OUI y a d Preuves OGM TOXIC et MORTELS Pr Gilles Eric Séralini
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OUI y a d Preuves OGM TOXIC et MORTELS Pr Gilles Eric Séralini
Pr Gilles Eric Séralini - Président du Conseil Scientifique - Professeur de biologie moléculaire
http://www.criigen.org/SiteFr//index.php?option=com_content&task=view&id=57&Itemid=105
Faisant des recherches en secret et en independant sur les OGM, le pr G E SERALINI et des chercheurs français ont étudié secrètement, pendant deux ans, 200 rats nourris au maïs transgénique. RESULTATS : Tumeurs, pathologies lourdes… une hécatombe. Et une bombe pour l'industrie OGM.
Oui, les OGM sont des poisons !
C’est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology" - une référence en matière de toxicologie alimentaire - en publiant les résultats de l’expérimentation menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen. Une bombe à fragmentation : scientifique, sanitaire, politique et industrielle. Elle pulvérise en effet une vérité officielle : l’innocuité du maïs génétiquement modifié.
Lourdement toxique et souvent mortel
Même à faible dose, l’OGM étudié se révèle lourdement toxique et souvent mortel pour des rats. A tel point que, s’il s’agissait d’un médicament, il devrait être suspendu séance tenante dans l’attente de nouvelles investigations. Car c’est ce même OGM que l’on retrouve dans nos assiettes, à travers la viande, les œufs ou le lait.
En 2006, c’est comme un véritable thriller que commence cette recherche, dont le maître d’œuvre, Gilles-Eric Séralini, divulgue lui-même les conclusions dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine ("Tous cobayes !", Flammarion, en librairie le 26 septembre).
Nom de code In Vivo
Jusqu’en 2011, les chercheurs ont travaillé dans des conditions de quasi-clandestinité. Ils ont crypté leurs courriels comme au Pentagone, se sont interdit toute discussion téléphonique et ont même lancé une étude leurre tant ils craignaient un coup de Jarnac des multinationales de la semence.
Le récit de l’opération – nom de code In Vivo - évoque la très difficile récupération de semences de maïs OGM NK 603, propriété brevetée de Monsanto, par le truchement d’un lycée agricole canadien. Puis la récolte et le rapatriement des "gros sacs de jute" sur le port du Havre fin 2007, avant la fabrication de croquettes dans le secret le plus total et la sélection de deux cents rats de laboratoires dits "Sprague Dawley". Bilan ? Glaçant : "Après moins d’un an de menus différenciés au maïs OGM, confie le professeur Séralini, c’était une hécatombe parmi nos rats, dont je n’avais pas imaginé l’ampleur".
Pathologies lourdes, tumeurs mammaires
Tous les groupes de rats, qu’ils soient nourris avec le maïs OGM traité ou non au Roundup, l'herbicide de Monsanto, ou encore alimentés avec une eau contenant de faibles doses d’herbicide présent dans les champs OGM, sont frappés par une multitude de pathologies lourdes au 13e mois de l’expérience. Chez les femelles, cela se manifeste par des explosions en chaine de tumeurs mammaires qui atteignent parfois jusqu’à 25% de leur poids. Chez les mâles, ce sont les organes dépurateurs, le foie et les reins, qui sont atteints d’anomalies marquées ou sévères. Avec une fréquence deux à cinq fois plus importante que pour les rongeurs nourris au maïs sans OGM.
Comparaison implacable : les rats OGM déclenchent donc de deux à trois fois plus de tumeurs que les rats non OGM quel que soit leur sexe. Au début du 24° mois, c’est-à-dire à la fin de leur vie, de 50% à 80% des femelles OGM sont touchées contre seulement 30% chez les non-OGM.
Surtout, les tumeurs surviennent nettement plus vite chez les rats OGM : vingt mois plus tôt chez les mâles, trois mois plus tôt chez les femelles. Pour un animal qui bénéficie de deux ans d’espérance de vie, l’écart est considérable. A titre de comparaison, un an pour un rongeur, c’est à peu près l’équivalent d’une quarantaine d’années pour un homme…
Exiger des comptes
C’est forte de ces conclusions que Corinne Lepage, dans un livre qui paraît vendredi 21 septembre ("La vérité sur les OGM, c’est notre affaire", Editions Charles Léopold Mayer), entend bien exiger des comptes auprès des politiques et des experts, français et européens, des agences sanitaires et de la Commission de Bruxelles, qui se sont si longtemps opposés et par tous les moyens au principe d’une étude de longue durée sur l'impact physiologique des OGM.
Cette bataille, l’ex-ministre de l’Ecologie et première vice-présidente de la commission Environnement, Santé publique et Sécurité alimentaire à Strasbourg, la mène depuis quinze ans au sein du Criigen (Comité de Recherche et d’Information indépendantes sur le Génie génétique) avec Joël Spiroux et Gilles-Eric Séralini. Une simple association 1901 qui a pourtant été capable de réunir de bout en bout les fonds de cette recherche (3,2 millions d’euros) que ni l’Inra, ni le CNRS, ni aucun organisme public n’avaient jugé judicieux d’entreprendre.
Une étude financée par Auchan et Carrefour
Comment ? Autre surprise : en sollicitant la Fondation suisse Charles Léopold Mayer. Mais aussi les patrons de la grande distribution (Carrefour, Auchan..), qui se sont réunis pour l'occasion en association. Depuis la vache folle, ces derniers veulent en effet se prémunir de tout nouveau scandale alimentaire. A tel point que c’est Gérard Mulliez, fondateur du groupe Auchan, qui a débloqué les premiers financements.
L’étude du professeur Séralini laisse donc présager une nouvelle guerre meurtrière entre pro et anti-OGM. Les agences sanitaires exigeront-elles de toute urgence des études analogues pour vérifier les conclusions des scientifiques français ? Ce serait bien le moins. Monsanto, la plus grande firme mondiale de semences transgéniques, laissera-t-elle faire ? Peu probable : sa survie serait en jeu. Pour une seule plante OGM, il y a une centaine de variétés. Ce qui impliquerait au moins une dizaine d'études de 100 à 150 millions d’euros chacune !
Le temps de la vérité
Sauf que, dans cette nouvelle confrontation, le débat ne pourra plus s’enliser comme par le passé. Dés le 26 septembre, chacun pourra voir au cinéma le film choc de Jean-Paul Jaud, "Tous Cobayes ?", adapté du livre de Gilles-Eric Séralini, et les terribles images des rats étouffant dans leurs tumeurs. Des images qui vont faire le tour de la planète et d’internet, puisqu'elles seront diffusées sur Canal+ (au "Grand Journal" du 19 septembre) et sur France 5 (le 16 octobre dans un documentaire). Pour les OGM, l’ère du doute s’achève. Le temps de la vérité commence.
> A lire : l'interview de Gilles-Eric Séralini, ainsi que des extraits de son livre "Tous cobayes!" (Flammarion), dans "Le nouvel Observateur" du 20 septembre.
Voir les photos des rats malades sur le site source ici :
http://tempsreel.nouvelobs.com/ogm-le-scandale/20120918.OBS2686/exclusif-oui-les-ogm-sont-des-poisons.html
http://www.criigen.org/SiteFr//index.php?option=com_content&task=view&id=57&Itemid=105
Faisant des recherches en secret et en independant sur les OGM, le pr G E SERALINI et des chercheurs français ont étudié secrètement, pendant deux ans, 200 rats nourris au maïs transgénique. RESULTATS : Tumeurs, pathologies lourdes… une hécatombe. Et une bombe pour l'industrie OGM.
Oui, les OGM sont des poisons !
C’est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology" - une référence en matière de toxicologie alimentaire - en publiant les résultats de l’expérimentation menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen. Une bombe à fragmentation : scientifique, sanitaire, politique et industrielle. Elle pulvérise en effet une vérité officielle : l’innocuité du maïs génétiquement modifié.
Lourdement toxique et souvent mortel
Même à faible dose, l’OGM étudié se révèle lourdement toxique et souvent mortel pour des rats. A tel point que, s’il s’agissait d’un médicament, il devrait être suspendu séance tenante dans l’attente de nouvelles investigations. Car c’est ce même OGM que l’on retrouve dans nos assiettes, à travers la viande, les œufs ou le lait.
En 2006, c’est comme un véritable thriller que commence cette recherche, dont le maître d’œuvre, Gilles-Eric Séralini, divulgue lui-même les conclusions dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine ("Tous cobayes !", Flammarion, en librairie le 26 septembre).
Nom de code In Vivo
Jusqu’en 2011, les chercheurs ont travaillé dans des conditions de quasi-clandestinité. Ils ont crypté leurs courriels comme au Pentagone, se sont interdit toute discussion téléphonique et ont même lancé une étude leurre tant ils craignaient un coup de Jarnac des multinationales de la semence.
Le récit de l’opération – nom de code In Vivo - évoque la très difficile récupération de semences de maïs OGM NK 603, propriété brevetée de Monsanto, par le truchement d’un lycée agricole canadien. Puis la récolte et le rapatriement des "gros sacs de jute" sur le port du Havre fin 2007, avant la fabrication de croquettes dans le secret le plus total et la sélection de deux cents rats de laboratoires dits "Sprague Dawley". Bilan ? Glaçant : "Après moins d’un an de menus différenciés au maïs OGM, confie le professeur Séralini, c’était une hécatombe parmi nos rats, dont je n’avais pas imaginé l’ampleur".
Pathologies lourdes, tumeurs mammaires
Tous les groupes de rats, qu’ils soient nourris avec le maïs OGM traité ou non au Roundup, l'herbicide de Monsanto, ou encore alimentés avec une eau contenant de faibles doses d’herbicide présent dans les champs OGM, sont frappés par une multitude de pathologies lourdes au 13e mois de l’expérience. Chez les femelles, cela se manifeste par des explosions en chaine de tumeurs mammaires qui atteignent parfois jusqu’à 25% de leur poids. Chez les mâles, ce sont les organes dépurateurs, le foie et les reins, qui sont atteints d’anomalies marquées ou sévères. Avec une fréquence deux à cinq fois plus importante que pour les rongeurs nourris au maïs sans OGM.
Comparaison implacable : les rats OGM déclenchent donc de deux à trois fois plus de tumeurs que les rats non OGM quel que soit leur sexe. Au début du 24° mois, c’est-à-dire à la fin de leur vie, de 50% à 80% des femelles OGM sont touchées contre seulement 30% chez les non-OGM.
Surtout, les tumeurs surviennent nettement plus vite chez les rats OGM : vingt mois plus tôt chez les mâles, trois mois plus tôt chez les femelles. Pour un animal qui bénéficie de deux ans d’espérance de vie, l’écart est considérable. A titre de comparaison, un an pour un rongeur, c’est à peu près l’équivalent d’une quarantaine d’années pour un homme…
Exiger des comptes
C’est forte de ces conclusions que Corinne Lepage, dans un livre qui paraît vendredi 21 septembre ("La vérité sur les OGM, c’est notre affaire", Editions Charles Léopold Mayer), entend bien exiger des comptes auprès des politiques et des experts, français et européens, des agences sanitaires et de la Commission de Bruxelles, qui se sont si longtemps opposés et par tous les moyens au principe d’une étude de longue durée sur l'impact physiologique des OGM.
Cette bataille, l’ex-ministre de l’Ecologie et première vice-présidente de la commission Environnement, Santé publique et Sécurité alimentaire à Strasbourg, la mène depuis quinze ans au sein du Criigen (Comité de Recherche et d’Information indépendantes sur le Génie génétique) avec Joël Spiroux et Gilles-Eric Séralini. Une simple association 1901 qui a pourtant été capable de réunir de bout en bout les fonds de cette recherche (3,2 millions d’euros) que ni l’Inra, ni le CNRS, ni aucun organisme public n’avaient jugé judicieux d’entreprendre.
Une étude financée par Auchan et Carrefour
Comment ? Autre surprise : en sollicitant la Fondation suisse Charles Léopold Mayer. Mais aussi les patrons de la grande distribution (Carrefour, Auchan..), qui se sont réunis pour l'occasion en association. Depuis la vache folle, ces derniers veulent en effet se prémunir de tout nouveau scandale alimentaire. A tel point que c’est Gérard Mulliez, fondateur du groupe Auchan, qui a débloqué les premiers financements.
L’étude du professeur Séralini laisse donc présager une nouvelle guerre meurtrière entre pro et anti-OGM. Les agences sanitaires exigeront-elles de toute urgence des études analogues pour vérifier les conclusions des scientifiques français ? Ce serait bien le moins. Monsanto, la plus grande firme mondiale de semences transgéniques, laissera-t-elle faire ? Peu probable : sa survie serait en jeu. Pour une seule plante OGM, il y a une centaine de variétés. Ce qui impliquerait au moins une dizaine d'études de 100 à 150 millions d’euros chacune !
Le temps de la vérité
Sauf que, dans cette nouvelle confrontation, le débat ne pourra plus s’enliser comme par le passé. Dés le 26 septembre, chacun pourra voir au cinéma le film choc de Jean-Paul Jaud, "Tous Cobayes ?", adapté du livre de Gilles-Eric Séralini, et les terribles images des rats étouffant dans leurs tumeurs. Des images qui vont faire le tour de la planète et d’internet, puisqu'elles seront diffusées sur Canal+ (au "Grand Journal" du 19 septembre) et sur France 5 (le 16 octobre dans un documentaire). Pour les OGM, l’ère du doute s’achève. Le temps de la vérité commence.
> A lire : l'interview de Gilles-Eric Séralini, ainsi que des extraits de son livre "Tous cobayes!" (Flammarion), dans "Le nouvel Observateur" du 20 septembre.
Voir les photos des rats malades sur le site source ici :
http://tempsreel.nouvelobs.com/ogm-le-scandale/20120918.OBS2686/exclusif-oui-les-ogm-sont-des-poisons.html
SERALINI attaqué de partout par les lobbies pro OGM qui visent à le discréditer aux yeux du public
Le professeur Gilles-Eric Séralini, qui a publié la semaine dernière une étude choc sur la toxicité d'un OGM de la firme Monsanto,
http://www.maxisciences.com/organisme-g%e9n%e9tiquement-modifi%e9/ogm-un-mais-monsanto-provoquerait-des-tumeurs-chez-les-rats_art26663.html
s'est dit "attaqué de manière extrêmement malhonnête par des lobbies".
L’étude menée par Gilles-Eric Séralini sur le maïs NK 603 et sur du Round Up, un pesticide, produits par Monsanto et importés en Europe, a relancé le débat sur les risques liés aux organismes génétiquement modifiés (OGM). Après une recherche de deux ans menée sur 200 rats, les résultats ont en effet mis en évidence l’apparition de tumeurs grosses comme des balles de ping-pong sur les rongeurs. Plus sérieux encore, les groupes de rats traités "meurent plus tôt sauf un, qui présente des problèmes rénaux graves", relève le chercheur qui a observé chez les rats traités "une explosion" des tumeurs ou des affections des reins et du foie au 11e et 12e mois (ce qui correspond à l'âge de 35-40 ans chez l'homme).
"Et on ne se base pas que sur ces courbes de mortalité ou de tumeurs. C'est corroboré statistiquement par la biochimie et par l'observation d'organes et de tumeurs sur 200 rats. On sait de quoi les rats sont morts", ajoute M. Séralini qui réaffirme que son étude "conclut clairement que la toxicité de cet OGM est prouvée". Mais depuis sa publication, ces travaux suscitent un grand scepticisme de la part de scientifiques qui soulignent un grand manque d'informations. Hier, le chercheur a ainsi indiqué être "attaqué de manière extrêmement malhonnête par des lobbies qui se font passer pour la communauté scientifique. C'est le même lobby qui a permis l'autorisation de ces produits et qui est activé par les entreprises de biotechnologies".
"C'est une entreprise de salissement de l'individu pour essayer de discréditer son travail parce que la conséquence, ce serait qu’on les [les entreprises de biotechnologies] oblige à faire des études à long terme", a ajouté l'universitaire de Caen interrogé par l'AFP et répétant qu'il venait de publier "l'étude la plus longue et détaillée jamais faite sur un OGM". Les travaux parus dans la revue Food and Chemical Toxicology (qui a par ailleurs aussi publié par le passé des travaux favorables aux OGM) sont critiqués du fait du trop petit nombre de rats étudié. Il s’agissait de groupes de dix rats soumis à des traitements différents, et sur une race de rats qui a tendance plus que d'autres à développer des tumeurs. Mais ces arguments ne tiennent pas la route, selon le chercheur.
Le chercheur réclame des études financées par les pouvoirs publics
"Toutes les études du monde sont faites [sur des échantillons de dix]. Le NK 603 a été autorisé sur cette base. Si on ne peut pas tirer de conclusions il faut aussi tout de suite interdire tous les OGM", répond le professeur qui ajoute que "la pomme de terre OGM de BASF a été autorisée avec des tests sur cinq rats", seulement. "Tout ceux qui ont aboyé (contre l'étude) sont à l'origine de l'autorisation de ces produits, et ils l'ont fait sur la base de tests sur la même souche rat, avec des échantillons de dix rats pendant seulement trois mois et avec pas avec autant de tests", ajoute M. Séralini, "c'est ridicule".
Néanmoins, le professeur se dit "conscient" que son étude "a ses limites et je l'ai dit dans mon livre" (qui paraît demain). "On pourrait faire [des groupes de] 50 rats mais c'est aux pouvoirs publics de financer, ça ne peut plus être un laboratoire indépendant qui finance 20 millions d'euros", estime-t-il. Cette fois, l'étude a coûté plus de trois millions d'euros, financés notamment par les fondations Ceres et la Fondation Charles Leopold Meyer pour le progrès pour l'homme. Les groupes Auchan et Carrefour l'ont également aidée. Les fonds ont été gérés par le Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (Criigen), "indépendant des compagnies de biotechnologies" et dont M. Séralini préside le conseil scientifique.
(Là, c'est moi qui apporte mon grain de sel : Problemes, pour financer des grandes études à 20millions d'euros, voir plus....seuls les grandes entreprises comme MONSANTO et amis aux esprits corrompus, peuvent trouver des fonds financiers, mais les Etats et Nations....semblent ils ? préférant, par le biais de leurs politiciens,et banksters, détourner l'argent public (celui du travail et de la production des richesses) vers leurs paradis fiscaux.....)
Source : http://www.maxisciences.com/organisme-g%E9n%E9tiquement-modifi%E9/ogm-gilles-eric-seralini-auteur-de-l-etude-choc-se-dit-attaque-par-des-lobbies_art26740.html
et ne comptez pas sur EFSA (Agence européenne de sécurité alimentaire)
pour arbitrer, elle est tombée aux mains des PRO OGM payés grassement par MONSANTO
OGM : l'agence européenne aux doubles casquettes
Pour rédiger son préavis sur l’étude de Gilles-Eric Séralini sur le maïs NK 603, l’Agence européenne de sécurité alimentaire (Efsa), avait montré patte blanche : elle assurait que les rédacteurs n’étaient pas membres du "panel" (le groupe scientifique) qui avait autorisé la mise sur le marché de ce même NK 603.
Logique : être juge et partie rendait ipso facto l’avis suspect. Comment en effet se déjuger sur ce qu’on a déjà jugé ? Sauf qu’une fois de plus, l’Efsa se prend les pieds dans la déontologie.
Explication :
L’un des deux scientifiques consultés ("peer reviewers" (1)) pour rédiger le préavis assassin de l’Efsa sur la recherche de Gilles-Eric Séralini le 3 octobre dernier est le britannique Andrew Chesson.
Or c’est le même Andrew Chesson qui, avec Gijs Kleter, avait préparé le brouillon d’avis ( draft) sur lequel le panel de l’Efsa avait voté positivement le 25 novembre 2003. Et qui concluait à l’autorisation de mise sur le marché du maïs NK 603.
Andrew Chesson était en effet remercié en toute fin de l'avis favorable http://planete.blogs.nouvelobs.com/media/00/02/2102493840.pdf de novembre 2003 en ces termes : "Le groupe scientifique sur les organismes génétiquement modifiés tient à remercier Andrew Chesson et Kleter Gijs pour leur contribution au projet d'avis."
Ainsi le même expert qui prépare l’argumentaire de l’Avis en faveur du feu vert à la commercialisation du NK 603 est précisément le conseil scientifique, le Pair, de ceux qui doivent se prononcer sur l'étude qui met en évidence sa toxicité !
Après les conflits d’intérêt qui ont affaibli considérablement l’autorité de l’Efsa, voilà le temps des faux nez, du cache-cache et des mensonges par omission.
Ca fait beaucoup pour un organisme qui a en charge la santé de 300 millions d’Européens. Et dont on attendrait une conduite et des procédures au-dessus de tout soupçon.
Guillaume Malaurie
source http://planete.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/10/06/ogm-l-agence-europenne-aux-doubles-casquettes.html
(1) "Acknowledgement: EFSA wishes to thank the following EFSA staff: Saghir Bashir, Per Bergman, Danièle Court Marques, Claudia Paoletti, Manuela Tiramani, Didier Verloo and Elisabeth Waigmann for the support provided to this scientific output. EFSA also thanks the peer reviewers of this statement Andrew Chesson (member of the GMO Panel) and Alberto Mantovani (member of the PPR panel)."
http://planete.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/10/06/ogm-l-agence-europenne-aux-doubles-casquettes.html
http://www.maxisciences.com/organisme-g%e9n%e9tiquement-modifi%e9/ogm-un-mais-monsanto-provoquerait-des-tumeurs-chez-les-rats_art26663.html
s'est dit "attaqué de manière extrêmement malhonnête par des lobbies".
L’étude menée par Gilles-Eric Séralini sur le maïs NK 603 et sur du Round Up, un pesticide, produits par Monsanto et importés en Europe, a relancé le débat sur les risques liés aux organismes génétiquement modifiés (OGM). Après une recherche de deux ans menée sur 200 rats, les résultats ont en effet mis en évidence l’apparition de tumeurs grosses comme des balles de ping-pong sur les rongeurs. Plus sérieux encore, les groupes de rats traités "meurent plus tôt sauf un, qui présente des problèmes rénaux graves", relève le chercheur qui a observé chez les rats traités "une explosion" des tumeurs ou des affections des reins et du foie au 11e et 12e mois (ce qui correspond à l'âge de 35-40 ans chez l'homme).
"Et on ne se base pas que sur ces courbes de mortalité ou de tumeurs. C'est corroboré statistiquement par la biochimie et par l'observation d'organes et de tumeurs sur 200 rats. On sait de quoi les rats sont morts", ajoute M. Séralini qui réaffirme que son étude "conclut clairement que la toxicité de cet OGM est prouvée". Mais depuis sa publication, ces travaux suscitent un grand scepticisme de la part de scientifiques qui soulignent un grand manque d'informations. Hier, le chercheur a ainsi indiqué être "attaqué de manière extrêmement malhonnête par des lobbies qui se font passer pour la communauté scientifique. C'est le même lobby qui a permis l'autorisation de ces produits et qui est activé par les entreprises de biotechnologies".
"C'est une entreprise de salissement de l'individu pour essayer de discréditer son travail parce que la conséquence, ce serait qu’on les [les entreprises de biotechnologies] oblige à faire des études à long terme", a ajouté l'universitaire de Caen interrogé par l'AFP et répétant qu'il venait de publier "l'étude la plus longue et détaillée jamais faite sur un OGM". Les travaux parus dans la revue Food and Chemical Toxicology (qui a par ailleurs aussi publié par le passé des travaux favorables aux OGM) sont critiqués du fait du trop petit nombre de rats étudié. Il s’agissait de groupes de dix rats soumis à des traitements différents, et sur une race de rats qui a tendance plus que d'autres à développer des tumeurs. Mais ces arguments ne tiennent pas la route, selon le chercheur.
Le chercheur réclame des études financées par les pouvoirs publics
"Toutes les études du monde sont faites [sur des échantillons de dix]. Le NK 603 a été autorisé sur cette base. Si on ne peut pas tirer de conclusions il faut aussi tout de suite interdire tous les OGM", répond le professeur qui ajoute que "la pomme de terre OGM de BASF a été autorisée avec des tests sur cinq rats", seulement. "Tout ceux qui ont aboyé (contre l'étude) sont à l'origine de l'autorisation de ces produits, et ils l'ont fait sur la base de tests sur la même souche rat, avec des échantillons de dix rats pendant seulement trois mois et avec pas avec autant de tests", ajoute M. Séralini, "c'est ridicule".
Néanmoins, le professeur se dit "conscient" que son étude "a ses limites et je l'ai dit dans mon livre" (qui paraît demain). "On pourrait faire [des groupes de] 50 rats mais c'est aux pouvoirs publics de financer, ça ne peut plus être un laboratoire indépendant qui finance 20 millions d'euros", estime-t-il. Cette fois, l'étude a coûté plus de trois millions d'euros, financés notamment par les fondations Ceres et la Fondation Charles Leopold Meyer pour le progrès pour l'homme. Les groupes Auchan et Carrefour l'ont également aidée. Les fonds ont été gérés par le Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (Criigen), "indépendant des compagnies de biotechnologies" et dont M. Séralini préside le conseil scientifique.
(Là, c'est moi qui apporte mon grain de sel : Problemes, pour financer des grandes études à 20millions d'euros, voir plus....seuls les grandes entreprises comme MONSANTO et amis aux esprits corrompus, peuvent trouver des fonds financiers, mais les Etats et Nations....semblent ils ? préférant, par le biais de leurs politiciens,et banksters, détourner l'argent public (celui du travail et de la production des richesses) vers leurs paradis fiscaux.....)
Source : http://www.maxisciences.com/organisme-g%E9n%E9tiquement-modifi%E9/ogm-gilles-eric-seralini-auteur-de-l-etude-choc-se-dit-attaque-par-des-lobbies_art26740.html
et ne comptez pas sur EFSA (Agence européenne de sécurité alimentaire)
pour arbitrer, elle est tombée aux mains des PRO OGM payés grassement par MONSANTO
OGM : l'agence européenne aux doubles casquettes
Pour rédiger son préavis sur l’étude de Gilles-Eric Séralini sur le maïs NK 603, l’Agence européenne de sécurité alimentaire (Efsa), avait montré patte blanche : elle assurait que les rédacteurs n’étaient pas membres du "panel" (le groupe scientifique) qui avait autorisé la mise sur le marché de ce même NK 603.
Logique : être juge et partie rendait ipso facto l’avis suspect. Comment en effet se déjuger sur ce qu’on a déjà jugé ? Sauf qu’une fois de plus, l’Efsa se prend les pieds dans la déontologie.
Explication :
L’un des deux scientifiques consultés ("peer reviewers" (1)) pour rédiger le préavis assassin de l’Efsa sur la recherche de Gilles-Eric Séralini le 3 octobre dernier est le britannique Andrew Chesson.
Or c’est le même Andrew Chesson qui, avec Gijs Kleter, avait préparé le brouillon d’avis ( draft) sur lequel le panel de l’Efsa avait voté positivement le 25 novembre 2003. Et qui concluait à l’autorisation de mise sur le marché du maïs NK 603.
Andrew Chesson était en effet remercié en toute fin de l'avis favorable http://planete.blogs.nouvelobs.com/media/00/02/2102493840.pdf de novembre 2003 en ces termes : "Le groupe scientifique sur les organismes génétiquement modifiés tient à remercier Andrew Chesson et Kleter Gijs pour leur contribution au projet d'avis."
Ainsi le même expert qui prépare l’argumentaire de l’Avis en faveur du feu vert à la commercialisation du NK 603 est précisément le conseil scientifique, le Pair, de ceux qui doivent se prononcer sur l'étude qui met en évidence sa toxicité !
Après les conflits d’intérêt qui ont affaibli considérablement l’autorité de l’Efsa, voilà le temps des faux nez, du cache-cache et des mensonges par omission.
Ca fait beaucoup pour un organisme qui a en charge la santé de 300 millions d’Européens. Et dont on attendrait une conduite et des procédures au-dessus de tout soupçon.
Guillaume Malaurie
source http://planete.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/10/06/ogm-l-agence-europenne-aux-doubles-casquettes.html
(1) "Acknowledgement: EFSA wishes to thank the following EFSA staff: Saghir Bashir, Per Bergman, Danièle Court Marques, Claudia Paoletti, Manuela Tiramani, Didier Verloo and Elisabeth Waigmann for the support provided to this scientific output. EFSA also thanks the peer reviewers of this statement Andrew Chesson (member of the GMO Panel) and Alberto Mantovani (member of the PPR panel)."
http://planete.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/10/06/ogm-l-agence-europenne-aux-doubles-casquettes.html
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