date de versement sur les comptes clients des bénéficiaires des minimas, de plus en plus soucieux , varie entre la nuit du 6 au 7 à celle-du 8 au 9 de chaque mois, pour peu que le 6 soit un samedi ou jour férié. Si le lundi ou le mardi sont fériés, ça peut même repousser la date jusqu’au 10, plus exceptionnellement, mais ça arrive ! Les mois interminables peuvent donc compter jusqu’à "34 à 35 jours" effectifs, avant que l’allocataire des minimas soit en mesure de refaire des courses alimentaires, au minimum vitales. Fréquemment, vers le 20, le compte de la misère en banque est logiquement vidé, après avoir subi ses prélèvements automatiques, soldé ses factures en retard et dépensé le reste en courses hyper-basiques, sans l’once du moindre superflu. La pénible jointure se fait ensuite, à la banque alimentaire, au Resto du Coeur, et autre soupe populaire où défile humilié le cortège grandissant de l’humanité, transie et dévalorisée.
C’est là où les spéculateurs trouvent à se partager "le pain béni" du pauvre, manifestement, grâce au versement les cinq du mois des centaines de millions d’euros que la manne maximale des minimas sociaux représentent pour eux. Ils profitent, bien entendu, d’un système corrompu qui les y autorise, tout à fait légalement ! Pendant ce laps de temps d’éternité pour celui qui attend angoissé sa maigre pitance, leurs traders speedés spéculent sans vergogne avec cet argent là aussi. Les marchés boursiers, ne fermant pas, se gardent bien de humer l’odeur montante de la paupérisation, au cas ou ça sentirait mauvais pour l’immoralité crasse qui préside, il faut bien le dire, à tant de bénéfices en sus ! Comment donc financer leur primes de Noël, a ces pauvres affamés aux dents longues et acérées, chéris des politiciens en adoration complaisante, rampant au pied du capital qu’ils vénèrent tant, sur ce piédestal doré où l’ont statufié ses adeptes béats, non moins amoureusement calculateurs !
A de rares exceptions près, sans doute, ceux là ne savent manifestement pas très bien ce que veux dire "subsister à quatre personnes," comme mon épouse moi-même et nos deux enfants, "avec 1063 euros par mois tout compris (RSA + AL + APL)" , en France ? Ni d’aller boucler la "faim" de mois dévorante à "l’auberge de la misère" et autres "cantines des miséreux" que les coeurs et les bras bénévoles ouvrent aux nécessiteux. J’avais déjà écrit mon expérience sur le sujet, publié aimablement par le journaliste Guy Birenbaum, en octobre 2006. Celui-ci pensait légitimement que ça toucherait bien quelques politiciens, habitués de son blog "NRV" de l’époque. En réalité, rien n’a vraiment changé depuis. Birenbaum, blog a part, a bien ouvert une autre épicerie solidaire ; le salaire du Président de la République a bien été multiplié par trois, la pauvreté n’a diminuée en rien en échange non-équitable de tant de "mérites" savamment anticipés. Je me demande bien s’il est créditée sur son compte à date fixe ?
Ceci dit, avec plus de 20 000 euros par mois, ne plus avoir d’argent pour manger, si le salaire suivant arrive cinq jours "trop tard", serait une bien pitoyable gestion... Même si c’était le cas, soyons rassurés pour les glandes salivaires Élyséennes, les cuisines de l’Elysée font la jointure gastronomique, environ 200 repas, 366 jours sur 365, années bisextiles oblige ! Prix du plateau repas pour les conseillers de l’Elysée, 8 euros, depuis que Nicolas Sarkosy est Président. Avant lui c’était gratuit ! Sacrés Pompon, Gigi, Mimi et Chichi qui s’en sont mis plein la lampe, à l’as ! Par contre en avion présidentiel, les tarifs dorés des repas grimpent en flèche : entre 120 et 160 euros actuellement, pousse horrifié le Cri du Contribuable ! Air Force Gastronomique One, ça douille à haute altitude pour le citoyen terre à terre !
Mais que faire pour contraindre les banquiers à reverser l’argent de la CAF, sans spéculer dessus si opportunément, pendant le temps où ça déborde de forces solidaires, au Resto du coeur débordés . Là aussi, on douille intérieurement, on a d’ailleurs aussi les glandes, tout en salivant ! Mes relevés bancaires sont naturellement la preuve de ce que j’avance, la Banque Postale ne pourra donc pas jurer "ses grands dieux" qu’ils "ne font surtout pas ça". Et les autres banques que font elles donc, chers lecteurs handicapés du portefeuille "a minima" sauce malbouffe industrielle, bourrée de cancérigènes ?
Voici quelques exemples concrets : Novembre 2010, le 6 est un samedi, la Banque postale n’a donc crédité notre CCP que le mardi 9, soit 34 jours comptant le mercredi 7 octobre, date du précédent versement. Ça rapporte combien aux banques l’argent des minimas, durant ce temps ? En juin 2010, c’était un mardi 8, soit 33 jours après le versement de mai. Dans ces cas là, pourquoi donc ne pas faire en sorte de débloquer l’argent le 4 ou le 5 pour que la périodicité soit régulière, 30 ou 31 jours maxi, en obligeant donc le système administratif et bancaire à s’adapter, plutôt qu’à laisser profiter le capital déshumanisé qui s’en fou totalement que vous creviez la dalle, pourvu que lui crève le plafond de la bourse !? Qui peu encore dire que les plus démunis ne sont pas les premiers à faire le plus durement les frais des multiples aspects de la perversion du système ?
Que dire, dès lors, du splendide déni de Madame Christine Lagarde, ministre de l’économie souriante des riches pour les riches, à l’égard du conseil d’Eric Cantona, celui de faire une révolution soft en retirant son argent des banques, le 7 décembre prochain ? Pas un seul mot de sympathie réel pour le grand coeur indéniable de l’acteur, ancien footballeur, mais aussi citoyen engagé bénévolement auprès d’Emaüs, association reconnue d’utilité publique, pour le logement social, défenseurs des pauvres, précaires, démunis, défavorisés et mal logés par millions ! Le déni de l’esprit et de la valeur même de l’action citoyenne, chez madame la Ministre, me semble ici réduit à une histoire n’autorisant plus à valoriser que le "professionnalisme", de ceux qui ont à l’occuper de "leurs seules affaire", c’est à dire les banquiers et spécialistes de la finances, selon elle ! Personne ne devant surtout plus se sentir concerné par l’immoralité dramatique du système bancaire, encore moins celle des politiciens qui le servent, système bancal adulé par les seuls qui en profitent grassement, dans l’élite accrochée aux manettes !
Tout de même, quel est donc ce "professionnalisme", devant lequel nul de devrait avoir à se prosterner, lorsqu’il s’agit de faire fructifier l’argent des minimas pendant que le destinataire fait la queue , entre les jambes, à la banque alimentaire ? Comme ma famille et moi-même se matin 2 décembre ! Voila donc le vilain trouble festivités élitistes, Eric Cantona, cantonné à sa seule profession de "grand footballeur", prié très poliment d’aller se rhabiller en maillot de Manchester United, avec les éléments de langages gouvernementaux bien policés d’avance. Ceci pour que les médias, non moins policés, lorsqu’ils ne sont pas "accusé d’être pédophiles par le président off", fassent docilement le buzz de la contre communication Sarkosienne, offensive !
"Rien d’inquiétant pour le système", prétendument, mais la Ministre de l’économie de marché intervient quand même dans l’espoir de marquer un but ! Elle se veut tellement "rassurante et protectrice" pour "la stabilité du système", de plus en plus bancal, pour ne pas dire bientôt "sur la touche" ! La bouche ministérielle auréolée de miel prétend renvoyer la star en slip dans ses buts ? En guise de déconfiture, le conseil dégoulinant de madame La Ministre de "laisser les professionnels", (de l’esbroufe politicienne habituelle), "faire leur travail", (d’intox) !
Les révélations de WikiLeaks démontrent, s’il était besoin, comment on manipule "professionnellement" les médias depuis l’Élysée, notamment dans l’affaire Clothilde Reiss. Bravo, madame la Ministre, quel tact, quelle diplomatie, mais surtout quelle condescendance, dans la manière de négliger l’humanité pourtant respectable d’un citoyen célèbre et aimé, lui ! Quel professionnalisme politicien, chez vous qui ne suscitez pas tant l’enthousiasme populaire, c’est bien le moins que l’on puisse dire ! "Casse toi Pov’exclu", est-ce donc bien toujours ça la pitance gouvernementale qu’il faudra encore déguster en pleines dents, à n’en plus pouvoir jamais supporter la cuisine politicienne tellement peu ragoutante, ni même voir ses chefs en peinture, pour le reste de l’éternité ?
Nous le savons tous, la caste politique élitiste au pouvoir, sur la brèche et sur la défensive, a pour leitmotiv et pour slogan de "ne jamais avoir de leçon à recevoir de personne" ! Quel terrible aveux, quel affreux et navrant déni de démocratie ! Comment donc arriver à faire entendre à de tels sourds quelques simples conseils de bon sens humaniste, pour une éthique citoyenne revigorée, accompagnée de l’empathie sincère vis à vis des plus démunis à l’approche de Noël ? Hélas, ce monde politique là est passé maître absolu dans sa pratique tellement professionnelle, en effet, de la culture du déni et du dénigrement, assumée par des pouvoirs de plus en plus cyniques ! Surtout devant l’esprit de révolte naturel, reflétant sainement la valeur humaine profonde qui sous-tend l’assourdissant grondement populaire, légitimement ressenti et bien senti, contre les abus élitistes intolérables de rigueur, toujours beaucoup trop largement en vigueur ! N’en déplaise à ceux qui vont nous assurer mordicus avoir "réduit leur train de vie presque devenu austère", dans les hautes sphères de l’hypocrisie virale qu’il font alors passer pour du "courage politique" !
Le 7 décembre 2010, retirons donc résolument des banques ce qui nous appartient de plein droit, librement ! Ne laissons pas faire le "professionnalisme" de Madame la Ministre de la spéculation politicienne hasardeuse, dont les propos ne peuvent que démoraliser, mais surtout et au fond attiser colère et déception grandissante ! Mais restons tout de même constructif et non-violent, à l’instar de la star ! Appuyons se faisant l’idée d’une loi obligeant drastiquement les banquiers, avec leur grands "R", de ne plus jamais spéculer sur les minimas-sociaux ! Ou alors à reverser l’intégralité des intérêts aux bénéficiaires, avec des amendes exorbitantes pour punir les contrevenants au partage équitable ! Pour financer et privilégier la construction du logement social, délaissé par les décennies de laxisme désolant, taxons puissamment au passage les primes des traders et les stocks options des dirigeants richissimes du système bancaire et des entreprises côtées en bourses. Ponctionnons de même largement la spéculation immobilière, mortelle pour l’accès a la propriété d’un nombre croissants de gens obligés de payer des loyers non moins tuants, à la classe des nantis, y compris pour des taudis absolument minables !
Soutenons ainsi Eric Cantona et la fraternité d’Emaüs ! Ravivons au passage l’esprit et la flamme de l’Abbé Pierre ! Redonnons fièrement du souffle à l’action citoyenne libre qui fait tellement peur au élus figés et rigidifiés, bien trop hautains et dédaigneux, lorsqu’il ne sont pas littéralement vulgaire, pour que l’on puisse encore se payer le luxe indécent de les prendre au sérieux ! Is ne nous prennent d’ailleurs jamais au sérieux, non plus ! Nous ne leur devons donc absolument rien ! Utilisons plutôt notre liberté d’expression et nos moyens de communication démocratiques non asservit par les contrôleurs de libertés, surveillés, tel le suggère tranquillement , pacifiquement le célèbre buteur sachant buter droit au but, très professionnellement !
Non pas pour "déstabiliser le système" qui "ne craint rien", affirme non sans provoquer à son tour Madame La Ministre de l’économie de mots chaleureux et réconfortants pour les pauvres et leur défenseurs. Non ! Faisons le pour le grand, pour l’immense, pour l’énorme et simple bonheur, totalement jouissif, de montrer au gouvernement que le petit potentat habituel bien méprisant des politiciens, les personnes ordinaires de plus en plus profondément dégouté d’eux et de leur étroitesse de coeur et d’’esprit manifeste, ont tout à fait le droit, et même le devoir citoyen, en ces temps démocratiques de plus en plus glacials, de s’assoir chaleureusement dessus, vu leur mépris consternant !
A chacun son métier, prévient Madame Lagarde qui ne meurt toujours pas, même après s’être rendu "si professionnelle" pour tenter d’attendrir le révolutionnaire du système en péril ! J’étais professionnellement travailleur social, formé à l’accompagnement des changements d’ordre professionnels. Je ne suis pas sur d’avoir complètement perdu la main, malgré des années de handicap sans pouvoir travailler. Madame la Ministre du balayage professionnel de la valeur de la parole citoyenne, manquant inévitablement de professionnalisme social, m’en voudra-t-elle de faire valoir mes quelques compétences restantes, en terme de conseiller sur ce plan ?
Il faut "laisser faire les professionnels", dit-elle, ne reconnaissant donc même plus de compétences civiques au citoyen de base qui prône pourtant les valeurs égalitaires, libertaires et fraternelles de la République ! Ensuite, elle voudrait qu’on fasse confiance en son "professionnalisme", "les yeux fermés" ? La bonne blague ! Des citoyens aveugles, leur faisant confiance inconditionnellement, voilà l’utopie absurde de ces élus professionnels de l’illusion, devenu bien trop élitistes pour réaliser qu’ils sont bien souvent perçu pour ce qu’ils sont aussi ! C’est à dire de pitoyables impuissants à faire changer le monde en mieux, en beau, en bien et en bon, pour que l’on puisse enfin se sentir respecté, écouté, entendu, et finalement aimés par ces pouvoirs infiniment distants !
Je sais, d’expérience cruelle et infiniment pénible, mais humainement enrichissante au bout du compte, ce qu’est l’injustice de la précarité. Il ne s’agit là que de tenter de lui suggérer sérieusement , entre professionnels sachant très bien de quoi ils parlent, de tout simplement se mettre solidairement à l’écoute des citoyens très légitimement révoltés, désespérés et déçus de tant de trahisons politiciennes récurrentes ! Le véritable professionnalisme demande aussi beaucoup de coeur ! Or, si j’ose évoquer ainsi le paradoxe, ce n’est pas dans la finance la valeur la plus sûre.
Les "grand footballeurs" solidaires devant les injustices inacceptables du système économique monstrueusement inégalitaire, n’auraient-ils pas le professionnalisme du coeur à l’ouvrage, ayant opéré les transferts de compétences dans le domaine social ? Pourquoi en refuser l’idée, sinon que pour mieux la renier en la lui déniant ? Nous sommes des citoyens légitimement en droit de revendiquer une attitude gouvernementale grandement plus saine, plus sérieuse, intellectuellement plus honnête, et un bien plus grand respect pour ceux qui souffrent le plus du déni permanent des politiques, érigée en "savoir être" ! Il s’agirait enfin de favoriser prioritairement le mieux-être de tous, bien avant le petit nombril doré, choyé, léché mais si peu reluisant au fond des gens de la finance qui se gavent même de la pauvreté !
Il s’agirait là d’un changement de paradigme, une aide morale indéniable, humaine et précieuse, pour ne pas dire de plus en plus indispensable et très attendues de la part des dirigeants politiques. Que l’on sentent enfin et réellement leur coeurs d’êtres humains, leur authenticité et non leur semblant d’être perpétuel ! A défaut pour eux d’être en mesure de créer de l’emploi et de mieux soutenir financièrement les plus démunis, puisqu’ils ont échoués magistralement sur ces plans là, malgré les sempiternelles promesses électorales sans autre but, ni lendemain plus heureux que de se faire élire ! D’ailleurs la soupe est fantastique à l’Elysée ! Ils rempilent tous, pour la fracture sociale si savoureuse, pour la rupture tellement délicieuse, puisque pour eux seuls "tout devient possible" ! Dans ce cas, ils devraient pouvoir inviter quelques précaires chaque jour que l’élu fait à l’Elysée, pour partager ripaille de Noël, dindons, farces et grands pinards divin, premiers crus classés qui coûtent aussi des fortunes inestimables aux contribuables !
Et si les banquiers et les spéculateurs, gavés jusqu’à la moelle comme des canards gras, pouvaient enfin faire quelque chose d’honnête et de bienveillant, pour montrer enfin leur esprit de solidarité, "oh, miracle de Noël" ! Ça ne pourrait que redonner un "R" neuf à leur réputation non surfaite d’avaRicieux et de Rapaces ! Espérons donc que de soit l’R de la Reconnaissance de leur comportements indigne, enfin Remisés aux coffres inviolables ! Ah, que ça fait du bien de dire tout ce que l’on à à dire, au pays de la liberté d’expression, surtout lorsque c’est notre seule richesse !
Source http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/speculations-intolerables-avec-les-83745?utm
Ceci rend encore plus valable de participer à la REVOLUTION CANTONA, en allant en masse tous les 7 du mois retirer notre ARGENT des BANQUES : http://www.lejdd.fr/Societe/Actualite/Eric-Cantona-lance-un-appel-a-la-revolution-bancaire-le-7-decembre-et-est-suivi-par-pres-de-50.000-internautes-sur-Facebook-237907/
Comprenez comment vous vous faites sans cesse niquer par les BANKSTERS : http://www.michaeljournal.org/ilenauf.htm
et pourquoi tout cela ne repose sur ABSOLUMENT rien de rien, à par du VENT, des FAUSSES PROMESSE et de L'ILLUSION, http://video.google.com/videoplay?docid=6905682498354316268# où l'Homme tellement stupide qui à fait cela, n'en a même pas fait pour tout le monde....afin que quelques uns seulement paradent, et que d'autres souffrent pour RIEN finalement....C'est la PREUVE ici que les misères et les maux ne viennent pas du DIVIN, et encore moins est votre faute, parce que vous ne travaillez pas.....car même en travaillant, vous n'accéderez jamais à très très haut niveau de FINANCE sans perdre beaucoup de vos vraies valeurs, sang, forces et précieuse énergie de Vie....surtout si vous ne faites pas partie de leur SERAIL....
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