MEDICAMENTS DANGEREUX, voir très DANGEREUX
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MEDICAMENTS DANGEREUX, voir très DANGEREUX
Le quinium, (alcaloïde du quinquina, ou plus précis : extrait alcoolique des quinquinas par la chaux) que l'on retrouve dans des médicaments censé combattre le paludisme, la malaria, http://fr.wikipedia.org/wiki/Paludisme aurait des effets secondaires plutôt dangereux, qui provoquent des troubles graves psychiatriques, comme le révèle la série TV New York Unité Speciale (Law & Order: Special Victims Unit) "" dans l'épisode "" Effets secondaires ""
Bien qu'une fiction, on ne peut pas s'empêcher de penser que DICK WOLF (le scenariste) a essayé de prévenir de quelque chose dans cet épisode là en particulier...surtout quand subrepticement il le lie avec le NOUVEL AGENT ORANGE de Monsanto.....
Alors qu'en est il vraiment ?
http://www.multilingualarchive.com/ma/enwiki/fr/Mefloquine
http://www.esculape.com/infectio/paludisme_trt_ei.html
http://www.hc-sc.gc.ca/dhp-mps/medeff/advisories-avis/public/_2005/lariam_pa-ap-fra.php
On nous a laissé entendre que la méfloquine (qui contient du quinium) avait de graves effets secondaires et qu'elle aurait entraîné un comportement anormal et violent chez certains membres des Forces canadiennes en Somalie.....'insomnies,rêves angoissants ou cauchemars (que les soldats appelaient des << meflomares >> nouveau mots forgé avec une moitié du nom du medicament et nightmare en anglais qui veut dire cauchemars) après avoir pris de la méfloquine. Ils sont classés dans les effets secondaires mineurs, mais y en a des majeurs, bien plus grâves, symptômes neuropsychiques graves bien que rares, car se manifestant chez un usager sur 10 000 ou 13 000 environ.
La méfloquine a aussi été administrée aux soldats américains, bien qu'à des doses plus faibles. Nous ne pouvons toutefois déterminer si le MDN a pris les précautions voulues pour que la méfloquine ne soit pas administrée aux personnes souffrant de troubles psychiques graves, car on savait depuis 1992 qu'il n'était pas indiqué de prescrire la méfloquine aux individus ainsi affectés.
la méfloquine pouvait interagir avec l'alcool de maniere a provoquer des comportements anormaux (Paranoia, suicides, crimes,etc) http://www.washingtontimes.com/upi-breaking/20040907-103916-2982r.htm ou à accroître les risques à cet égard, ou encore à aggraver ce comportement.
Des données médicales plus récentes laissent entendre que les effets indésirables graves découlant de l'usage de la méfloquine comme agent prophylactique ne sont pas aussi rares qu'on l'avait pensé au début, mais il y a divergence de vues à ce sujet et il y aurait peut-être lieu de procéder à une enquête plus approfondie.
http://www.dnd.ca/somalia/vol0/v0s23f.htm
Ces medocs anti paludisme qui rendent fou : http://bipotes.leforum.eu/t5903-Lariam-R-Mefloquine-Ce-medicament-antipaludique-qui-rend-fou.htm
dans le livre "vivre avec des hauts et des bas" du dr C. Gay et de J.A. Génermont, ce dernier fait allusion à une prise d'antipaludéen qui déclencha un premier accès maniaque chez lui.
Bref en gros DICK WOLF a puisé l'inspiration de son scenario dans ce que nous disent ces liens là......Y compris l'implication de Donald RUMPSFELD (bien connu des Théoricien du complot au sujet du 11 sept 2001 et de la guerre d'Irak sous le pretexte fallacieux qu'il avait des armes de destruction massives) qui a été contacté par le sénateur Feinstein pour qu'il dilligente une étude approfondie du Lariam, et que RUMPSFELD n'a jamais fait.....
en ANGLAIS http://peacecorpsonline.org/messages/messages/2629/1008129.html
Mais reste sa phrase bizarre (dans l'épisode ci dessus) "" associant le quinium, au nouvel agent orange "" de Monsanto (l'ancien étant très connu durant la guerre du vietnam)....
http://combat-monsanto.org/spip.php?article28
Par contre d'autres MEDICAMENTS, pas forcément avec du QUINIUM, sont très dangereux : 31 médicaments ont été mis en cause pour 1527 actes de violence : crimes, idéation meurtrière, violences sur les personnes, abus sexuel et autres actes de violence commis sur d’autres personnes.
Le médicament le plus incriminé pour de tels effets secondaires est le Champix (tartrate de varénicline), suivi de onze antidépresseurs, six sédatifs / hypnotiques et trois médicaments prescrits dans le TDAH (trouble déficit d’attention avec hyperactivité). Voir plus bas pour la liste.
Les preuves ont été beaucoup plus faibles pour des effets secondaires de violence induits par des antipsychotiques et absentes pour les antiépileptiques, à l’exception d’un seul médicament de cette classe. Les auteurs mettent une telle différence entre le Champix et les antidépresseurs, d’une part, et les autres médicaments ayant des effets indésirables violents, d’autre part, sur le compte de l’impact des premiers sur des neurotransmetteurs : le circuit dopaminergique pour le Champix et celui sérotoninergique pour les antidépresseurs (quantité, libération, durée de présence dans les synapses, recapture...).
Les auteurs, Thomas J Moore, Joseph Glenmullen et Curt D Furberg (de l’Institute for Safe Medication Practices et plusieurs universités), n’ont aucun conflit d’intérêt et l’étude n’a pas eu de financement industriel.
Champix, champion toutes catégories...
L’effet secondaire qu’est l’idéation suicidaire et les tentatives de suicide a été assez bien étudié, notamment pour les antidépresseurs [et les antiépileptiques – voir article sur Pharmacritique]. Mais pas la violence envers autrui, même si elle a été évoqué dans certains cas et clairement affirmé pour ce qui est du Champix (varénicline), en association avec l’agressivité, les hallucinations, les troubles psychotiques, etc., comme on peut le lire dans le rapport de l’Institute for Safe Medical Practices. Rapport dont j’ai rendu compte sur Pharmacritique dans l’article daté du 25 mai 2008 : « Une étude détaille les effets neurologiques et cardiovasculaire du Champix, médicament d’aide au sevrage tabagique ».
Des réactions de violence grave ont été décrites aussi chez les vétérans de guerre enrôlés dans une étude sur le Champix, ou plutôt servant de cobayes, avec des résultats désastreux (voir cet article sur Pharmacritique) ; des réactions psychiatriques et neuropsychiatriques graves ont été signalés aussi par Santé Canada (agence de sécurité sanitaire, équivalent de notre AFSSAPS ; voir cet article et quelques autres de la catégorie « Tabac, sevrage tabagique, Champix) ».
Voici la liste des médicaments les plus incriminés dans l'article de PLoS One, avec le nombre de cas de violence envers autrui (toutes formes confondues) signalés à la FDA.
Pour faciliter la lecture et rendre l’information accessible à tout le monde, j’ai cherché les noms de marque français, lorsqu'ils existent (l’original ne mentionne que les DCI, la dénomination commune internationale, que la plupart des usagers ne connaissent pas) et les indications principales dans lesquels ils sont utilisés.
Le Champix devance les autres de très loin. (D’ailleurs, dans l’article déjà cité, l’Institue for Safe Medical Practices désignait le Champix comme étant le médicament ayant fait l’objet de la plupart de notifications d’effets secondaires).
Champix (tartrate de varénicline), sevrage tabagique ; 408 cas
Prozac (Fluoxétine), antidépresseur ISRS (inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine) ; 72 cas
Déroxat / Séroxat / Paxil (paroxétine), antidépresseur ISRS ; 177 cas
Amphétamines, 31 cas
Lariam (Méfloquine), antimalaria, prophylaxie du paludisme ; 10 cas
Strattera (Atomoxétine, de la classe des amphétamines), TDAH : hyperactivité ; 50 cas
Halcion (Triazolam, classe des benzodiazépines), somnifère ; 7 cas
Luvox, Floxyfral (Fluvoxamine), antidépresseur, trouble obsessionnel-compulsif) ; 5 cas
Effexor (Venlafaxine), antidépresseur ISRSN (inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline ); 85 cas,
Pristiq (Desvenlafaxine), antidépresseur ISRSN ; 8 cas
Singulair (Montélukast), traitement additif de l’asthme ; 53 cas
Zoloft (Sertraline), antidépresseur ISRS, 64 cas
Stilnox (zolpidem), somnifère ; 48 cas
Seroplex / Siprolex / Lexapro (Escitalopram oxalate), antidépresseur ISRS, trouble panique ; 31 cas
Xyrem (Sodium oxybate, dérivé du GHB), traitement de la narcolepsie ; 6 cas
Seropram (Citalopram), antidépresseur ISRS ; 34 cas
Abilify (Aripiprazole), neuroleptique antipsychotique atypique ; 23 cas
Oxycontin (Oxycodone), opioïde, douleurs intenses, en particulier cancéreuses ; 46 cas
Zyban (Bupropion), antidépresseur ISRSN et dopaminergique utilisé comme aide au sevrage tabagique ; 35 cas
Géodon, Zeldox (Ziprasidone), antipsychotyque atypique, en schizophrénie ; 19 cas
Ritaline (Méthylphénidate, de la classe des amphétamines), TDAH : hyperactivité ; 27 cas
Norset, Remeron (Mirtazapine), antidépresseur tétracyclique (à effet noradrénergique prédominant); 15 cas
Neurontin (Gabapentine), antiépileptique, traitement des douleurs neuropathiques ; 35 cas
Keppra (Lévétiracétam), antiépileptique, aussi en algologie ; 21 cas
Valium (Diazépam), benzodiazépine anxiolytique (tranquilisant), parfois anticonvulsivant ; 11 cas
Xanax (Alprazolam), benzodiazépine anxiolytique, anxiété ; 15 cas
Cymbalta (Duloxétine), antidépresseur ISRSN, dépression, douleurs neuropathiques ; 45 cas
Rivotril (Clonazépam), benzodiazépine : sédatif, hypnotique, anxiolytique et antiépileptique ; 10 cas
Interféron alpha, cytokine, traitement de certains cancers et maladies chroniques (selon les formes) ; 54 cas
Risperdal (Rispéridone), neuroleptique dit "antipsychotique atypique", en schizophrénie ; 29 cas
Seroquel (Quétiapine), neuroleptique dit "antipsychotique atypique", en schizophrénie ; 53 cas
Antiépileptiques et antidépresseurs problématiques, mais largement utilisés aussi en algologie, discipline décrédibilisée par la fraude de Scott Reuben
Pour d’autres effets secondaires de certains médicaments mentionnés ou non dans cette étude, reportez-vous à la liste de catégories à gauche des pages de Pharmacritique. J’aimerais rappeler ici l’avertissement récent de la FDA, inséré dans les RCP (résumé des caractéristiques du produit) portant sur le risque de suicide des médicaments antiépileptiques, dont j’ai rendu compte dans un article en date du 2 février 2008.
Il y a de quoi frémir quand on se rappelle que les antiépileptiques – mais aussi les antidépresseurs - sont largement utilisés aussi en algologie, sans qu’il y ait eu le moindre débat digne de ce nom lorsque la fraude massive de Scott Reuben a été découverte : au moins 21 des 72 études signées ou co-signées par ce médecin qui mangeait à tous les râteliers pharmaceutiques ont été partiellement ou intégralement falsifiées, afin de « démontrer » l’utilité de certains médicaments dans le traitement des douleurs post-opératoires, mais aussi neuropathiques. Cela a été qualifié de « séisme dans l’algologie », avec la possibilité que cette discipline ait été en grande partie faussée par cette fraude et les études et pratiques qui se sont basées là-dessus. Et pourtant, rien n’a changé.
Voir l’article sur Pharmacritique, daté du 13 mars 2009 : « Séisme en algologie et anesthésie : fraude scientifique majeure de Scott Reuben, financé surtout par Pfizer, concernant l’efficacité antalgique de Lyrica, Célébrex, Effexor... »
***
Il faut rappeler aussi l’autre avertissement de la FDA sur les certains effets secondaires des somnifères, tels que comportements compulsifs, incontrôlables, en plus des autres effets indésirables. Donald Light s’étonnait de ne pas voir ce type d’avertissement dans les notices européennes des médicaments, ni discutés dans les media. Le titre de son intervention peut servir de conclusion :
http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2008/07/30/medicaments-dangereux-les-europeens-tenus-dans-l-ignorance.html
Bien qu'une fiction, on ne peut pas s'empêcher de penser que DICK WOLF (le scenariste) a essayé de prévenir de quelque chose dans cet épisode là en particulier...surtout quand subrepticement il le lie avec le NOUVEL AGENT ORANGE de Monsanto.....
Alors qu'en est il vraiment ?
http://www.multilingualarchive.com/ma/enwiki/fr/Mefloquine
http://www.esculape.com/infectio/paludisme_trt_ei.html
http://www.hc-sc.gc.ca/dhp-mps/medeff/advisories-avis/public/_2005/lariam_pa-ap-fra.php
On nous a laissé entendre que la méfloquine (qui contient du quinium) avait de graves effets secondaires et qu'elle aurait entraîné un comportement anormal et violent chez certains membres des Forces canadiennes en Somalie.....'insomnies,rêves angoissants ou cauchemars (que les soldats appelaient des << meflomares >> nouveau mots forgé avec une moitié du nom du medicament et nightmare en anglais qui veut dire cauchemars) après avoir pris de la méfloquine. Ils sont classés dans les effets secondaires mineurs, mais y en a des majeurs, bien plus grâves, symptômes neuropsychiques graves bien que rares, car se manifestant chez un usager sur 10 000 ou 13 000 environ.
La méfloquine a aussi été administrée aux soldats américains, bien qu'à des doses plus faibles. Nous ne pouvons toutefois déterminer si le MDN a pris les précautions voulues pour que la méfloquine ne soit pas administrée aux personnes souffrant de troubles psychiques graves, car on savait depuis 1992 qu'il n'était pas indiqué de prescrire la méfloquine aux individus ainsi affectés.
la méfloquine pouvait interagir avec l'alcool de maniere a provoquer des comportements anormaux (Paranoia, suicides, crimes,etc) http://www.washingtontimes.com/upi-breaking/20040907-103916-2982r.htm ou à accroître les risques à cet égard, ou encore à aggraver ce comportement.
Des données médicales plus récentes laissent entendre que les effets indésirables graves découlant de l'usage de la méfloquine comme agent prophylactique ne sont pas aussi rares qu'on l'avait pensé au début, mais il y a divergence de vues à ce sujet et il y aurait peut-être lieu de procéder à une enquête plus approfondie.
http://www.dnd.ca/somalia/vol0/v0s23f.htm
Ces medocs anti paludisme qui rendent fou : http://bipotes.leforum.eu/t5903-Lariam-R-Mefloquine-Ce-medicament-antipaludique-qui-rend-fou.htm
dans le livre "vivre avec des hauts et des bas" du dr C. Gay et de J.A. Génermont, ce dernier fait allusion à une prise d'antipaludéen qui déclencha un premier accès maniaque chez lui.
Bref en gros DICK WOLF a puisé l'inspiration de son scenario dans ce que nous disent ces liens là......Y compris l'implication de Donald RUMPSFELD (bien connu des Théoricien du complot au sujet du 11 sept 2001 et de la guerre d'Irak sous le pretexte fallacieux qu'il avait des armes de destruction massives) qui a été contacté par le sénateur Feinstein pour qu'il dilligente une étude approfondie du Lariam, et que RUMPSFELD n'a jamais fait.....
en ANGLAIS http://peacecorpsonline.org/messages/messages/2629/1008129.html
Mais reste sa phrase bizarre (dans l'épisode ci dessus) "" associant le quinium, au nouvel agent orange "" de Monsanto (l'ancien étant très connu durant la guerre du vietnam)....
http://combat-monsanto.org/spip.php?article28
Par contre d'autres MEDICAMENTS, pas forcément avec du QUINIUM, sont très dangereux : 31 médicaments ont été mis en cause pour 1527 actes de violence : crimes, idéation meurtrière, violences sur les personnes, abus sexuel et autres actes de violence commis sur d’autres personnes.
Le médicament le plus incriminé pour de tels effets secondaires est le Champix (tartrate de varénicline), suivi de onze antidépresseurs, six sédatifs / hypnotiques et trois médicaments prescrits dans le TDAH (trouble déficit d’attention avec hyperactivité). Voir plus bas pour la liste.
Les preuves ont été beaucoup plus faibles pour des effets secondaires de violence induits par des antipsychotiques et absentes pour les antiépileptiques, à l’exception d’un seul médicament de cette classe. Les auteurs mettent une telle différence entre le Champix et les antidépresseurs, d’une part, et les autres médicaments ayant des effets indésirables violents, d’autre part, sur le compte de l’impact des premiers sur des neurotransmetteurs : le circuit dopaminergique pour le Champix et celui sérotoninergique pour les antidépresseurs (quantité, libération, durée de présence dans les synapses, recapture...).
Les auteurs, Thomas J Moore, Joseph Glenmullen et Curt D Furberg (de l’Institute for Safe Medication Practices et plusieurs universités), n’ont aucun conflit d’intérêt et l’étude n’a pas eu de financement industriel.
Champix, champion toutes catégories...
L’effet secondaire qu’est l’idéation suicidaire et les tentatives de suicide a été assez bien étudié, notamment pour les antidépresseurs [et les antiépileptiques – voir article sur Pharmacritique]. Mais pas la violence envers autrui, même si elle a été évoqué dans certains cas et clairement affirmé pour ce qui est du Champix (varénicline), en association avec l’agressivité, les hallucinations, les troubles psychotiques, etc., comme on peut le lire dans le rapport de l’Institute for Safe Medical Practices. Rapport dont j’ai rendu compte sur Pharmacritique dans l’article daté du 25 mai 2008 : « Une étude détaille les effets neurologiques et cardiovasculaire du Champix, médicament d’aide au sevrage tabagique ».
Des réactions de violence grave ont été décrites aussi chez les vétérans de guerre enrôlés dans une étude sur le Champix, ou plutôt servant de cobayes, avec des résultats désastreux (voir cet article sur Pharmacritique) ; des réactions psychiatriques et neuropsychiatriques graves ont été signalés aussi par Santé Canada (agence de sécurité sanitaire, équivalent de notre AFSSAPS ; voir cet article et quelques autres de la catégorie « Tabac, sevrage tabagique, Champix) ».
Voici la liste des médicaments les plus incriminés dans l'article de PLoS One, avec le nombre de cas de violence envers autrui (toutes formes confondues) signalés à la FDA.
Pour faciliter la lecture et rendre l’information accessible à tout le monde, j’ai cherché les noms de marque français, lorsqu'ils existent (l’original ne mentionne que les DCI, la dénomination commune internationale, que la plupart des usagers ne connaissent pas) et les indications principales dans lesquels ils sont utilisés.
Le Champix devance les autres de très loin. (D’ailleurs, dans l’article déjà cité, l’Institue for Safe Medical Practices désignait le Champix comme étant le médicament ayant fait l’objet de la plupart de notifications d’effets secondaires).
Champix (tartrate de varénicline), sevrage tabagique ; 408 cas
Prozac (Fluoxétine), antidépresseur ISRS (inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine) ; 72 cas
Déroxat / Séroxat / Paxil (paroxétine), antidépresseur ISRS ; 177 cas
Amphétamines, 31 cas
Lariam (Méfloquine), antimalaria, prophylaxie du paludisme ; 10 cas
Strattera (Atomoxétine, de la classe des amphétamines), TDAH : hyperactivité ; 50 cas
Halcion (Triazolam, classe des benzodiazépines), somnifère ; 7 cas
Luvox, Floxyfral (Fluvoxamine), antidépresseur, trouble obsessionnel-compulsif) ; 5 cas
Effexor (Venlafaxine), antidépresseur ISRSN (inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline ); 85 cas,
Pristiq (Desvenlafaxine), antidépresseur ISRSN ; 8 cas
Singulair (Montélukast), traitement additif de l’asthme ; 53 cas
Zoloft (Sertraline), antidépresseur ISRS, 64 cas
Stilnox (zolpidem), somnifère ; 48 cas
Seroplex / Siprolex / Lexapro (Escitalopram oxalate), antidépresseur ISRS, trouble panique ; 31 cas
Xyrem (Sodium oxybate, dérivé du GHB), traitement de la narcolepsie ; 6 cas
Seropram (Citalopram), antidépresseur ISRS ; 34 cas
Abilify (Aripiprazole), neuroleptique antipsychotique atypique ; 23 cas
Oxycontin (Oxycodone), opioïde, douleurs intenses, en particulier cancéreuses ; 46 cas
Zyban (Bupropion), antidépresseur ISRSN et dopaminergique utilisé comme aide au sevrage tabagique ; 35 cas
Géodon, Zeldox (Ziprasidone), antipsychotyque atypique, en schizophrénie ; 19 cas
Ritaline (Méthylphénidate, de la classe des amphétamines), TDAH : hyperactivité ; 27 cas
Norset, Remeron (Mirtazapine), antidépresseur tétracyclique (à effet noradrénergique prédominant); 15 cas
Neurontin (Gabapentine), antiépileptique, traitement des douleurs neuropathiques ; 35 cas
Keppra (Lévétiracétam), antiépileptique, aussi en algologie ; 21 cas
Valium (Diazépam), benzodiazépine anxiolytique (tranquilisant), parfois anticonvulsivant ; 11 cas
Xanax (Alprazolam), benzodiazépine anxiolytique, anxiété ; 15 cas
Cymbalta (Duloxétine), antidépresseur ISRSN, dépression, douleurs neuropathiques ; 45 cas
Rivotril (Clonazépam), benzodiazépine : sédatif, hypnotique, anxiolytique et antiépileptique ; 10 cas
Interféron alpha, cytokine, traitement de certains cancers et maladies chroniques (selon les formes) ; 54 cas
Risperdal (Rispéridone), neuroleptique dit "antipsychotique atypique", en schizophrénie ; 29 cas
Seroquel (Quétiapine), neuroleptique dit "antipsychotique atypique", en schizophrénie ; 53 cas
Antiépileptiques et antidépresseurs problématiques, mais largement utilisés aussi en algologie, discipline décrédibilisée par la fraude de Scott Reuben
Pour d’autres effets secondaires de certains médicaments mentionnés ou non dans cette étude, reportez-vous à la liste de catégories à gauche des pages de Pharmacritique. J’aimerais rappeler ici l’avertissement récent de la FDA, inséré dans les RCP (résumé des caractéristiques du produit) portant sur le risque de suicide des médicaments antiépileptiques, dont j’ai rendu compte dans un article en date du 2 février 2008.
Il y a de quoi frémir quand on se rappelle que les antiépileptiques – mais aussi les antidépresseurs - sont largement utilisés aussi en algologie, sans qu’il y ait eu le moindre débat digne de ce nom lorsque la fraude massive de Scott Reuben a été découverte : au moins 21 des 72 études signées ou co-signées par ce médecin qui mangeait à tous les râteliers pharmaceutiques ont été partiellement ou intégralement falsifiées, afin de « démontrer » l’utilité de certains médicaments dans le traitement des douleurs post-opératoires, mais aussi neuropathiques. Cela a été qualifié de « séisme dans l’algologie », avec la possibilité que cette discipline ait été en grande partie faussée par cette fraude et les études et pratiques qui se sont basées là-dessus. Et pourtant, rien n’a changé.
Voir l’article sur Pharmacritique, daté du 13 mars 2009 : « Séisme en algologie et anesthésie : fraude scientifique majeure de Scott Reuben, financé surtout par Pfizer, concernant l’efficacité antalgique de Lyrica, Célébrex, Effexor... »
***
Il faut rappeler aussi l’autre avertissement de la FDA sur les certains effets secondaires des somnifères, tels que comportements compulsifs, incontrôlables, en plus des autres effets indésirables. Donald Light s’étonnait de ne pas voir ce type d’avertissement dans les notices européennes des médicaments, ni discutés dans les media. Le titre de son intervention peut servir de conclusion :
http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2008/07/30/medicaments-dangereux-les-europeens-tenus-dans-l-ignorance.html
Autres DROGUES très dangereuses
Le PCP : Le PCP
Son surnom : Mess, angel dust, peace pill, fairy dust, cristal.
Son histoire
Son nom scientifique est la phencyclidine. Le PCP est apparu dans les années 1950 où on l’utilisait comme anesthésique pendant les interventions chirurgicales. Parce qu’il causait de l’agitation pendant l’opération et des hallucinations après l’opération, on a cessé de l’utiliser.
Par la suite, on l’a utilisé comme anesthésique et tranquillisant pour les animaux. Aujourd'hui, les vétérinaires ne l'utilisent plus et il n’est fabriqué que dans des laboratoires clandestins.
A-t-on besoin d’en dire plus?
Le PCP
Son Look
On retrouve souvent le PCP sous forme de comprimés, de capsules ou de pâte. En réalité, il a tous les looks puisqu’il est introduit dans un grand nombre de drogues comme l'ecstasy, la mescaline et la kétamine. Il est donc souvent vendu sous d’autres noms.
Sa famille
Le PCP fait partie de la famille des perturbateurs, puisqu’il modifie les sensations et les perceptions qu’on a de la réalité. Il a également quelques propriétés des stimulants et des dépresseurs.
Ses effets
Le PCP est un hallucinogène très puissant qui agit sur tous les sens et dont l’effet dure entre 4 et 6 heures. Il produit une anesthésie générale en réduisant ou éliminant la sensibilité et la perception de la douleur.
SON REVERS DE MÉDAILLE
C’est l’une des drogues les plus dangereuses qui soient, car elle cause des dommages psychologiques et physiques qui peuvent même être irréversibles.
Le PCP altère les réflexes naturels du corps comme les battements du cœur.Il arrive même que, sous l’effet du PCP, le cœur « oublie » de battre. Il peut créer des dégâts irréparables au cerveau, tels que faire perdre la faculté d’uriner et de déféquer normalement.
Le PCP rend agressif et altère la mémoire à moyen et long terme. Il peut engendrer des maladies mentales ou pousser au suicide, lors d’un surdosage ou même d’un usage régulier.
Le problème avec le PCP, c’est qu’il est relativement facile à produire, qu’il n’est pas cher et qu’il est très accessible.
L’autre problème, et non le moindre, c’est qu’il est introduit sans que tu le saches dans plusieurs autres drogues. Toute drogue se présentant sous forme de capsule, comprimé ou poudre a fort probablement été coupée avec du PCP - et même le « pusher », malgré ce qu'il prétend, n'a aucun moyen de le savoir -. Ce n’est pas vraiment ce qu’on appelle une bonne nouvelle!
SES ENNEMIS
Comme pour toute drogue, il est dangereux de prendre de l'alcool et toutes autres drogues avec du PCP. Il faut surtout se rappeler que toute combinaison de drogues peut entraîner des complications importantes pouvant même aller jusqu'à la mort!
Sources: Santé et Services Sociaux du Québec- http://www.parlonsdrogue.com/
Une nouvelle drogue qui rend cannibale?
http://blogs.lesinrocks.com/droguesnews/2012/05/29/mais-quelle-est-donc-cette-nouvelle-drogue-qui-rend-cannibale/
Mais quelle est donc cette nouvelle drogue qui rend cannibale?
A Miami ce samedi, la police a dû abattre un homme nu qui était en train de dévorer la tête d’un SDF. Une scène filmée (de très loin rassurez-vous) par une caméra de surveillance du Miami Herald. Malgré plusieurs tentatives de les séparer, l’homme n’aurait pas lâché sa proie avant d’être atteint par plusieurs balles. Avec 75% du visage arraché, la victime serait toujours dans un état critique.
Depuis environ un an, les « sels de bain » http://www.salient-news.com/2011/07/ivory-wave-bath-salts-dangerous-new-drug-still-legal-in-many-states/ (en anglais) défraient en effet la chronique en Amérique. Leur nom vient du Net, où ils sont souvent commercialisés en toute légalité comme engrais ou sels de bains, justement, afin de contourner les lois sur les drogues.
A l’image de la vague de consommation de PCP dans les années 70, on leur attribue toute sorte de phénomènes quasi surnaturels. Le New York Times parlait récemment d’un homme qui se serait jeté sur l’autoroute du haut d’un poteau dans l’Indiana, d’un autre qui aurait poignardé un religieux dans un monastère de Pennsylvanie ou encore d’une femme de Virginie occidentale qui se serait gratté jusqu’à se démembrer…
Apparus depuis environ deux ans sur le marché, ces "" sels de bain "" http://www.politicolnews.com/new-cannibal-drug-synthetic-cocaine-still-sold/ contiennent différentes redoutables substances qui ont généralement en commun d’être des dérivés synthétiques de cathinone, l’un des principes psychoactifs du khat. Outre l’éphédrone ou le MPDV, la plus connue de ces molécules est la méphédrone, une drogue aux effets assez similaire à la cocaïne ou à la MDMA et qui connût un certain succès en Europe en 2009 et 2010 suite à une pénurie d’ecstasy. Elle fut rapidement interdite. En 2010, une vingtaine de décès avaient été directement attribués à la méphédrone par la police et la presse anglaise. Aucun n’a été confirmé par les expertises médico-légales.
Rien de bien convaincant en résumé, personne ne sait pour l(instant et on est dans l’attente des analyses toxicologiques. Ce qui ne signifie pas que le « zombie de Miami » n’avait pas consommé de drogues, mais qu’à ce stade il semble pour le moins prématuré de vouloir attribuer son acte à l’émergence d’une énième nouvelle drogue encore plus dangereuse que les précédentes.....Quoique ???
Mais Y en a d'autres de ces saloperies, ici quelques pistes, sur d'autres drogues, (en ANGLAIS, car quand on tape drogues dangereuses dans google, on tombe sur les idiots qui pensent ENCORE q LE canabis est très dangereux)....
http://www.10tv.com/content/stories/2011/11/17/worthington-drug-turns-skin-to-scales.html
Il s'agit ici de la DROGUE KROKODIL, appelée ainsi parce qu'elle rend la peau d'apparence écailleuse comme celles des crocodiles, elle bouffe littérallement les drogués de l"intérieur "" (drug that eats junkies)
Son nom scientific, c'est la DESOMORPHINE, cette drogue cause des necroses, et des infections instantanées faisant déjà des ravages chez les jeunes en Russie,elle est pas chere, facile à faire et donc se répand très facilement, mais elle est très très vite addictive...comme le crack....Ces ingrédients majeurs sont la codeine,le gazoil, et d'autres produits chimiques dangereux....pour ceux qui ont le malheur d'en prendre, la GANGRENE arrive très vite et les amputations qui vont avec....Beaucoup de drogués meurent dans les 2 à 3 années qui suivent la prise de cette drogue (si on peut appeler ca une drogue ?, moi j'appelle ca du n'importenawouack chimique)...
Mais quelle est donc cette nouvelle drogue qui rend cannibale?
A Miami ce samedi, la police a dû abattre un homme nu qui était en train de dévorer la tête d’un SDF. Une scène filmée (de très loin rassurez-vous) par une caméra de surveillance du Miami Herald. Malgré plusieurs tentatives de les séparer, l’homme n’aurait pas lâché sa proie avant d’être atteint par plusieurs balles. Avec 75% du visage arraché, la victime serait toujours dans un état critique.
Depuis environ un an, les « sels de bain » http://www.salient-news.com/2011/07/ivory-wave-bath-salts-dangerous-new-drug-still-legal-in-many-states/ (en anglais) défraient en effet la chronique en Amérique. Leur nom vient du Net, où ils sont souvent commercialisés en toute légalité comme engrais ou sels de bains, justement, afin de contourner les lois sur les drogues.
A l’image de la vague de consommation de PCP dans les années 70, on leur attribue toute sorte de phénomènes quasi surnaturels. Le New York Times parlait récemment d’un homme qui se serait jeté sur l’autoroute du haut d’un poteau dans l’Indiana, d’un autre qui aurait poignardé un religieux dans un monastère de Pennsylvanie ou encore d’une femme de Virginie occidentale qui se serait gratté jusqu’à se démembrer…
Apparus depuis environ deux ans sur le marché, ces "" sels de bain "" http://www.politicolnews.com/new-cannibal-drug-synthetic-cocaine-still-sold/ contiennent différentes redoutables substances qui ont généralement en commun d’être des dérivés synthétiques de cathinone, l’un des principes psychoactifs du khat. Outre l’éphédrone ou le MPDV, la plus connue de ces molécules est la méphédrone, une drogue aux effets assez similaire à la cocaïne ou à la MDMA et qui connût un certain succès en Europe en 2009 et 2010 suite à une pénurie d’ecstasy. Elle fut rapidement interdite. En 2010, une vingtaine de décès avaient été directement attribués à la méphédrone par la police et la presse anglaise. Aucun n’a été confirmé par les expertises médico-légales.
Rien de bien convaincant en résumé, personne ne sait pour l(instant et on est dans l’attente des analyses toxicologiques. Ce qui ne signifie pas que le « zombie de Miami » n’avait pas consommé de drogues, mais qu’à ce stade il semble pour le moins prématuré de vouloir attribuer son acte à l’émergence d’une énième nouvelle drogue encore plus dangereuse que les précédentes.....Quoique ???
Mais Y en a d'autres de ces saloperies, ici quelques pistes, sur d'autres drogues, (en ANGLAIS, car quand on tape drogues dangereuses dans google, on tombe sur les idiots qui pensent ENCORE q LE canabis est très dangereux)....
http://www.10tv.com/content/stories/2011/11/17/worthington-drug-turns-skin-to-scales.html
Il s'agit ici de la DROGUE KROKODIL, appelée ainsi parce qu'elle rend la peau d'apparence écailleuse comme celles des crocodiles, elle bouffe littérallement les drogués de l"intérieur "" (drug that eats junkies)
Son nom scientific, c'est la DESOMORPHINE, cette drogue cause des necroses, et des infections instantanées faisant déjà des ravages chez les jeunes en Russie,elle est pas chere, facile à faire et donc se répand très facilement, mais elle est très très vite addictive...comme le crack....Ces ingrédients majeurs sont la codeine,le gazoil, et d'autres produits chimiques dangereux....pour ceux qui ont le malheur d'en prendre, la GANGRENE arrive très vite et les amputations qui vont avec....Beaucoup de drogués meurent dans les 2 à 3 années qui suivent la prise de cette drogue (si on peut appeler ca une drogue ?, moi j'appelle ca du n'importenawouack chimique)...
Dernière édition par OYABIO le Dim 3 Juin - 17:40, édité 2 fois
autres SALOPERIES de drogues
SALOPERIES de DROGUES à éviter ( en anglais les liens, car j'en ai marre de chercher dans la guimauverie anti canabis des french) :
Spice” or “K2 or spike http://melissamcclain.hubpages.com/hub/Spice-A-Dangerous-New-Drug qui fait gonfler le cerveau, pouvant conduire à de graves lésions
Une autre sorte de Méthamphétamine appelé TIK du Sud d'Afrique https://www.youtube.com/watch?v=ySLoAvfthIU
Cristal Meth : Méthamphétamine http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9thamph%C3%A9tamine en Français
Une autre saloperie le "cheese" mix heroin with Tylenol PM apparu chez d jeunes de 11ans dans une ecole de DALLAS ....C e melange peut etre mortel. tres DANGEREUSE car facile à faire même par un gosse de 12 ans et pas chere
http://abcnews.go.com/blogs/headlines/2006/05/dangerous_new_d/
et sans doute d'autres dont j'ai pas encore connaissance ici à ce moment, donc le post n'est po fini ...
Spice” or “K2 or spike http://melissamcclain.hubpages.com/hub/Spice-A-Dangerous-New-Drug qui fait gonfler le cerveau, pouvant conduire à de graves lésions
Une autre sorte de Méthamphétamine appelé TIK du Sud d'Afrique https://www.youtube.com/watch?v=ySLoAvfthIU
Cristal Meth : Méthamphétamine http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9thamph%C3%A9tamine en Français
Une autre saloperie le "cheese" mix heroin with Tylenol PM apparu chez d jeunes de 11ans dans une ecole de DALLAS ....C e melange peut etre mortel. tres DANGEREUSE car facile à faire même par un gosse de 12 ans et pas chere
http://abcnews.go.com/blogs/headlines/2006/05/dangerous_new_d/
et sans doute d'autres dont j'ai pas encore connaissance ici à ce moment, donc le post n'est po fini ...
Les 56 médicaments dangereux ou inutiles
Les 56 médicaments dangereux ou inutiles
Par figaro iconCyrille Vanlerberghe - le 13/09/2012
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2012/09/13/19043-56-medicaments-dangereux-inutiles
Le livre des professeurs Philippe Even et Bernard Debré accuse 56 médicaments d'être inutiles ou d'avoir des risques biens supérieurs à leurs bénéfices.
Les professeurs de médecine Philippe Even et Bernard Debré, auteurs du Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles et dangereux demandent la suspension immédiate de 56 médicaments commercialisés en France, car ils sont inefficaces, inutiles (quand il existe des traitements plus efficaces ou moins risqués), et voire même dangereux.
Ces 56 produits «sont à retirer dans l'intérêt des malades, sans tenir aucun compte de l'impact industriel ou des chantages à l'emploi», affirme l'ouvrage.
Le laboratoire Servier, touché par le scandale du Mediator, est le plus cité dans cette liste.
Voici la liste des médicaments concernés, classés par domaines.
Cancérologie: Avastin (laboratoire Roche). Ce médicament utilisé contre plusieurs types de cancers est un antiangiogène, qui agit contre les tumeurs en empêchant la croissance de nouveaux vaisseaux sanguins. Plusieurs assurances privées aux États-Unis et le système de santé public britannique refusent de rembourser ce traitement extrêmement coûteux, arguant qu'il ne soigne aucun cancer et ne permet au mieux que d'augmenter de quelques mois l'espérance de vie, avec des effets secondaires sur le système cardiovasculaire qui peuvent être très graves.
Rhumatologie: Protelos (laboratoire Servier). Ce traitement contre l'ostéoporose du groupe Servier fait l'objet d'une procédure de surveillance spéciale de la part des autorités de santé françaises car il est soupçonné d'augmenter le risque d'embolies pulmonaires, avec 8 décès à ce jour.
» LIRE AUSSI -Coup de frein au Protelos de Servier http://sante.lefigaro.fr/actualite/2011/09/21/16319-coup-frein-protelos-servier?position=3&keyword=protelos
Hexaquine et Quinine Vit. C. (lab. Goménol), et Okimus (Biocodex). Ces produits à base de quinine, ancien traitement contre le paludisme désormais obsolète, sont utilisés contre les crampes musculaires, avec une efficacité que les auteurs considèrent comme mauvaise.
Neurologie: Parlodel (Pfizer), Requip (GSK), Tasmar (Meda Pharma): ces médicaments utilisés contre la maladie de Parkinson ont une efficacité que les auteurs qualifient de faible, avec des effets secondaires qui vont de «manifestations d'hypersexualité explosive et dangereuse» à l'addiction au jeu.
Antidépresseurs et psychostimulants: Ritaline (Novartis), Concerta (Janssen-Cilag). Sur ces deux psychostimulants, la prescription de la ritaline pour les troubles de l'attention chez l'enfant est controversée.
» LIRE AUSSI -Hyperactivité: Faut-il prescire des psychotropes? http://sante.lefigaro.fr/actualite/2012/09/05/18990-hyperactivite-faut-il-prescrire-psychotropes?position=4&keyword=ritaline
Tofranil (CSP), Anafranil (Sigma-Tau), Surmontil (Sanofi), Stablon (Servier). D'après le guide, les antidépresseurs présentent des risques importants d'accidents psychiatriques (hallucinations, violences, suicides). (14)
Gynécologie: La liste contient 16 pilules anticonceptionnelles macrodosées ou microdosées de 3e et 4e générations, ou purement progestatives, qui provoquent plus de phlébites et d'embolies pulmonaires que les pilules de 2e génération.
Cérazette, Nuvaring, Cycleane, Mercilon, Varnoline (Schering-Plough), Qlaira, Melodia, Jasmine-Jasminelle, Yaz (Bayer), Evra (Janssen-Cilag), Triafemi, Carlin, Holgyeme (Effik), Felixita (Theramex), Minesse (Wyeth), Belara (Grünenthal).
» LIRE AUSSI -Plus de risques avec les pilules de 3e génération http://sante.lefigaro.fr/actualite/2011/11/07/15507-plus-risques-avec-pilules-3e-generation?position=1&keyword=pilule+3e
Antidiabétiques: Byetta (Lilly), Victoza (Novo Nordisk). Risques importants pour ces deux molécules, qui provoqueraient des «complications multiples».
Galvus et Eucreas (Novartis), Januvia et Janumet (MSD), Xelevia et Velmetia (Pierre Fabre), Trajenta (Boehringer) et Onglyza (Bristol-Myers Squibb). Ces médicaments de la classe des gliptines seraient «sans efficacité», d'après les auteurs.
Cardiovasculaire: Quatre vasodilatateurs coronaires et artériels: Adancor (Serono), Ikorel (Sanofi), Vastarel et Trivastal (Servier). Procoralan (Servier), prescrit contre l'anti-insuffisance cardiaque. Un antiarythmique: Multaq (Sanofi). D'après LeNouvel Observateur qui cite les auteurs: «Les vasodilatateurs, l'anti-insuffisance cardiaque et l'antiarythmique cités sont inutiles et présentent des des complications cardiaques multiples.»
» LIRE AUSSI -Le Multaq de Sanofi ne sera plus remboursé http://sante.lefigaro.fr/actualite/2011/11/16/15820-multaq-sanofi-ne-sera-plus-rembourse?position=1&keyword=multaq
Deux anti-anticoagulant et anti-agrégant: Ticlid (Sanofi), Pradaxa (Boehringer): le guide propose de les remplacer par des molécules plus anciennes, aussi efficaces mais moins dangereuses, comme l'aspirine, le plavix et les héparines.
Antitabac: Champix (Pfizer), Zyban (GSK): les auteurs affirment que ces deux produits n'ont rigoureusement aucun effet positif pour aider les fumeur à arrêter de fumer.
Anti-inflammatoires: Indocid (MSD), Nexen (Therabel), Ketum en pommade (Ménarini), Celebrex (Pfizer), Arcoxia (MSD). Le guide propose de les remplacer par d'autres molécules anti-inflammatoires présentant moins d'effets secondaires. Le Ketum en pommade, utilisé pour traiter entorses et tendinites, pourrait entraîner des brûlures graves en cas d'exposition au soleil.
Stimulant respiratoire: Vectarion (Servier). Selon le Pr Philippe Even, le Vectarion présente «moins d'intérêt qu'une tasse de café, et il est bien plus dangereux».
VOILA voila........ Source http://sante.lefigaro.fr/actualite/2012/09/13/19043-56-medicaments-dangereux-inutiles
Liste des 58 médicaments jugés ''très dangereux''
http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-la-liste-des-medicaments-juges-tres-dangereux--8103.asp?1=1
La liste des 58 médicaments jugés ''très dangereux''
Selon les professeurs Bernard Debré et Philippe Even, dans "Le guide des 4 0000 médicaments utiles, inutiles, ou dangereux", 5 % de nos médicaments sont "à proscrire immédiatement". Voici la liste reprise de ces 58 médicaments jugés "potentiellement très dangereux", parmi lesquels des anti-inflammatoires, des médicaments cardiovasculaires, des contraceptifs, des antidiabétiques...
Médicaments cardiovasculaires
4 vasodilatateurs coronaires et artériels : Adancor® (Derono), Ikorel® (Sanofi), Vastarel® et Trivastal® (Servier)
1 anti-insuffisance cardiaque : Procoralan® (Servier)
1 antiarythmique : Multaq® (Sanofi)
3 anti-coagulants ou antiagrégants : Ticlid® (Sanofi), Pradaxa® (Boehringer) et Xigris® (Lilly)
Pilules anti-conceptionnelles
Cycleane®, Mercilon®, Varnoline® (Schering Prough)
Melodia®, Yaz®, Diane 35®, Jasmine-Jasminelle® (Bayer)
Minesse® (Wyeth)
Felixita® (Theramex)
Carlin®, Triafemi®, Holgyème® (Effik)
Lumalia® (Pierre Fabre)
Evépar® (Mylan)
Minerva® (Biogaran)
Anti-inflammatoires
Indocide® (MSD)
Nexen® (Therabel)
Ketum cutané® (Ménarini)
Celebrex® (Pfizer)
Arcoxia® (MSD)
Antidiabétiques
Byetta® (Lilly) et Victoza® (NovoNordisk)
8 gliptines : Galvus® et Eucreas® (Novartis), Januvia® et Janumet® (MSD), Xenuvia® et Velmétia® (P. Fabre), Trajenta® et Onglyza® (Boehringer)
2 glitazones : Actos® et Competact® (Takeda) suspendues en France mais maintenues par l'Agence européenne.
Anti-parkinsoniens
Celance® (Lilly)
Parlodel® (Pfizer)
Requip® (GSK)
Tasmar® (Mediapharma)
Anti-ostéoporose
Protelos® (Servier)
Médicaments psychiatriques
Ritaline® (Novartis)
Concerta® (Janssen)
Tofranil® (CSP)
Anafranil® (Sigma-Tau)
Surmontil® (Sanofi)
Stablon® (Servier)
Anticrampes musculaires
Hexaquine® et Quinine®-vitamine C (Goménol)
Okimus® (Biocodex)
Stimulant respiratoire
Vectarion® (Servier)
Anti-tabac
Champix® (Pfizer)
Zyban® (GSK)
Anti-angiogènes en cancérologie
Avastin® (Roche)
AVERTISSEMENT: N'arrêtez pas de votre propre chef un traitement en cours. Si vous constatez qu'un des vos médicaments est présent dans cette liste, parlez-en avec votre médecin. Seul lui saura apprécier, en fonction du rapport bénéfice/risque et de votre dossier médical, la nécessité de le poursuivre, de l'arrêter ou de le remplacer.
La liste des 58 médicaments jugés ''très dangereux''
Selon les professeurs Bernard Debré et Philippe Even, dans "Le guide des 4 0000 médicaments utiles, inutiles, ou dangereux", 5 % de nos médicaments sont "à proscrire immédiatement". Voici la liste reprise de ces 58 médicaments jugés "potentiellement très dangereux", parmi lesquels des anti-inflammatoires, des médicaments cardiovasculaires, des contraceptifs, des antidiabétiques...
Médicaments cardiovasculaires
4 vasodilatateurs coronaires et artériels : Adancor® (Derono), Ikorel® (Sanofi), Vastarel® et Trivastal® (Servier)
1 anti-insuffisance cardiaque : Procoralan® (Servier)
1 antiarythmique : Multaq® (Sanofi)
3 anti-coagulants ou antiagrégants : Ticlid® (Sanofi), Pradaxa® (Boehringer) et Xigris® (Lilly)
Pilules anti-conceptionnelles
Cycleane®, Mercilon®, Varnoline® (Schering Prough)
Melodia®, Yaz®, Diane 35®, Jasmine-Jasminelle® (Bayer)
Minesse® (Wyeth)
Felixita® (Theramex)
Carlin®, Triafemi®, Holgyème® (Effik)
Lumalia® (Pierre Fabre)
Evépar® (Mylan)
Minerva® (Biogaran)
Anti-inflammatoires
Indocide® (MSD)
Nexen® (Therabel)
Ketum cutané® (Ménarini)
Celebrex® (Pfizer)
Arcoxia® (MSD)
Antidiabétiques
Byetta® (Lilly) et Victoza® (NovoNordisk)
8 gliptines : Galvus® et Eucreas® (Novartis), Januvia® et Janumet® (MSD), Xenuvia® et Velmétia® (P. Fabre), Trajenta® et Onglyza® (Boehringer)
2 glitazones : Actos® et Competact® (Takeda) suspendues en France mais maintenues par l'Agence européenne.
Anti-parkinsoniens
Celance® (Lilly)
Parlodel® (Pfizer)
Requip® (GSK)
Tasmar® (Mediapharma)
Anti-ostéoporose
Protelos® (Servier)
Médicaments psychiatriques
Ritaline® (Novartis)
Concerta® (Janssen)
Tofranil® (CSP)
Anafranil® (Sigma-Tau)
Surmontil® (Sanofi)
Stablon® (Servier)
Anticrampes musculaires
Hexaquine® et Quinine®-vitamine C (Goménol)
Okimus® (Biocodex)
Stimulant respiratoire
Vectarion® (Servier)
Anti-tabac
Champix® (Pfizer)
Zyban® (GSK)
Anti-angiogènes en cancérologie
Avastin® (Roche)
AVERTISSEMENT: N'arrêtez pas de votre propre chef un traitement en cours. Si vous constatez qu'un des vos médicaments est présent dans cette liste, parlez-en avec votre médecin. Seul lui saura apprécier, en fonction du rapport bénéfice/risque et de votre dossier médical, la nécessité de le poursuivre, de l'arrêter ou de le remplacer.
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