SOCIALISME FABIEN et NOUVEL ORDRE MONDIAL
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SOCIALISME FABIEN et NOUVEL ORDRE MONDIAL
Le FABIANISME est un Mouvement socialiste anglais qui doit son nom à un club, la Société fabienne, fondée en 1884. Son nom évoque un général romain, Fabius Maximus, dit « Cunctator » (le Temporisateur), qui arrêta les victoires d'Hannibal en Italie tout en esquivant toute bataille frontale. Ce courant est notamment animé par le couple Webb - Sidney (1859-1945) et Béatrice (1858-1943) - et sera constitutif de l'Independant Labour Party. Il préconise une transformation graduelle de la société par des réformes sociales. Non marxiste, adepte du socialisme municipal, pratiquant la pénétration du Parti libéral et préférant tracts et conférences éducatives à l'action révolutionnaire de classe, le fabianisme réunit principalement des intellectuels. H. G. Wells (1866-1946) et George Bernard Shaw (1856-1938) en furent. Le chef de file des marxistes allemands Karl Kautsky (1854-1938) les qualifia de « socialistes bourgeois ». Il n'en eurent pas moins une très grande influence sur le socialisme britannique.
La FABIAN SOCIETY : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fabian_Society
Le FABIANNISME est un SOCIALISME qui n'en est pas vraiment un, et qui FRICOTTE avec le CAPITALISME SAUVAGE du NOUVEL ORDRE MONDIAL à un point tel qu'il est difficile parfois d'en voir des différences : http://www.comprendrelenouvelordremondial.fr/?p=90
Le jeudi 22 février 2007 fera date : pour la première fois dans l’Histoire contemporaine, la Société fabienne a fait irruption en France sous l’appellation d’École d’Économie de Paris.
Elle s’est installée au 48 boulevard Jourdan dans le XIV° arrondissement. Le Figaro précise qu’elle est née « à l’inspiration de la London School of Economics (LES) », elle-même fondée à Londres le 4 janvier 1884 autour d’une dizaine d’écrivains, universitaires et chercheurs, dont les plus connus furent George Bernard Shaw, le couple Webb, Bertrand Russel et bientôt H.G. Wells et Aldous Huxley, personnalités célèbres d’un siècle finissant qui allait déboucher sur la Première Guerre mondiale et les utopies d’un socialisme qui n’empêcherait pas, vingt-cinq ans plus tard, la guerre de 1939-1945.
Par Pierre de Villemarest
À la tête des utopistes se trouvaient la Société fabienne et son École d’Économie. Le Figaro écrit que celle-ci se voulait « progressiste », mais il néglige de rappeler qu’Engels n’appréciait pas « cette clique de socialistes bourgeois » avide de nationaliser les moyens de production, sans un regard sur le sort de la classe ouvrière1. Certes, un demi-siècle plus tard, les socialistes fabiens, qui avaient fait leur nid dans le giron des Travaillistes, allaient s’intéresser à la journée de travail de huit heures et aux assurances vieillesse et maladie comme au chômage.
Il est surprenant de noter que l’inauguration de l’École d’Économie de Paris (dite P.S.E., pour Paris School of Economics) s’est placée sous la présidence de Dominique de Villepin, le Premier ministre de Jacques Chirac, diplômé des Hautes Études Commerciales, mais dont on oublie souvent qu’il est un ancien de la Harvard Business School, ce qui indique une formation internationaliste 2.
Le 22 février 2007, se pressait autour de Villepin l’encadrement de l’École. À savoir : Roger Guesnerie, professeur au Collège de France et désormais président de la P.S.E. ; Daniel Cohen et Antoine d’Autume, vice-présidents de la nouvelle institution ; Thomas Piketty, directeur d’Études qui sera secondé par Philippe Aghion.
Tous ces messieurs appartiennent au Cercle de la Pensée « À gauche et en Europe ». La tendance est donc affichée, sans que le Premier ministre ait montré la moindre réserve à propos de cette implantation en France d’une École, dont on se doit de rappeler les antécédents les plus marquants au cours du précédent siècle.
La question se pose en effet de savoir si ses enseignants en France feront appel à la permanence de la pensée et du militantisme fabiens de 1918 à 1990. Car, durant près d’un siècle, ses dirigeants ont ouvertement salué le collectivisme soviétique. Ils ont même proclamé durant les années 1930 dans leurs brochures et plusieurs ouvrages qu’une « nouvelle civilisation » était née en URSS, et assuré que la Nouvelle Constitution voulue par Staline en 1936 était « la plus démocratique du monde ».
De puissants appuis financiers
Venus de six Instituts de recherche et de quatre des plus grandes Écoles et Universités de France, 350 professeurs sont prêts à prodiguer leur savoir aux élèves de la Paris School of Economics. Le financement de l’opération est à la fois puissant et très étrange. L’État chiraquien s’avance avec vingt millions d’euros, comme s’il s’agissait d’une entreprise française. Or elle ne l’est pas. Elle est européiste (privée) dans le cadre d’un mondialisme qui n’ose pas s’afficher. Un million provient de la multinationale d’assurance AXA ; un million d’EXANE et de son PDg Nicolas Chanut ; autant de la Fondation de droit américain, l’American Foundation, dont le président pour la France est Georges de Ménil, depuis 1978 directeur d’études à l’École normale supérieure.
Ménil est l’héritier de la dynastie industrielle Schlumberger, donc dans le droit fil du mondialisme qu’affichaient les frères Schlumberger, tel Jean qui en mai 1951 dans Le Figaro saluait en éditorial le ralliement au pool Charbon-Acier voulu par Jean Monnet et Felix Stoessinger. « C’est l’amorce, signalait Schlumberger, d’une organisation qui, s’étendant progressivement à toute l’Europe occidentale, peut en faire – à l’image du Commonwealth anglais, de l’Union américaine, de l’Union soviétique et de l’Extrême-Orient sino-japonais – un cinquième groupe ayant en lui-même son propre équilibre. »
Autrement dit, comme Jean Monnet, le comte nippo-autrichien Coudenhove-Kalergi et son mouvement pan-européen, et toute une coterie de politiciens, Jean Schlumberger reprenait la Proposition 592 du Pacte synarchique d’Empire, lequel préconisait d’instaurer dans le monde en gestation dans les années 1920 à 1930 la création de « cinq grandes Fédérations impériales : la Société mineure des nations britanniques ; la Société mineure des nations pan-américaines ; la Société mineure des nations pan-eurasiennes de l’URSS ; la Société mineure des nations eurafricaines ; la Société mineure des nations pan-asiatiques ». « Mais, ajoutait Schlumberger, l’époque n’est pas encore mûre où un Parlement de toutes les nations du globe pourra efficacement dominer les innombrables conflits des intérêts opposés. »
En novembre 1959 cependant, David Rockefeller allait déclarer dans une allocution publique que le moment était venu de « l’unité pan-américaine ». Et les socialistes fabiens d’Angleterre et des États-Unis attendaient, selon leurs vœux exprimés en juin 1940 lorsqu’ils avaient reçu Charles de Gaulle dans leur locaux, de voir se concrétiser sa promesse de décoloniser un jour, à commencer par le Maghreb. Aujourd’hui, un des héritiers Rockefeller se retrouve au chevet du financement de la Paris School of Economics (PSE)….
L’École Normale Supérieure, l’École nationale des Ponts-et-Chaussées, l’Institut national d’Agronomie, l’École des Hautes Études, l’Université Paris I, le CNRS cautionnent l’École du boulevard Jourdan. Iront-ils jusqu’à "cotiser" pour aider la nouvelle entreprise ? L’équivoque demeure. On nous assure que les Ponts-et-Chaussée sont à court d’argent et, de ce fait, doivent vendre certains de leurs biens immobiliers. Un paquet d’euros de ces ventes dérivera-t-il vers la P.S.E (Paris School of Economics). ? On attend de voir.
Un Conseil scientifique de seize personnalités – treize enseignent actuellement à Oxford, Cambridge, Harvard, Princeton – s’aviseront de sélectionner les premiers projets de recherche de la Paris School of Economics P.S.E., laquelle devrait compter près de 700 élèves d’ici deux ou trois ans. Pour le moment l’impulsion vient du cercle de pensée « À gauche et en Europe ».
Son animateur est l’économiste socialiste Dominique Strauss-Kahn, d’abord candidat potentiel aux élections présidentielles, mais qui s’est effacé derrière Ségolène Royal. Il appartient depuis des années à l’organisation à vocation mondialiste, la Trilatérale.
Puisqu’il est question de financement, citons deux éminents et puissants donateurs qui, autrefois, ont dévolu une part de leur fortune à la société fabienne ; sir Ernest Cassel, décédé en 1921, d’origine juive, ami intime du roi Edouard VII et de Winston Churchill. C’est William Beveridge (père de l’actuel service de la Sécurité sociale britannique) qui a révélé l’apport financier de Cassel. Grâce aux chercheurs A. et H. Ontrup, on sait qu’il a permis de rémunérer au moins huit professeurs de la London School of Economics, pendant plusieurs années.
L’autre donateur fut John Rockefeller (1874-1960), dont les cinq fils ont perpétué la tradition familiale. Rien qu’en 1934, un million de dollars de l’époque alla dans les caisses de la L.S.E. London School of Economics
© Pierre de Villemarest – Membre de l’Amicale des anciens des Services spéciaux de la Défense nationale (ASSDN) avec Max Saint John.
27 mars 2007
Source : http://www.nouvelordremondial.cc/2008/07/11/la-societe-fabienne/
La FABIAN SOCIETY : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fabian_Society
Le FABIANNISME est un SOCIALISME qui n'en est pas vraiment un, et qui FRICOTTE avec le CAPITALISME SAUVAGE du NOUVEL ORDRE MONDIAL à un point tel qu'il est difficile parfois d'en voir des différences : http://www.comprendrelenouvelordremondial.fr/?p=90
Le jeudi 22 février 2007 fera date : pour la première fois dans l’Histoire contemporaine, la Société fabienne a fait irruption en France sous l’appellation d’École d’Économie de Paris.
Elle s’est installée au 48 boulevard Jourdan dans le XIV° arrondissement. Le Figaro précise qu’elle est née « à l’inspiration de la London School of Economics (LES) », elle-même fondée à Londres le 4 janvier 1884 autour d’une dizaine d’écrivains, universitaires et chercheurs, dont les plus connus furent George Bernard Shaw, le couple Webb, Bertrand Russel et bientôt H.G. Wells et Aldous Huxley, personnalités célèbres d’un siècle finissant qui allait déboucher sur la Première Guerre mondiale et les utopies d’un socialisme qui n’empêcherait pas, vingt-cinq ans plus tard, la guerre de 1939-1945.
Par Pierre de Villemarest
À la tête des utopistes se trouvaient la Société fabienne et son École d’Économie. Le Figaro écrit que celle-ci se voulait « progressiste », mais il néglige de rappeler qu’Engels n’appréciait pas « cette clique de socialistes bourgeois » avide de nationaliser les moyens de production, sans un regard sur le sort de la classe ouvrière1. Certes, un demi-siècle plus tard, les socialistes fabiens, qui avaient fait leur nid dans le giron des Travaillistes, allaient s’intéresser à la journée de travail de huit heures et aux assurances vieillesse et maladie comme au chômage.
Il est surprenant de noter que l’inauguration de l’École d’Économie de Paris (dite P.S.E., pour Paris School of Economics) s’est placée sous la présidence de Dominique de Villepin, le Premier ministre de Jacques Chirac, diplômé des Hautes Études Commerciales, mais dont on oublie souvent qu’il est un ancien de la Harvard Business School, ce qui indique une formation internationaliste 2.
Le 22 février 2007, se pressait autour de Villepin l’encadrement de l’École. À savoir : Roger Guesnerie, professeur au Collège de France et désormais président de la P.S.E. ; Daniel Cohen et Antoine d’Autume, vice-présidents de la nouvelle institution ; Thomas Piketty, directeur d’Études qui sera secondé par Philippe Aghion.
Tous ces messieurs appartiennent au Cercle de la Pensée « À gauche et en Europe ». La tendance est donc affichée, sans que le Premier ministre ait montré la moindre réserve à propos de cette implantation en France d’une École, dont on se doit de rappeler les antécédents les plus marquants au cours du précédent siècle.
La question se pose en effet de savoir si ses enseignants en France feront appel à la permanence de la pensée et du militantisme fabiens de 1918 à 1990. Car, durant près d’un siècle, ses dirigeants ont ouvertement salué le collectivisme soviétique. Ils ont même proclamé durant les années 1930 dans leurs brochures et plusieurs ouvrages qu’une « nouvelle civilisation » était née en URSS, et assuré que la Nouvelle Constitution voulue par Staline en 1936 était « la plus démocratique du monde ».
De puissants appuis financiers
Venus de six Instituts de recherche et de quatre des plus grandes Écoles et Universités de France, 350 professeurs sont prêts à prodiguer leur savoir aux élèves de la Paris School of Economics. Le financement de l’opération est à la fois puissant et très étrange. L’État chiraquien s’avance avec vingt millions d’euros, comme s’il s’agissait d’une entreprise française. Or elle ne l’est pas. Elle est européiste (privée) dans le cadre d’un mondialisme qui n’ose pas s’afficher. Un million provient de la multinationale d’assurance AXA ; un million d’EXANE et de son PDg Nicolas Chanut ; autant de la Fondation de droit américain, l’American Foundation, dont le président pour la France est Georges de Ménil, depuis 1978 directeur d’études à l’École normale supérieure.
Ménil est l’héritier de la dynastie industrielle Schlumberger, donc dans le droit fil du mondialisme qu’affichaient les frères Schlumberger, tel Jean qui en mai 1951 dans Le Figaro saluait en éditorial le ralliement au pool Charbon-Acier voulu par Jean Monnet et Felix Stoessinger. « C’est l’amorce, signalait Schlumberger, d’une organisation qui, s’étendant progressivement à toute l’Europe occidentale, peut en faire – à l’image du Commonwealth anglais, de l’Union américaine, de l’Union soviétique et de l’Extrême-Orient sino-japonais – un cinquième groupe ayant en lui-même son propre équilibre. »
Autrement dit, comme Jean Monnet, le comte nippo-autrichien Coudenhove-Kalergi et son mouvement pan-européen, et toute une coterie de politiciens, Jean Schlumberger reprenait la Proposition 592 du Pacte synarchique d’Empire, lequel préconisait d’instaurer dans le monde en gestation dans les années 1920 à 1930 la création de « cinq grandes Fédérations impériales : la Société mineure des nations britanniques ; la Société mineure des nations pan-américaines ; la Société mineure des nations pan-eurasiennes de l’URSS ; la Société mineure des nations eurafricaines ; la Société mineure des nations pan-asiatiques ». « Mais, ajoutait Schlumberger, l’époque n’est pas encore mûre où un Parlement de toutes les nations du globe pourra efficacement dominer les innombrables conflits des intérêts opposés. »
En novembre 1959 cependant, David Rockefeller allait déclarer dans une allocution publique que le moment était venu de « l’unité pan-américaine ». Et les socialistes fabiens d’Angleterre et des États-Unis attendaient, selon leurs vœux exprimés en juin 1940 lorsqu’ils avaient reçu Charles de Gaulle dans leur locaux, de voir se concrétiser sa promesse de décoloniser un jour, à commencer par le Maghreb. Aujourd’hui, un des héritiers Rockefeller se retrouve au chevet du financement de la Paris School of Economics (PSE)….
L’École Normale Supérieure, l’École nationale des Ponts-et-Chaussées, l’Institut national d’Agronomie, l’École des Hautes Études, l’Université Paris I, le CNRS cautionnent l’École du boulevard Jourdan. Iront-ils jusqu’à "cotiser" pour aider la nouvelle entreprise ? L’équivoque demeure. On nous assure que les Ponts-et-Chaussée sont à court d’argent et, de ce fait, doivent vendre certains de leurs biens immobiliers. Un paquet d’euros de ces ventes dérivera-t-il vers la P.S.E (Paris School of Economics). ? On attend de voir.
Un Conseil scientifique de seize personnalités – treize enseignent actuellement à Oxford, Cambridge, Harvard, Princeton – s’aviseront de sélectionner les premiers projets de recherche de la Paris School of Economics P.S.E., laquelle devrait compter près de 700 élèves d’ici deux ou trois ans. Pour le moment l’impulsion vient du cercle de pensée « À gauche et en Europe ».
Son animateur est l’économiste socialiste Dominique Strauss-Kahn, d’abord candidat potentiel aux élections présidentielles, mais qui s’est effacé derrière Ségolène Royal. Il appartient depuis des années à l’organisation à vocation mondialiste, la Trilatérale.
Puisqu’il est question de financement, citons deux éminents et puissants donateurs qui, autrefois, ont dévolu une part de leur fortune à la société fabienne ; sir Ernest Cassel, décédé en 1921, d’origine juive, ami intime du roi Edouard VII et de Winston Churchill. C’est William Beveridge (père de l’actuel service de la Sécurité sociale britannique) qui a révélé l’apport financier de Cassel. Grâce aux chercheurs A. et H. Ontrup, on sait qu’il a permis de rémunérer au moins huit professeurs de la London School of Economics, pendant plusieurs années.
L’autre donateur fut John Rockefeller (1874-1960), dont les cinq fils ont perpétué la tradition familiale. Rien qu’en 1934, un million de dollars de l’époque alla dans les caisses de la L.S.E. London School of Economics
© Pierre de Villemarest – Membre de l’Amicale des anciens des Services spéciaux de la Défense nationale (ASSDN) avec Max Saint John.
27 mars 2007
Source : http://www.nouvelordremondial.cc/2008/07/11/la-societe-fabienne/
Dernière édition par OYABIO le Lun 17 Jan - 17:57, édité 1 fois
Re: SOCIALISME FABIEN et NOUVEL ORDRE MONDIAL
On pouvait se douter que le parti socialiste n’avait plus rien de socialiste depuis un moment mais il n’a plus rien de Français non plus ! Voilà donc que nos parlementaires socialistes se trouvent sur la même ligne qu’un DSK qui est de mettre en place au niveau européen une autorité MONDIALE (autre nom du NOUVEL ORDRE MONDIAL) pour contrôler les budgets nationaux!
http://lesouffledivin.wordpress.com/2010/12/03/le-parti-socialiste-nous-vend-aux-liberaux-europeens/
On considère généralement que un des premiers grand think tank (RESERVOIR de REFLEXIONS) http://fr.wikipedia.org/wiki/Think_tank était la Fabian Society, créée à Londres en 1884 pour promouvoir des réformes sociales.....
La frontière reste relativement floue par rapport à un groupe d'intérêt ou de pression, (LOBBIE) un mouvement politique, un cabinet de consultants, une ONG ayant une vocation de synthèse et de proposition ou une « société de pensée » regroupant des élites qui cherchent à conseiller les décideurs politiques....
Un des blason de la FABIAN SOCIETY...un loup déguisé en agneau, au moins ils ne se câchent pas.....dans ce LOGO clair comme de l'eau de source....
et donc pas étonnant que l'on s'y perde un peu dans tout cela : http://www.nous-les-dieux.org/Histoire_du_%C2%AB_Nouvel_Ordre_Mondial_%C2%BB
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