IBOGAINE permet de guerir rapidement des addictions à L'HEROINE

IBOGAINE permet de guérir rapidement des addictions à L'HEROINE....

L'ibogaïne est un alcaloïde de la plante africaine Iboga qui intrigue les esprits depuis trente ans du fait de ses vertus supposées en terme de traitement rapide des différentes sortes de dépendances, addictions.

Un projet de recherche sur les effets de l'ibogaïne a été entrepris sous la direction du Centre de médecine anthropologique, et plus précisément, de son Institut de la " pensée ouverte ", l'OMI.

Cet Institut, créé en novembre 2005, s'est donné pour mission la recherche et le développement expérimental en médecine selon deux axes :

la vérification scientifique des méthodes de soins empiriques et traditionnelles

et

le développement de nouveaux types de traitement.

L'objectif principal de l'OMI est donc de développer une approche globale de la santé, prenant en compte états physique, mental et social.

Ce travail de recherche sur l'ibogaïne a constitué le premier projet dirigé et coordonné par l'OMI, regroupant un grand nombre de partenaires : la faculté de pharmacie, la faculté de biotechnique et la faculté de médecine ont coopéré à la partie scientifique du projet, tandis qu'ont apporté leur soutien l'Office des drogues, l'Institut de protection de la santé, le Ministère de la santé, la Ville de Ljubljana, la faculté des sciences sociales, le Centre de la santé mentale, la faculté d'informatique, l'Institut Open society, ainsi que certains particuliers.

L'ibogaïne surprend surtout par sa propriété inhabituelle : ses effets se prolongent au-delà de sa présence dans le corps. Ainsi, les personnes qui en ont consommé rapportent une amélioration de leur sentiment de bien-être et de leur humeur plusieurs semaines, voire des mois, après une prise unique.

Le projet de l'OMI s'est appuyé sur des éléments matériels et l'analyse protéinique. Il a étudié en quoi la coupe protéinique des tissus exposés à l'ibogaïne différait des tissus de référence, puisque cet effet prolongé constaté lors de la prise d'ibogaïne n'est possible que si s'opèrent des modifications fondamentales, tant structurelles que fonctionnelles.

Les scientifiques s'attendaient à des modifications sur les voies métaboliques spécialisées et ont été extrêmement surpris du fait que l'ibogaïne provoque une activation accrue des enzymes qui participent au métabolisme énergétique. Ce dernier est le point de départ et la condition de tout ce qui se passe au sein de la cellule et le carrefour métabolique central.

L'équipe a pu démontrer l'induction des enzymes responsables de la glycolyse, ce qui favorise la vitesse de combustion des sucres et donne plus d'énergie à la cellule. Des neurotrophines se libèrent sous l'effet de l'ibogaïne ; ces substances servent entre autres au renouveau des neurones. Elles sont fondamentales pour la création de nouveaux réseaux d'association alternatifs permettant le remplacement de comportements pathologiques malins par d'autres plus sains.

(Exemple dans l'approche de la guérison de la dépendance à l'héroine qui peut être fait en un temps record de 24 heures grâce à la L'IBOGAINE, alors que les guérisons selon les autres méthodes (methadone et autres) sont bien plus longues et ne garantissent pas contre la rechute...Avec L'IBOGAINE les rechutes après guérison sont évités à 91 %)

Mais la qualité des soins exige un accompagnement par une thérapie de soutien.

http://www.omi.si/
Delo, 16/03/2006
Cette information (sauf l'entre parenthèse en italique violet) est un extrait du BE Slovénie numéro 41 du 13/04/2006 rédigé par l'Ambassade de France en Slovénie. Les Bulletins Electroniques (BE) sont un service ADIT et sont accessibles gratuitement sur http://www.bulletins-electroniques.com

L'ibogaïne est illégal à fabriquer, acheter, posséder ou distribuer (vendre, échanger ou donner) sans permis DEA ..... aux ETATS UNIS.....elle est Non disponible par prescription.

Pourtant Aucun phénomène Addictif potentiel.....Certains disent qu'elle est dans le DOMAINE PUBLIQUE et que donc elle ne RAPPORTERAIT rien aux LABOS PHARMACEUTQUES par sa trop grande efficacité de guérison, ce qui lui vaut d'être interdite pour que les LABOS puissent continuer à vendre cher leurs pilulles qui n'ont que peut d'effets éfficaces mais qui leur rapportent gros en milliards de dollars.... (voir le topic sur le DCA https://rvlations.1fr1.net/medecine-sante-etc-f16/dca-le-cancer-peut-guerir-le-dca-est-une-molecule-pour-cela-t35.htm cure efficace contre le cancer qui subit peu ou prou la même interdiction au USA, au CANDA etc, pour les mêmes raison de PROFITS des GROS LABOS, au détriment des malades bien sûr et de leur portefeuille)



L'ibogaïne est un alcaloïde psychoactif indole (hallucinogène) à partir d'écorce de racines de l'arbuste iboga http://fr.wikipedia.org/wiki/Iboga de la Forêt Tabernanthe en AFRIQUE de l'ouest et en particulier au Gabon.

Comme d'autres hallucinogènes, il peut être fabriqué synthétiquement aussi.

Les natifs de l'Afrique occidentale cultivent et utilisent l'iboga http://www.lucid-state.org/wiki/Tabernanthe comme un stimulant, une aide pour la chasse, un aphrodisiaque, et à plus fortes doses comme un sacrement shamanique dans les rituels religieux. C'est dans le culte du Bwiti qu'elle est utilisée. On dit qu'elle permettrait de communiquer avec les esprits et de se réconcilier avec la mort.

Les chercheurs ont identifié l'ibogaïne comme le Bark principal agent psychoactif en 1901 et ils ont alors étudié ses effets sur le système nerveux central et dans la pharmacologie cardiovasculaire au début du XXe siècle. Dans les années cinquante, Ciba Geigy Pharmaceutical Co. a étudié la capacité de l'ibogaïne à abaisser la pression artérielle. Dans le même temps, certains alpinistes français ont utilisé l'ibogaine sur de longues expéditions, pour combattre la faim et la fatigue.

En 1962-63, Howard Lotsof, aujourd'hui à la tête d'une compagnie appelée NDA International, a organisé une série d'expériences de groupe pour voir l'effet de l'ibogaïne sur la cocaïne et d'héroïne.

En 1969 et 1973, le psychiatre Claudio Naranjo a d'abord été de faire rapport en utilisant l'ibogaïne comme hallucinogène en psychothérapie expérimentale. Puis, en 1985, des demandes de brevets d'utilité sur l'ibogaïne Lotsof pour le traitement de la dépendance aux opiacés stupéfiants, dépendance à la cocaïne, et en tant que traitement pour des troubles de dépendance polyconsommation addictives.

Si l'interdiction de l'ibogaïne aux USA a ralenti la recherche scientifique sur les propriétés anti-dépendance de l'ibogaïne, l'utilisation de l'ibogaïne pour traitement de la toxicomanie a augmenté sous la forme d'une grande réduction des effets nocifs du sevrage et de la rechute dans le monde. L'ibogaïne est maintenant utilisé par les centres de traitement dans 12 pays sur 6 continents pour traiter les dépendances à l'héroïne, l'alcool, la cocaïne en poudre, du crack et de la méthamphétamine ainsi que pour faciliter l'introspection psychologique et l'exploration spirituelle.



source http://www.neurosoup.com/schedule1/ibogaine.htm traduction GOOGLE